• Il a neigé cette nuit  ... non, pas en vrai ... c'est une histoire ... Donc, je disais, il a neigé cette nuit, vous partez au travail ou conduire votre enfant à l'école. Une petite bataille de boules de neige vous tente, mais vous êtes pressé. Qu'à cela ne tienne ... au coin de la rue, un homme a fabriqué des boules de toutes les tailles ... quelques pièces de monnaie et c'est parti.
    Enfant et même adolescente je détestais la neige pour les boules que les vilains garçons nous envoyaient, je détestais la balle au prisonnier à l'école et je détestais les confettis qu'on vous met de force dans la bouche ...
    Bref, j'aimais ma tranquillité !!! Je n'ai pas channnngé !

    Pourquoi pas ....


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  • La « vallée des dieux », un monde idyllique mais menacé

    Cet afflux touristique a provoqué dans la région, depuis une quinzaine d’années, une urbanisation galopante (environ un millier d’hôtels et d’auberges à Manali et dans les villages voisins) afin de pouvoir accueillir cette surpopulation saisonnière, des nuisances environnementales non maîtrisées, un renchérissement très important du coût de la vie pour les populations locales d’origine ainsi qu’un profond bouleversement dans leur mode de vie ancestral. Les ressources traditionnelles de la vallée (agriculture vivrière, élevage des moutons et des chèvres, culture intensive des pommes) ne suffisent plus à bon nombre de familles des villages qui, si elles le peuvent, doivent s’endetter pour investir et survivre dans la jungle touristique.

    De même, le développement relatif d’une partie de la vallée attire de nombreuses populations extérieures, venues travailler dans les hôtels et restaurants, sur les chantiers de constructions de routes, ponts et bâtiments divers. Ces travailleurs, corvéables à merci, sont originaires en majorité du Népal, du Rajasthan ou du Bihar, l’un des Etats les plus pauvres d’Inde.

    L'Inde, c'est surtout ça ...


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  • Et puis les dessins sont beaux ...
    L’artiste mexicain Ricardo Solis a fait des illustrations d’animaux qui sortent de l’ordinaire car il introduit dans son dessin des petits ouvriers qui oeuvrent à la création de l’animal en question en le coloriant. Cela rend l’illustration vivante et animée avec cette dimension de travail qui se réalise simultanément sous nos yeux.
    http://www.fubiz.net/2014/03/06/lively-illustrations-of-tiny-men-coloring-animals/

    J'aime bien l'idée ...


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  • Les mots ... toujours ...

    D'une bouteille d'encre
    On peut tout retirer :
    Le navire avec l'ancre,
    La chèvre avec le pré,
    La tour avec la reine,
    La branche avec l'oiseau,
    L'esclave avec la chaîne,
    L'ours avec l'Esquimau.
    D'une bouteille d'encre
    On peut tout retirer :
    Si l'on n'est pas un cancre
    Et qu'on sait dessiner.
    Maurice Carême.


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  •  

    Ensuite vous dormez ...

    Ensuite, vous dormez,
    et je suis tranquille contre vous
    tout est calme,
    puis je range nos vêtements.
    J'accroche votre chemise et un pantalon
    et je vous écoute respirer.

    Je me regarde
    dans le miroir de la salle de bain
    et je me tourne sur le côté
    pour voir où vous m'avez embrassé
    une ecchymose sur ma peau
    comme un peinture mauve.
    Peregrine


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  • Le Jantar Mantar de Jaipur est un site d'observation astronomique construit au début du XVIIIe siècle. Il comprend un ensemble d'une vingtaine d'instruments fixes. Edifiés en maçonnerie, ce sont des exemplaires monumentaux d'instruments connus mais souvent aux caractéristiques particulières. Destinés à des observations d'astronomie à l'œil nu, ils comportent plusieurs innovations architecturales et instrumentales. C'est l'ensemble le plus significatif, le plus complet et le mieux conservé des observatoires anciens de l'Inde. Il exprime les compétences astronomiques et les conceptions cosmologiques acquises dans l'entourage d'un prince savant à la fin de l'époque moghole.
    http://whc.unesco.org/fr/list/1338/

    L'Inde n'est pas que le Taj Mahal ...


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  • L'intérieur de la cavité douce de mon corps,
    vous brûle.
    Dans l'espace où la nuit règne,
    vous tremblez.
    Dans l'ombre où la prière dément la miséricorde,
    vous vous agenouillez.
    Dans la profondeur du rêve brisé,
    vous apparaissez.
    Au nom de l'enseignant qui est venu pour nous sauver,
    vous suppliez.
    Là où l'oubli arrive en haillons,
    vous palpitez.
    Là où la mémoire n'a pas de paix,
    J'existe.
    Là où l'âme égarée se lie à une autre,
    nous mentons ensemble.
    Là où je presse mon cœur avant le déluge de larmes
    J'ai honte,
    Je ne vous connais pas.
    Là où est la minceur de mon silence à vos questions,
    Je vous pardonne.
    Lina Zeron


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  • José Ferraz de Almeida Júnior (8 mai 1850, Itu – 13 novembre 1899, Piracicaba) est un peintre brésilien, généralement considéré comme le principal peintre réaliste brésilien du XIXe siècle pour ses tableaux représentants des fermiers ou d'autres habitants de la campagne, notamment les caipira de la région de São Paulo.
    Il vit à Paris de 1876 à 1882, où il est l'élève d'Alexandre Cabanel et entre au contact de l'influence des maîtres réalistes français. Il est poignardé à mort en 1899 par le mari de sa maîtresse.
    http://artesehumordemulher.wordpress.com/pinturas-de-jos-ferraz-de-almeida-jnior-2/

    Le monde de José ...


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  • Le capitalisme a des légions d’apologistes. Beaucoup le sont de bonne foi, produit de leur ignorance et du fait que, comme l’a dit Marx, le système soit opaque ; sa nature exploiteuse et prédatrice ne parait pas toujours évidente aux yeux des femmes et des hommes. D’autres le défendent parce qu’ils sont ses grands bénéficiaires et amassent d’énormes fortunes grâce à ses injustices et inégalités. Il y a aussi ceux (« gourous » financiers, « opinionologues », « journalistes spécialisés », académiciens « bien-pensants » et les divers représentants de la « pensée unique ») qui connaissent parfaitement bien les coûts sociaux qu’impose le système en termes de dégradation humaine et environnementale. Mais ils sont très bien payés pour tromper les gens et poursuivent inlassablement leur labeur. Ils ont très vite appris que la « bataille des idées » est absolument stratégique pour la préservation du système et des privilèges dont ils bénéficient.
    http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article25361
    Depuis cinq siècles d’existence c’est tout ce que le capitalisme peut offrir. Qu’attendons-nous pour changer de système ? Si l’humanité a un futur, il sera clairement socialiste (au sens politique propre pas à la sauce du PS de François Hollande). Avec le capitalisme, en revanche, il n’y aura de futur pour personne. Ni pour les riches ni pour les pauvres. La sentence de Friedrich Engels, et aussi de Rosa Luxemburg : « socialisme ou barbarie », est aujourd’hui plus actuelle que jamais. Aucune société ne survit quand son impulsion vitale réside en la recherche incessante du bénéfice, et son moteur qui est le profit. Tôt ou tard cela provoque la désintégration de la vie sociale, la destruction de l’environnement, la décadence politique et une crise morale. Nous n’en sommes pas encore là, mais le temps qui nous reste est faible.

    2ccr.wordpress.com

    Où allons-nous ?


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  • Mais à cette heure, le soleil fait encore la grasse matinée !
    Il arrive un moment où le monde se calme et où la seule chose qui reste est votre propre cœur.
    Alors vous feriez mieux d'apprendre le son de celui-ci.
    Sinon, vous ne comprendrez jamais ce qu'il dit.
    Sarah Dessen

    Comme un air de printemps ...


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