Profitons de ces beaux instants offerts ...
Bénissez ceux qui nous interpellent à croître, à nous étirer, à nous déplacer au-delà de la connaissance,
revenant à la maison avec notre nature essentielle.
Bénissez ceux qui nous interpellent car ils nous rappellent les portes que nous avons fermées
et les portes que nous avons encore à ouvrir.
Pensée amérindienne

Mes deux oiseaux. J'avais été très surprise de les voir pondre deux jolis oeufs. Je pensais avoir deux mâles. Non, j'ai au moins une femelle. Bon ils sont de races et de tailles différentes ... un oeuf a disparu ??? l'autre a été jeté dans la cage. Bon. O.K. ... je n'ai pas envie de faire élevage.
J'avais accroché un nid en osier et ça leur sert de lit conjugal. Ils y dorment l'un contre l'autre, je trouve ça sympa, je leur mets des bouts de laine, des morceaux de fougère et ils font et défont.
Ce matin, je leur mets de l'eau fraîche ... le plus petit est dans un état ... plus de plumes de queue et presque tout deshabillé, on voit la peau. Il me fait pitié, je me dis que le plus gros doit lui faire des misères. je vais chercher une plus petite cage, je la prépare, j'attrape le petit, je le met dedans et je vaque à mes occupations.
Je repasse un peu plus tard, le petit est toujours sur le sable, en bas de cage ... 1 oeuf à côté, donc c'est bien une femelle ... Je prends l'oeuf avec du sopalin, je le mets dans le nid et je remets la femelle avec l'autre.
Toute à l'heure, je regarde, plus rien ...
Là, ils m'énervent ... qu'ils vivent leur vie ...

« De loin, tu vois des taches de couleur. Si tu mets le nez dedans, tu entres dans un autre univers ». Biologiste et naturaliste français, Jean-Yves Monnat observe au début des années 1980 les mouettes tridactyles (Rissa tridactyla) sur les falaises de la Pointe du Raz ou de la Réserve du Sizun, dans le Finistère. Tout autour de lui, attirant son regard jusqu’aux crêtes des Monts d’Arrée, ces tâches de couleur que sont les lichens, ces organismes microscopiques capables de résister aux conditions extrêmes et appartenant à ce que l’on nomme désormais « la biodiversité négligée ». 

Autrefois classés parmi les végétaux et souvent confondus avec les mousses, les lichens sont des êtres très particuliers constitués par l'association d'au moins  deux  partenaires : un champignon (90% de l'ensemble) et des cellules microscopiques possédant de la chlorophylle comme les algues ou/et les cyanobactéries. Ici, un spécimen de Teloschistes chrysophthalmus (Photo Jean-Yves Monnat).
Ces taches font partie de mon environnement vivant, quand je me promène, seule ou avec mon chien, je les vois, sur les trottoirs, sur les murs, grises, d'un vert un peu gris aussi ou oranges plus éclatantes ... la vie est partout à nos pieds, une vie qui ne s'arrêtera pas avec nous. Une vie qui parait si simple, parfois inintéressante, mais qui est la vie et qui est souvent nécessaire à la nôtre ... vous qui aimez aussi les pierres, regardez comme elles sont vivantes et habitées.

Le Temple de Mînâkshî est un temple hindou de style dravidien situé à Madurai dans le Tamil Nadu. C'est un des chefs d'œuvre de l'architecture dravidienne et l'un des temples en activité les plus importants de l'Inde. Il est consacré à Mînâkshî, un Avatar de la déesse hindoue Pârvatî, l'épouse de Shiva. Ainsi qu'à Shiva sous sa forme Sundareshvara (=le beau seigneur). Il comporte deux sanctuaires, un pour chacun des deux dieux. Il compte parmi les lieux saints de l'Inde les plus fréquentés et attire des pèlerins qui viennent s'y marier ou s'y purifier.
Mînâkshî signifie "aux yeux de poisson". Le mot est dérivé des mots mina (=poisson) et akshi (=yeux). Minaksi est une des rares déesses hindoues à avoir un temple majeur qui lui soit consacré. De plus, dans la plupart des temples de Shiva, c'est Shiva qui en est le dieu principal.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Temple_de_M%C3%AEn%C3%A2ksh%C3%AE

