• La pluie est bonne pour la romance ...
    Promenez-vous dans n'importe quelle ville un jour de pluie et vous verrez ceci : des couples proches et heureux sous un parapluie commun, le bras enroulé autour de la taille de l'autre. Ou être trempés joyeusement ensemble, souriants sous l'averse, luttant contre le vent avec un parapluie. Ou en tête à tête à de petites tables de terrasses de cafés,  sous les auvents. Prétendant qu'ils se sont arrêtés ici pour se garder  de la pluie, mais utilisant cette excuse pour s'asseoir,  rapprochés et se toucher beaucoup. D'autres entrent dans un magasin en riant,  riant de leur humidité, ravis de tout. Ils ne veulent rien acheter ; ils sont juste là, utilisant un endroit sec  comme un entracte. Un couple  âgé, dans un restaurant, heureux d'aider les uns les autres à se mettre au sec. Ils bavardent avec animation pour la première fois depuis des jours, comparant leurs ennuis, dans la tempête, pour venir ici. Ils sont tous deux affamés maintenant. Quelque chose à voir avec la marche sous la pluie. Ils vont manger comme des ogres. Des jours comme ceux-ci restent dans nos mémoires. Longtemps plus tard, ils se souviendront de la folie du temps de cette journée et ils diront : "nous nous sommes retrouvés coincés dans cette tempête" Et leurs yeux s'allumeront. Bien sûr, ils se souviennent. C'est garanti.
    La pluie est bonne pour la romance ...
    Jonathan Carroll

    Chanter sous la pluie ...


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  • Le fleuve Amazone en Amérique du Sud est le plus grand fleuve par son débit dans le monde avec un débit moyen qui est supérieur aux sept plus grands fleuves combinés. Le bassin amazonien c'est  le plus grand bassin de drainage dans le monde, et représente environ un cinquième du débit des rivières du monde.
    La source la plus lointaine de l'Amazone est un cours d'eau glaciaire sur un sommet enneigé situé 5.597 m, un pic appelé Nevado Mismi dans les Andes péruviennes. L'endroit est marqué par une croix de bois. Les eaux de flux du Nevado Mismi coulent dans le Quebradas Carhuasanta et Apacheta, qui se jettent dans le Rio Apurimac qui est un affluent de l'Ucayali qui rejoint plus tard, le Marañón pour former l'Amazone que nous connaissons.
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Amazone_%28fleuve%29

    Revenir à la source ...


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  • "Un trou fallstreak, aussi connu comme un trou de nuage "coup de poing", poinçon, skypunch, trou de nuage, grand écart circulaire ou elliptique, peut apparaître dans les cirrocumulus ou les altocumulus. Ces trous sont formés lorsque la température de l'eau dans les nuages est inférieure à zéro, mais l'eau n'est pas encore gelée en raison de l'absence de particules permettant la "nucleation" de la glace (voir l'eau en surfusion). Lorsque les cristaux de glace se forment, cela va déclencher un effet domino, en raison du processus Bergeron, provoquant l'évaporation des gouttelettes d'eau autour des cristaux. Cela laisse un grand trou, souvent circulaire, dans le nuage.
    https://www.facebook.com/stopsectechemtrail/posts/862308187135364

    Notre monde mystérieux ...


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  • Oui, mais juste pour un instant ... très vite ils redeviennent déchets encombrants ...
    L’artiste basé à Brooklyn, Alejandro Duran s’est rendu au coeur de la réserve naturelle tropicale de Sian Ka’an au Mexique, classée au Patrimoine Mondial de l’Unesco. Cette réserve est cependant jonchée par déchets en provenance du Monde entier. Afin de sensibiliser le public, Alejandro Duran a fait de ces détritus des oeuvres colorées.
    http://www.fubiz.net/2015/04/24/washed-up-trash-installations/

    Déchets artistiques ?


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  • Felix Espinoza Vargas (57) est le nom d'un artiste exemplaire qui parcourt l'ensemble du Pérou pour exposer ses oeuvres dans différents endroits et même des parcs. Sa vie est exemplaire car il n'a pas de bras et peint ses tableaux avec sa bouche, plutôt que d'être de véritables œuvres d'art, elles servent à soutenir sa famille en tant qu'aquarelliste et culminant dans le monde difficile de la peinture.

