• Les pauvres petits jeunes des quartiers "popu" !!!

    Mortiers d’artifices, quads et rodéos urbains : ils ont les moyens, nos « quartiers populaires » !

    Marc Baudriller

    Parlez-nous des « quartiers populaires », si chers à la gauche. Mais si, vous savez, ces quartiers où vivent tant de pauvres gens, réfugiés économiques ou politiques, fuyant la misère ou le martyre à l’autre bout du monde, qui ne mangent à leur faim que lorsque des associations d’extrême gauche se préoccupent de leur sort. 

    Pauvres banlieues, pardon, pauvres habitants de nos « quartiers populaires » ! L'État, heureusement, déverse chaque année sur eux les milliards de la politique de la ville, puisés dans la poche des Français et des méchants milliardaires. Tant qu’il en reste. Dieu sait si nos chers « quartiers populaires » en font bon usage. Il faut bien distraire le malheur.

    Tenez, on les voit de plus en plus souvent illuminer le ciel et les patrouilles de à l’aide de mortiers d’artifice. Un irrépressible désir de manifester leur enthousiasme lorsque surviennent les forces de l’ordre ou les pompiers. Ce petit instant pétaradant dans une vie de labeur pour les habitants de nos quartiers pauvres vaut bien un effort financier : 63 euros les trois « Super Bomb », prix promotionnel. Elles « vous offriront un moment magique, comme un véritable 14 Juillet », explique un site spécialisé.

    Mais on se lasse de tout, même des feux d’artifice. Le rodéo urbain procure des émotions autrement plus fortes qu’un vulgaire tir au mortier contre une gendarmerie. Évidemment, c’est un peu plus coûteux. Il faut compter 4.000 à 5.000 euros minimum pour une 125 cc neuve version trial, petite moto bas de gamme idéale pour pratiquer la roue arrière. La facture peut vite monter à 10.000 euros pour la même puissance si vous cherchez des marques et des modèles un peu plus élaborés. Sans compter l’huile de chaîne ni le plein du réservoir à deux euros le litre. Heureusement que l’État a prévu le chèque inflation ! Un peu d’huile dans les rouages, comme on dit. Bien sûr, si nos ressortissants des « quartiers populaires » optent pour une puissance supérieure, autour des 650 cc, alors, la facture monte très vite au-dessus des 10.000 euros. Pour du matériel neuf, évidemment. Mais on ne va pas chipoter dans les « quartiers populaires » avec des engins mal entretenus. On a aussi des fans de maxi scooters : comptez 11.000 euros pour le BMW, une bonne marque, fiable, solide, sympa. Idéale pour défier les gendarmes. Mais pour participer avec entrain aux rodéos sauvages de nos quartiers pauvres, l’engin à la mode, c’est le quad. Là aussi, on atteint très vite les 5.000 à 10.000 euros, sans compter l’huile, l’essence ou les réparations, tout cela soumis à une galopante. La vie est dure, on vous dit, dans les « quartiers populaires ». Et ne suggérez surtout pas l'idée que certains de ces véhicules aient été soustraits sans l'autorisation de leur propriétaire légitime, c'est-à-dire volés, en français courant. Non, cette supposition, non fondée à ce stade de l'enquête, serait à la fois amalgamante et stigmatisante. Judiciairement bien plus dangereuse qu'une roue arrière sur une aire de jeux pour enfants.
    https://www.bvoltaire.fr/mortiers-dartifices-quads-et-rodeos-urbains-ils-ont-les-moyens-nos-quartiers-populaires/

    Sans compter les mariages avec "locations" de voitures de grand luxe !!!

     

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