La « charia light » selon Michel Onfray : gangrener notre société en douceur ...
(La charia c'est la charia, elle n'a jamais été douce, mais monstrueuse, mais s'ils le veulent vraiment pourquoi ne pas l'appliquer à tous les m*s*lmans ?)
Nous dénoncions déjà, en 2018, sur le média Boulevard Voltaire, l’existence d’une charia « douce » culturellement instillée dans toutes les populations musulmanes, en France, dont certaines sont installées depuis longtemps sur notre sol, mais pas dans notre substrat culturel de historique. Le 20 avril, sur CNews, Michel Onfray devant Laurence Ferrari revenait sur le comportement des « jeunes » – certains jeunes, nommons-les, issus de l’immigration -, en rappelant que les codes sociétaux de cette jeunesse ne sont pas les mêmes que ceux de notre jeunesse « de souche ». Michel Onfray soulignait – à juste titre – l’existence grandissante d’une « charia light » qui oblige ces population à se comporter en opposition avec nos codes sociétaux et culturels, souvent en usant de la violence.
Et l’on connaît leur violence, de plus en plus affichée comme nous l’avons vu ces derniers mois, ces dernières années, quand la réalité vient percuter le discours idéologique d’une grande partie de la classe politique et médiatique qui tente par tous les moyens de minimiser l’avancée terrible d’un nouveau paradigme séparatiste de plus en plus dangereux pour la cohésion de notre société. On met en avant la volonté supposée de cette population exogène, qui parfois depuis plusieurs générations, continue de s’identifier en priorité aux dogmes d’une religion qui fait vaciller les fondements de notre république.
Dans une partie de la société française de souche immigrée, que l’on tente de nous imposer au prétexte qu’elle serait compatible avec la nôtre, cette société musulmane nord-africaine « modérée », dont il est souvent question aujourd’hui en France, veut se donner une apparence occidentale par ses comportements consuméristes et sociaux.
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