Donnez-moi quelque chose que je n'ai pas,
donnez-moi votre bouche, donnez-moi
des fleurs en hiver et
l'intérieur de vos mains
à l'extérieur de mon corps.

Donnez-moi quelque chose que je n'ai pas,
 donnez-moi les secrets
de votre cœur,
Le flux de votre amour qui coule
et m'atteint comme un fleuve noir.

Donnez-moi quelque chose que je n'ai pas,
la douceur de votre peau ,
le parfum de votre âme,
donnez-moi
tout ce que vous avez déjà refusé

Donnez-moi quelque chose que je n'ai pas,
donnez-moi votre bouche.
Peregrine

Du nord au sud, les plages de l'Ouest souffrent, sous le vent qui souffle de la mer qui ronge. Emportera-t-il le bois de Trousse-chemise au nord de l'Ile de Ré (Charente maritime) ? Un bois qui devrait son joli nom à l'époque où il fallait relever sa chemise pour traverser, à marée basse, le gué de Loix, tout proche.
A chaque coup de tabac, les racines des pins maritimes, bordant la plage, sont mises à nu. Les vagues retroussent la petite forêt domaniale, d'à peine 25 ha, chantée par Charles Aznavour et Barbara. Qui se souvient de ces rimes, signées Jean Mareuil, en 1962 :
Dans le petit bois de Trousse-chemise
Quand la mer est grise et qu'on  l'est un peu
Dans le petit bois de Trousse-chemise
On fait des bêtises, souviens-toi nous deux ...
Le journal sud-ouest se souvient et s'inquiète. Il y a 4 ans, il dénonçait un recul des dunes de 120 m.
"Les protections en bois posées par l'office national des forêts ont cédé. L'océan emporte tout." souligne le mer des Portes de Ré.
Prémonitoires ces dernières rimes de la chanson ?
On coupe le bois à Trousse-chemise
Il pleut sur la plage des mortes saisons ...

L'association Le Berligou vient de réaliser une nouvelle plantation sur le site conservatoire viticole du parc Joseph-Bricaud, quartier Chabossière. Vingt-deux hybrides y ont en effet trouvé place, par la création d'un 12^e rang, les onze autres étant du cépage Le Berligou (Pinot noir). « Après la Seconde guerre, le phylloxéra ayant sévi, avant que le greffage ne soit trouvé, les gens ont planté des hybrides », indique Alain Poulard spécialiste viticole.
Oberlin, Landau, Rayon d'or, Vin des Pharaons... « Il s'agissait là d'hybrides existants à Couëron », ajoute-t-il. « Nous avons récupéré des plants avant que les gens n'arrachent leur vigne. » Les vignes occupaient en effet de nombreuses terres à Couëron. C'est donc dans l'idée de poursuivre leur conservatoire que l'association a réalisé cette plantation, possible par le concours des Couëronnais possesseurs de vignes Jean-Pierre Doucet, André Mercère et Marcel Radigois. Ces hybrides pourront être dégustés dans deux ans.
Cette année, l'association a produit deux cuvées (2x 25l) de Berligou : « primeur » en rosé, et rosé sur lie, « et nous espérons davantage, la vigne du Berligou ayant des fleurs partout », concluent les bénévoles. Vendange vers le 25 septembre. Le Berligou devrait ainsi se décliner sous toutes ses formes : blanc, rosé et rouge.

«C'est beaucoup plus créatif de travailler avec l'idée de l'attention plutôt que l'idée de la volonté. Trop souvent, les gens essaient de changer leur vie à l'aide de la volonté comme une sorte de marteau pour battre leur vie en bonne forme. L'intellect identifie un but du programme, et la volonté oblige donc la vie à prendre  cette forme. Cette façon d'aborder le caractère sacré de sa propre existence est externaliste et violente. Elle vous porte faussement en dehors de vous, et vous pouvez passer des années perdues dans le désert de votre propre mécanisme. Vous pouvez périr dans une famine de votre propre fabrication.
Si vous travaillez avec un rythme différent, facilement et naturellement, vous saurez retrouver le chemin de votre âme. L'âme connaît la géographie de votre destin. Votre âme seule a la carte de votre avenir, vous pouvez lui faire confiance  Si vous le faites, elle vous emmènera là où vous devez aller, et ce qui est le plus important, elle vous apprendra à mettre de la douceur dans le rythme de votre voyage ".
John O’Donohue

