Mode opératoire des islamo-racailles pour racketter les commerçants

16 février 2023 Stéphane Fatrov

Dans ma continuelle volonté d’instruire mes contemporains sur les vauriens en tous genres, je tiens à faire profiter les lecteurs de RL d’un témoignage personnel sur la manière dont a commencé à se mettre en place le racket organisé des commerçants en France, justement par « les chances pour la France ».

Pour comprendre le présent, il faut impérativement connaître le passé, raison pour laquelle je vous replonge quelques décennies en arrière.
Car tout a vraiment commencé à se mettre en place au début des années 1980. L’ère François Mitterand et SOS racisme y ont joué pour beaucoup. Et vous allez vite comprendre pourquoi !

Dès la fin des années 1970 et le début des années 1980 déjà, les commerçants de banlieues pauvres ont commencé à connaître agressions, braquages, meurtres, violences, coups, etc. grâce à l’arrivée d’une immigration de plus en plus massive et surtout continuelle.
En termes de délinquance « le racket » de ces commerçants a lui aussi pris de l’ampleur à cette époque.
Fils de commerçants Blancs pauvres dans une banlieue parisienne pauvre, j’en ai été le témoin direct. Je peux donc vous raconter comment ces pourritures d’islamo-racailles s’y prenaient…

Contrairement à ce que certains d’entre vous pourraient imaginer, cela n’avait rien à voir avec ce que tous ces bouffons « d’artistes » vous montrent au cinéma. Dans les films vous avez toujours droit aux inévitables et impayables dialogues, du style : « Tu vas payer, sinon il va t’arriver des ennuis ! » Éclats de rire quand je vois ça.

Alors, dans cette banlieue pauvre, comment se passaient les tentatives de racket dans le café de mes parents ?

Vous aviez plusieurs Arabes qui entraient dans le café, des jeunes, ils allaient s’asseoir et commandaient des consommations. Puis, au bout de quelque temps, ils commençaient à s’engueuler entre eux. Très fort. Agressivement. Histoire de déranger et d’effrayer le plus possible les autres clients présents. Puis ils déclenchaient une bagarre, entre eux uniquement. Très intelligemment ils n’agressaient jamais les autres clients, jamais (car il ne faut jamais agresser quelqu’un qui pourrait porter plainte contre vous). Durant cette bagarre, ils renversaient leur table, cassaient leurs verres, etc. Mes parents n’avaient même pas le temps d’intervenir que d’autres Arabes, des adultes cette fois-là, entraient aussitôt dans le café pour mettre fin à cette dispute entre eux.
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