Vallée des roses est le surnom touristique de la vallée de l'Oued Dadès située dans le sud du Maroc, au pied du Haut-Atlas entre El Kelaa des M'Gouna et Boulmane du Dadès. Son entrée à Imassine est marquée par la présence d'un chaos de gros blocs rocheux arrondis dont certains semblent posés en équilibre sur le sol. C’est une longue suite de petits villages et de maisons traditionnelles en terre, dont la richesse se cache dans des jardins invisibles de la route. Son économie est essentiellement basée sur l'agriculture (céréales, orge, maïs, pomme de terre).
Elle doit son nom à la présence de haies de rosiers employées pour éloigner les chèvres des champs cultivés. Les roses sont utilisées traditionnellement pour la production de l'eau de rose. Les rosiers, dont l’odeur se propage partout au mois de mai, quelques jours avant la récolte, donnent une tonalité particulière à cette vallée.
La rose de Damas, Rosa Damascena, qui résiste au froid et à la sécheresse, aurait été introduite par des pèlerins de retour de la Mecque au X° siècle. Elle est cultivée pour la consommation locale, sous forme d’eau de rose, comme pour l’exportation et l’industrie du parfum, sous forme d'essence et de concrète de roses. Annuellement trois à quatre mille tonnes[réf. nécessaire] de roses sont récoltées, au cours d’une semaine qui se clôture par le très touristique moussem des Roses.
L'eau de roses est fabriquée sur place, mais les cosmétiques et les savons sont maintenant faits dans des usines, à Marrakech ou Casablanca. La distillation est réalisée dans deux usines dans la région, celle de Kelaâ, installée dans une ancienne kasbah.
Les roses sont aussi exportées pour l'industrie du parfum. Enfin, traditionnellement les familles de producteurs l'utilisent, pour le parfum, la cuisine, et des soins corporels.

Malgré l'instabilité générale, de nombreuses trouvailles continuent d'être effectuées par les archéologues. Une équipe espagnole vient d'exhumer un sarcophage vieux de 3600 ans. Plus étonnant encore, une école a été formellement identifiée non loin d'Amheida, vieille de 1700 ans.

Malgré les attentats et l'instabilité générale dont souffre le pays, la recherche, nationale et internationale, continue en Egypte. En témoigne une floraison exceptionnelle de découvertes archéologiques annoncée le mois dernier. Point fort: une équipe espagnole a exhumé sur la rive occidentale de Louxor une momie vieille de 3600 ans (XVIIe dynastie). Son sarcophage en bois, de deux mètres de long sur 50 cm de large, en très bon état, porte de magnifiques dessins de plumes aux couleurs vives. Accompagnés de hiéroglyphes, ces motifs symbolisent Maât, la déesse de l'ordre, de la justice et de la paix. Dans une balance, elle pesait les cœurs des défunts contre une plume pour déterminer leur statut dans l'au-delà. L'actuel ministre de l'Intérieur Mohamed Ibrahim a souligné qu'il s'agissait d'une pièce très rare. Il reste à savoir qui était la momie, probablement un dignitaire.

Malgré l'instabilité générale, de nombreuses trouvailles continuent d'être effectuées par les archéologues. Une équipe espagnole vient d'exhumer un sarcophage vieux de 3600 ans. Plus étonnant encore, une école a été formellement identifiée non loin d'Amheida, vieille de 1700 ans.
http://www.lefigaro.fr/culture/2014/03/05/03004-20140305ARTFIG00189-egypte-decouverte-d-une-nouvelle-momie-pres-de-louxor.php

Aimer chaque petite chose de lui
n'est pas égoïste.
Vous avez le droit d'aimer
la façon dont le soleil frappe ses cils
ou la chaleur qui se glisse sur vos joues
quand il chante vos chansons préférées
ou la façon dont ses cheveux sont doux entre vos doigts
ou même la façon dont il sourit
quand il attire votre attention.
Aimer n'est pas un péché.
il ne faut pas avoir honte d'aimer
tout ce qu'il déteste lui-même.
k.k.

Rencontrez Boneco, premier âne de l'apiculture dans le monde. Il vit au Brésil et aide son propriétaire, Manuel Juraci, à faire du miel. Boneco ne semble pas trop aimer son costume d'apiculteur. Il est pourtant adorable habillé ainsi.
Ce n'est pourtant pas seulement un passe-temps amusant pour Juraci et Boneco. L'apiculture est leur gagne-pain. Dans leur région du Brésil, c'est trop aride pour cultiver la terre, de sorte qu'un grand nombre d'habitants se sont tournés vers l'apiculture et la production de miel pour joindre les deux bouts. Juraci est en fait l'un des 120 apiculteurs dans la petite ville de Itatira, qui est dans la partie nord-est du pays. Il est également l'un des plus productifs grâce à Boneco et à son hilarant costume d'âne apiculteur. Il fait une telle différence que l'Association des producteurs de miel veut que Juraci fasse plus de costumes pour tous les ânes des autres apiculteurs.

A la Nouvelle-Orléans, le pipi sauvage, contre un mur ou derrière un buisson, peut vous conduire en prison. Deux habitants de cette ville américaine, confrontés à ce problème lors des fêtes de mardi-gras, ont eu l'idée d'un site internet mettant en contact des gens pressés et des âmes charitables, acceptant de leur ouvrir leurs toilettes pour se soulager. Hier, sur le site, deux cents lieux étaient proposés. Surtout des cafés et des toilettes publiques !

Une fois de plus, le calme
Une autre disparition...
Est-ce votre vraie nature ?
Ou ai-je posé le pied sur vos orteils
Dans une conversation maladroite ?

Une petite ondulation
Dans le typhon qu'est votre vie
bruits périphériques
Dans le vacarme perpétuel
Qui interrompt votre pensée.

Je suis prêt
Si vous pensez que vous pourriez avoir besoin de moi
Prêt à vous écouter
A essayer de vous comprendre
Lorsque vous ouvrez votre coeur
JBZ