Vous faites bouillir mon sang,
il  se précipite à travers moi
comme de la lave, et allume mes autres
sens. Et je vous veux,
Je veux sentir votre brûlure,
Je veux la sentir partout.
Vous arrivez vers moi, vous savez la
juste façon d'obtenir tout de moi. Tout
ce qu'il faut : c'est une chose, un
mot, et je brûle comme
mille soleils lorsque vous le
dites, quand vous le dites,
"Tu es mien".

Il est une terre de pur plaisir
Où les saints règnent,  immortels ;
Où l'Infini du jour exclut la nuit,
Et où les plaisirs bannissent la douleur.
Où le printemps dure éternellement,
Et les fleurs ne se flétrissent jamais ;
Où la mort comme une mer étroite se divise
Cette terre paradisiaque est la nôtre.
Isaac Watts

Wang Kun est né en 1970 dans la province de Jilin en  Chine.
Ses jambes se sont paralysées à cause de la polio à l'âge de 3 ans. Il aime la peinture depuis l'enfance et il recherche un niveau supérieur de l'éducation par tous les moyens. Malheureusement, sa restriction physique était un handicap sérieux dans son étude.
 Avec le plein appui et l'encouragement de sa famille, il a essayé de son mieux pour trouver et rassembler autant de ressources que possible lié à l'art et a commencé une auto-formation complète et professionnelle de base,  stricte et formelle: cette autoformation lui donnent des compétences très solides fondamentales de dessin ainsi il prépare le terrain pour de futurs développements dans l'art. A cette époque, il a également étudié la peinture chinoise, la calligraphie, la sculpture de phoques et de nombreux autres domaines artistiques.
http://annacatharina.centerblog.net/rub-kun-wang-art-.html

Par Paul C.

 Enfin, du pain, pas trop, si l’on en juge par l’évolution de la crise pour ceux qui n’occupent pas les barreaux les plus hauts de l’échelle sociale, ou alors il faut aller le chercher aux Restos du cœur ; des jeux, un max, si l’on en juge par le programme des réjouissances à venir… Choisissez vos paradis artificiels : jeux olympiques d’hiver en Russie, Coupe du Monde de football au Brésil, à moins que vous ne préfériez attendre celle qui aura lieu en Russie en 2018 ou au Qatar en 2022. Tout dépend de vos critères de sélection : pays où la mortalité sur les chantiers est la plus élevée, pays où l’on méprise le plus les Droits de l’Homme, pays où les travailleurs sont traités pire que des esclaves ? Vous avez l’embarras du choix… Les paradis artificiels sont de plus en plus nombreux et l’on n’a même plus besoin d’une pipe d’opium ; la misère des uns à moins que ce ne soit la fortune des autres suffisent à faire rêver.
http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article24912

Par Fabrice Nicolino

 Les lecteurs les plus réguliers me pardonneront ce qui leur apparaîtra un pur radotage : j’apprécie José Bové. Je le connais - un peu - depuis une vingtaine d’années, et je le vois régulièrement. Pour dire toute la vérité, j’ai pour lui une affection qui ne m’a jamais empêché de le critiquer, et parfois vivement, notamment sur la question du Loup. Je ne vais pas recommencer tout mon argument. Bové est tout ce qu’on voudra, mais pas un écologiste au sens où je l’entends en tout cas. Disons que c’est un environnementaliste, ce qui n’est pas du tout la même chose. Et ajoutons qu’il vient de s’illustrer une fois encore au sujet de la Bête, cette fois en faisant preuve de ce que j’appellerai gentiment de l’irresponsabilité.
http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article24910

Le bruit des averses sur la véranda qui les amplifie ...
Le gris s'est invité pour la journée ?
Tout ce que nous faisons est infusé avec l'énergie avec laquelle nous le faisons.
Si nous sommes frénétiques, la vie sera frénétique.
Si nous sommes paisibles, la vie sera paisible.
Notre objectif, dans n'importe quelle situation, doit commencer par la paix intérieure.
Marianne Williamson