Cet évaporé fait penser à un charlatan qui prescrirait du Doliprane contre un cancer. Alors que des opérations sont encore possibles pour extirper la tumeur. Douloureuses mais indispensables, si on s’y prend à temps… Mais il préfère attendre des métastases généralisées. Pour pouvoir dire ensuite que l’acharnement thérapeutique était vain.

L’islamisme est à la fois une lèpre et un cancer

Une lèpre parce qu’il dévore extérieurement ceux qu’il contamine. Ils s’étiolent et partent en petits morceaux. Lentement, progressivement, inéluctablement. Tout le monde peut voir la progression du mal. Sauf Macron la chochotte qui préfère fermer les yeux. Et nier l’évolution du mal. La société et ses institutions se disloquent comme le malade perd ses doigts, ses orteils, son nez et ses oreilles.

Un cancer parce que ce mal grignote de l’intérieur les pays qu’il infecte. Si des pathologies foudroyantes sont possibles, pour peu que l’occasion se présente, la plupart du temps, au début, le mal agit dans l’ombre. Pas de symptômes, peu ou pas de troubles physiologiques ni de douleurs. L’islam est patient. Il a l’éternité devant lui.

Il lui a fallu 1400 ans et des centaines de millions de morts pour phagocyter, corrompre, pourrir, disloquer les sociétés qui lui ont résisté. Le temps n’est pas un problème. Leur guru pédophile a légué aux adeptes de sa secte une infinie patience et une obstination maniaque. Il faut être un écervelé comme Macron pour refuser de voir cela.

L’islam rejette la coexistence pacifique avec d’autres cultures

Il en a toujours été ainsi. Depuis 1400 ans. En Orient comme en Asie, en Afrique comme en Europe. La victoire s’obtient pas le sabre, par la corruption ou par le nombre, mais la paix avec les Kouffars est une hérésie incompatible avec leur croyance.
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