Tome 2

Car il ne faut pas nous laisser abuser par la vision “court-termiste” des représentants que, trompés par les apparences et les faux-semblants, nous nous sommes donnés –en apparence librement, même si tous nos votes successifs ne vont que dans le sens que “le système” avait décidé depuis longtemps : nous ne sommes qu'au début d'une “crise” qui va être “salée”, bien au-delà des premières impressions que les médias ressassent comme avec délectation : le prix de l'essence à la pompe, la fermeture de quelques piscines, et des “trous” ici ou là dans les rayons de nos super-marchés. L'étape suivante, c'est la fermeture “pour de vrai” de ces industries que nos inconscients affirmaient vouloir “dé-siniser et re-franciser”.. et qui ne seront, en définitive, ni l'un, ni l'autre : l'Asie, bien moins “encombrée” que nous par les idées perverses qui nous sont instillées depuis notre enfance par une “Education nationale” qui n'éduque personne et hait la Nation, pratique un réalisme qui nous fait défaut.  Des forces hostiles, d’un islam en pleine dérive jusqu'aux idéologies qui ont juré notre perte et aux pays “qui ne nous veulent pas de bien”, sont prêtes à tout ramasser : “Winner take all”, chante si joliment Carla Sarkozy, après Abba : c'est le vainqueur qui ramasse toute la donne !

Le marasme qui est devant nous va être d'une dimension telle que notre président pourra utiliser, pour une fois pas à contre-rôle, le mot “Guerre”. Lui qui, n'a jamais ni servi son pays, ni eu peur pour sa vie, ni élevé des enfants, ni ne s'est battu pour “faire son trou” –Bildenberg l'ayant sélectionné pour devenir “un chef”… rôle de “con-position” dont il ignore jusqu'à l'orthographe !– a de tels complexes de ne jamais eu à avoir à faire face aux dures réalités du “métier d'hommes” (le mot est de Raoul Dautry), qu'il se saoule de vocables –qu'il croit virils puisqu'ils sont guerriers, mais dont il ignore le sens, la portée et les conséquences. Il joue des rôles, interprète des personnages, occupe la scène, etc…  mais il ignore tout de ce dont il parle, lacune irrattrapable qui explique son échec –qui l'est tout autant (irrattrapable !) ! Le titre du Figaro cité plus haut est une honte : penser qu'après plus de 5 trop longues années où il était en charge, théoriquement, des affaires de notre pays après une réélection sans campagne ni engagement… il n'a pas la plus petite idée de ce qu’il devrait faire ou pourrait faire… C'est terrifiant, dans un moment de l'Histoire où tout est menaces, tout est périls, tout est dangers !
ClaudeHenrion