• Les passoires du net ...

    Comme des milliers de Français, Claire a récemment créé son autoentreprise. Elle a, pour cela, rempli un formulaire sur Internet puis démarré sa petite activité. Quelques jours plus tard, la magie des nouvelles technologies opérait.

    Voilà qu’une ribambelle de sites commerciaux répertoriaient toutes ses données : nom de son entreprise (le sien), adresse du siège (son domicile), coordonnées téléphoniques (son portable)… Certains indiquaient même, grâce à Google, l’itinéraire le plus court pour se rendre chez Claire. En quelques clics, on aurait même pu – miracle – accéder à son bilan financier, lequel, évidemment, n’existe pas encore. Un peu effrayée, Claire a contacté la Cnil, laquelle, guère étonnée, l’a renvoyée aussitôt vers l’Insee. L’organisme public – qui recueille les formulaires de création d’autoentreprise afin d’en dresser une analyse statistique – reconnait qu’elle refourgue illico les données à des boîtes privées, ravies de l’aubaine.
    http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article27124

    Toutes les personnes que je connais qui sont devenus autoentrepreneurs sont piégés de cette façon, "ON" va même jusqu'à leur demander entre 300 et 400 euros et si on lit entre les lignes c'est pour faire de la pub qu'ils ne demandent pas.
    Des boites qui ont des copains bien placés dans la pyramide France !

    Les passoires du net ...


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