Le marquis Emmanuel de Morveux d’Enarque tance Amélie Oudéa-Castoidela
Ô rage ! Ô désespoir ! Mais qu’est-ce qui m’a pris
De vouloir imposer ma copine Amélie
Dans l’équipe issue de ce remaniement,
Qui prétendait marquer un profond changement ?
Quand nous étions ensemble sur les bancs de l’ENA,
Pouvais-je imaginer que ce triste échalas
Avec sa mine mièvre et son physique ingrat,
Ferait si promptement la une des médias ?
Or, lui avoir confié un si grand ministère,
Est une inconséquence qui peut me coûter cher.
Pourtant, jusqu’à présent j’avais tout réussi,
J’ose le dire ici sans fausse modestie.
Je me suis entouré de godillots serviles,
De vieilles haridelles, d’invertis juvéniles.
Je leur ai tout appris, mais surtout à mentir,
A dire n’importe quoi, quitte à se contredire.
Car j’ai bien compris que leur incompétence
Est pour moi un atout pour rabaisser la France.
Mes ministres sont nuls, tout le monde le sait.
Et on compte sur moi pour les canaliser.
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