• Les bourges planqués ...

    Confinement : bourgeois planqués dans vos résidences secondaires, halte aux pleurs !

    Par Edouard Roux
    Le confinement n’est pas à jeter. Au contraire. Il aura permis de faire une sociologie de la population française en tant de crise majeure : ceux qui ont le luxe de partir et ceux qui sont condamnés à rester. Les uns ailleurs, les autres ici…

    Troisième semaine de confinement et quel bilan ? Des milliers d’emplois à la poubelle, une infantilisation quotidienne de la part du gouvernement, la mort assurée des petits commerces (ainsi que leurs gérants). La COVID-19 aura certes touché, contaminé et fait de nombreuses victimes, mais elle nous aura surtout ôté le goût. De la vie. De la liberté. De tous ces instants qui font que l’on est heureux de vivre et de respirer, qui plus est en France.

    Or, les Français ne vivent pas cette épidémie de la même façon. Dès le premier confinement, les plus aisés — ou « grands gagnants de la mondialisation » — ont délaissé les grandes villes pour se réfugier dans leur résidence secondaire, à la montagne, au bord de la mer, bref, partout à l’abri de l’humanité. Marie Darrieussecq a par exemple pris le temps d’écrire pour Le Point son Journal d’une confinée, où elle pleure son quotidien au Pays Basque, confie ses turpitudes d’artiste en manque de liberté, tout en n’oubliant pas de rappeler qu’elle est et reste privilégiée. Vous me direz, on n’est jamais mieux servi que par soi-même (Même chose pour Leila Slimani dans Le Monde)…
    https://www.valeursactuelles.com/clubvaleurs/societe/confinement-bourgeois-planques-dans-vos-residences-secondaires-halte-aux-pleurs-125758

     

    Les bourges planqués ...

     

     


    Tags Tags : , , , ,
  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment

    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :