Lola et Ilan Halimi ou les deux symboles du djihadisme “banal”
Contrairement à ce qu’avancent les outils de la Secte SHA servant de médias-balais, l’assassinat de Lola et sa mutilation “barbare” aura bien plus à voir avec le meurtre, avec mutilation et viol, de
Ilan Halimi que ceux de pédocriminels qui ont pu sévir et défrayer la chronique.
Certes, chaque crime est singulier ; certes encore,
les inscriptions incrustées dans la chair même de Lola pourraient aider, mais cela ne veut pas dire pour autant qu’il ne soit pas possible d’égrainer quelques corrélations entre
ces deux crimes symbolisant le degré de déperdition d’une société française et en particulier de son élite aveuglée depuis des décennies par un sociologisme par ailleurs de pacotille comme l’indique même le sous-titre de ce média-balai de grand chemin: “
(…)sans domicile fixe et sans travail(…)” , laissant ainsi supposer la prédominance “sociale” de ce crime, ou le stigmate même de toute une sociologie et aussi une psychologie réductionniste (ainsi la généralité glissant de “humain” à “mâle” sauf que là il s’agit d’une “femelle”…) et dans lesquelles
la criminologie en tant que science autonome aura été précisément bannie il y a quelques années en France.
Car, n’en déplaise également aux instances officielles de la “communauté” juive française, le meurtre d’Ilan n’est pas un acte “antisémite”
comme les autres, au sens où il aurait pu être effectué par un “suprématiste” blanc et/ou quelqu’un “d’extrême droite” par exemple. Non,
il a été également opéré en groupe (comme pour Lola) par des individus baignant dans l’ambiance djihadiste dite et non dite qui interdit d’emblée de relativiser par exemple
les propos actuels du “chef” en stipulant qu’il aurait seulement agrémenté
a posteriori son crime par cette légitimité-là.
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