    Le monde de Félix ...

    Le monde de Félix ...

    Le monde de Félix ...

    Le monde de Félix ...

    Le monde de Félix ...

    Le monde de Félix ...

     

     


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  • LA CRISE ? QUELLE CRISE ?

    Ne discutez pas ! Si, à travers le monde, tous les économistes, banquiers, grands patrons,  médias et gouvernements libéraux, tous les gouvernements européens, dont le nôtre, vous disent que c’est la crise, eh ! bien c’est la crise. Un point c’est tout. Vous devez donc accepter tous les sacrifices que ces belles âmes vous demandent.

    Plus je vieillis, plus j’ai la tête dure. Je n’accepte pas ce brouet quotidien.

    Tout d’abord, je propose de revenir sur le concept de crise, qui nous est doctement asséné comme une évidence, jusqu’à l’indigestion. Preuves et chiffres incontestables à l’appui, puisque pris aux sources mêmes des statistiques officielles.

    Pour qu’il y ait crise, il faudrait que les richesses créées et produites aujourd’hui soient moindres que celles créées et produites il y a 10, 15, 20 ou 30 ans.

    Pour la commodité de ma démonstration, je vais m’en tenir aux chiffres de notre pays depuis 1980. Pourquoi 1980 ? Parce que c’est le point à partir duquel le capitalisme est arrivé à un stade d’évolution tel, depuis deux siècles, qu’il s’est mondialisé et financiarisé. Les deux premiers vecteurs de cette mondialisation et de cette financiarisation, inscrites dans les gènes du capitalisme, ont été Ronald Reagan, élu président des Etats-Unis, et Margaret Thatcher, devenue Premier ministre britannique. L’autre accélérateur de la mondialisation et de la financiarisation capitalistes a été la chute du Mur de Berlin et dans la foulée celle de l’Union soviétique.
    http://blogs.mediapart.fr/blog/robertmascarell3gmailcom/101112/la-crise-quelle-crise

    Crise ? mais quelle crise ?


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  • Selon le FMI, la déréglementation du marché du travail... ne sert à rien !

    Par Napakatbra

     

     Réclamées à cor et à cri par le FMI, les mesures de libéralisation du marché du travail n’auraient finalement aucun effet sur la croissance, selon... un rapport du FMI !

     

    La semaine dernière, Christine Lagarde a supplié les 188 pays membres du FMI d’accélérer les réformes structurelles qui permettraient de « relever la croissance d’aujourd’hui et de demain ». Au menu, notamment, la dérégulation du marché du travail, une mesure « difficile » mais « à long terme, tout le monde y gagnera », a-t-elle assuré (voir ici ou ). Alléluia ! Mais il y a comme un léger hic, relevé par Jacques Sapir. En plein milieu du document de référence qui a motivé la sortie de la big boss du FMI, figure un tableau pour le moins intrigant. Les statisticiens du Fonds y ont synthétisé leurs conclusions concernant l’impact des réformes structurelles quémandées par le FMI sur la croissance potentielle des États.
    http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article28414

    Ils ne font que nous mentir, nous "esclavager"

     


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  • Je ne sais pas, je ne le sens pas, je le trouve bien gris ce lundi !
    Belle journée !
    Acceptez la responsabilité de votre vie.
    C'est vous qui savez où vous allez, personne d'autre.
    Les Brown

    Un lundi au soleil ...


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  • La nature est toujours aussi belle,
    mais moins rutilante sans soleil !
    Bonne soirée  ...
    Quand je suis sorti par la porte qui me menait à la liberté,
    je savais que si je ne quittais pas mon amertume et si je ne laissais pas la haine derrière,
    je serais resté comme en prison.

    Nelson Mandela

    Un dimanche temps mauvais ...


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  • Je crois ...

    Je crois à ton silence, à ta peau de lumière,
        à ton galop violet, éclair terrestre,
        animal de pluie, de vent et de ciel nocturne
        aux formidables naseaux qui aspirent l’air de la nuit.
        Le temps a nourri la lumière de ta peau.
        Mes mots deviennent les pierres de ta chaleur.
        Même parmi des nuages, tu sens la fumure de ton sol.
        Tu es le matin du temps, l’aurore mûrissante.
        Antonio Ramos Rosa


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