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Décadence quand tu nous tiens !!!
Décadence, dégénérescence, délitement ?
(L'exemple doit venir d'en haut !!!)Souvenez-vous de Nicolas Sarkozy et Cécilia, puis du même Sarko déballant ses amours avec Carla à laquelle les plumitifs attribuaient… 32 amants connus. La nouvelle « première dame » n’était pas une première main.
Ensuite nous avons eu droit aux virées nocturnes de François Hollande, ce porcelet sudoripare et priapique, allant honorer une gourgandine du showbiz, en scooter piloté par un Garde Républicain. Sa régulière – avec laquelle il n’était pas marié – se croyait obligée de balancer ça dans un livre.
Imagine-t-on ce genre de déballage indécent de la part de madame Coty, celle qu’une presse vacharde surnommait « madame sans gaine » (2) ? Imagine-t-on ça de « Tante Yvonne », de Claude Pompidou, de la pimbêche coincée Anémone Giscard ? Même « Tatie Danièle » Mitterrand se faisait discrète sur les aventures – fort nombreuses – de son coureur de mari. Même chose pour Bernadette Chirac dont le grand benêt d’époux tirait (plus vite que son ombre nous dit-on (3)) sur tout ce qui portait jupon. Puis on nous a vendu le couple Macron. La sémillante prof de français (et de théâtre) qui avait déniaisé le jeune Emmanuel quand il avait 16 ans. Elle avait 25 ou 30 ans de plus que lui. Le jeune puceau n’a pas été obligé, comme tout bon fils de famille, d’attendre son service militaire pour aller au bordel. Une telle histoire aurait déclenché un scandale dans un pays normal, mais pas chez nous.
La presse pour shampouineuses s’est prise d’affection pour Brigitte Macron – que certains sites complotistes appelaient « Jean-Brichel », allez savoir pourquoi ? – qui a eu les honneurs de… 58 unes de magazine avant et après l’élection du galopin qui lui servait de mari.
Chaque semaine, les journaux nous imposaient son sourire béat de « Barbie » satisfaite, son faciès ravagé (mais ravalé), sa coiffure de cocker, ses gambettes de sauterelles, ses jupes trop courtes, ses airs de vieille gamine qui semblait se croire encore à l’époque « Yéyé ». Pour la presse, elle était à Emmanuel ce que la Sainte Trinité est au catholique; une en trois personnes : à la fois son épouse, sa maîtresse et sa mère. C’est elle qui lui avait appris à parler français « et en même temps » à jouer la comédie; or, soyons honnête, c’est la seule chose qu’il fait à peu près correctement.
Tags : –, presse, francois, mari, decadence
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