• Je rêve ...


    Je rêve ...
    Elle est près de moi
    Je me dis que je rêve
    Mais la pression de sa main contre ma main me semble
    trop forte
    Je me réveille
    Elle est bel et bien près de moi
    Bonheur fou
    J'allume
    La lumière surgit un centième de seconde puis s'éteint
    (une lampe qui claque)
    Je l'enlace
    (je me réveille : je suis seul)
    Georges Perec


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  • A quelques kilomètres au sud d’Edimbourg en Ecosse, le village de Gilmerton reste pour beaucoup au coeur d’un mystère entourant la construction d’une sorte de bunker médiéval. Cette grotte comprenant six pièces et creusée par la main de l’homme dans le grès reste aujourd’hui énigmatique quant à sa conception et son utilisation. Officiellement, on attribue cette création à un forgeron nommé Paterson, qui vécut au début du 18e siècle. Pourtant il est difficile de croire qu’un seul homme soit à l’origine de cette grotte. Du coup les thèses des Templiers, du Hellfire ou des Francs-Maçons sont souvent évoqués. Alors qu’en est-il ?
    http://enigmeshistoire.e-monsite.com/pages/le-mystere-de-gilmerton-cove.html

    Le mystère est dans la grotte ...


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  • Le barbican promepic ou Barbet à crête (Trachyphonus vaillantii)
    Le barbet à crête est un oiseau subsaharien de la famille des Lybiidae. Avec son bec épais et son plumage très coloré, le barbet à crête est reconnaissable. Le barbet à crête se nourrit d'insectes, de fruits, d'oeufs d'autres oiseaux et parfois de souris. Ils vivent seuls ou en couple. Ils aiment à rebondir sur le sol à la recherche de nourriture, ils chantent habituellement à partir d'une branche. Ils ne volent pas facilement et seulement pour de courtes distances. Les barbets à crête nichent dans les trous des arbres.
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Barbican_prom%C3%A9pic

    Comme  un oiseau de Noël ...


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  • 2 - Gomme à mâcher ...
    Mâcher pour se détendre est devenu à la mode parmi les colons après qu'ils aient vu des Amérindiens mâcher de la résine gommeuse d'épinettes. Au 19ème siècle, les Américains mâchaient de la cire de paraffine, qui est aujourd'hui utilisée dans les bougies et les crayons. Mais la gomme, comme nous la connaissons, remonte aux Mayas, qui mâchèrent du latex de sapodilla séchée, appelé chicle. Elle est arrivée à Staten Island avec le général mexicain exilé Antonio López de Santa Anna en 1869. Il a essayé de vendre du chicle en remplacement des pneus en caoutchouc, mais l'homme d'affaires local Thomas Adams a réalisé qu'il y avait du potentiel pour être plus amusant : Il a inventé le Chiclet.
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Chewing-gum

    Petite histoire de certains aliments ...


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  • Dix lieux médiévaux que vous ne pourrez pas visiter !

    2. Le Royaume du Prêtre Jean ...

    Au 12ème siècle une histoire a émergé qu'un royaume chrétien existait quelque part en Asie, et que son prince le Prêtre Jean combattait les musulmans et les païens dans un effort pour aider les chrétiens d'Europe. L'idée a pu émerger des rapports déformés de diverses guerres en Orient et du fait qu'une grande population chrétienne - les Nestoriens - vivait dans toute l'Asie.
    Plus tard, cette légende fut transférée de sorte que le Prêtre Jean vint d'Ethiopie.
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Royaume_du_pr%C3%AAtre_Jean

    Légendes ...


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  • L'arbre de Noël est l'un des ornements les plus importants pour Noël. Bien sûr, la plupart d'entre nous veulent toujours poser à côté pour la postérité. Et ces femmes d'âge mûr sont comme nous.
    Et le ridicule n'a même pas tué ces américaines vintage ...
    http://www.vintag.es/2016/12/43-interesting-vintage-snapshots.html

    Le Noël américain ...


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  • Abram Arkhipov est un peintre russe puis soviétique, né le 27 août (15 août) 1862 dans le village d'Egorovon, dans l'oblast de Riazan (Empire russe) et mort le 25 septembre 1930 à Moscou (Union soviétique).
    Abram Arkhipov était un peintre de plein air, des vastes espaces de la campagne russe au cours des saisons, forêts, fleuves et rivières, champs, routes, villages, scènes de la vie villageoise, pêcheurs, paysans et surtout beaucoup de paysannes, en particulier des régions de Riazan et de Nijni Novgorod, en costumes traditionnels. À ce lyrisme et cette poésie, que dégagent ses tableaux consacrés à la nature et à certains aspects de la vie rurale, s'opposent ses tableaux consacrés à la misère du « petit peuple » russe, aux femmes trimant comme des forçats.
    http://www.tuttartpitturasculturapoesiamusica.com/2015/02/Abram-Arkhipov.html

    Le monde d'Abram ...


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  • « Il savait, et depuis longtemps déjà, que les changements intervenus dans le monde étaient irréversibles, mais cette prise de conscience n’en jetait pas moins une lumière plus crue sur ses souvenirs. La dernière fois que j’ai mangé un cornet de glace dans un parc ensoleillé. La dernière fois que j’ai dansé dans une boite de nuit. La dernière fois que j’ai vu un bus circuler. La dernière fois que je suis monté dans un avion qui n’avait pas été converti en habitation, un avion qui décollait vraiment. La dernière fois que j’ai mangé une orange. »
    http://www.causeur.fr/station-eleven-st-john-mandel-apocalypse-41771.html
    http://www.elle.fr/Loisirs/Livres/News/Station-Eleven-le-livre-catastrophe-qu-il-vous-faut-3292786

    Un dernier cadeau de Noël, comme une préparation ...


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  • La chasse : un art de tuer

    Par Gérard Charollois

    Ce dimanche 18 décembre écoulé, trois hommes ont été tués en ce pays par la chasse. En Dordogne, c’est le second homicide imputable à ce loisir, en un mois. Un homme de 55 ans a reçu une balle dans la poitrine lors d’une chasse aux sangliers, sur le territoire de la commune de Montrem.

     
    Un élu local, tout en déplorant cet homicide, mentionne "le sérieux des chasseurs de la commune". Les propagandistes de la chasse iront répétant que bien d’autres "sports" et "loisirs" génèrent des accidents, ce qui est indéniable. Ils passeront, en revanche, sous silence, cette autre évidence tenant au fait que la chasse n’est qu’un art de tuer. Tuer des millions d’animaux, êtres sensibles, tuer une nature sauvage qui disparaît. Culturellement, la chasse s’exerce avec une arme et une arme ne sert à rien d’autre qu’à tuer.

     

    Observons la pusillanimité des pouvoirs publics à l’encontre des auteurs d’accidents de chasse que l’accoutumance à l’acte d’ôter la vie préserve de réactions par trop dépressives après leur geste homicide. Ne croyez pas qu’instruits par l’expérience, affectés par la mort de leurs collègues de battues, les chasseurs de ces communes cesseront de tromper l’ennui de leurs dimanches en traquant des sangliers bien peu sauvages. La mort est leur loisir. Cette guerre sans honneur, faite à ce qui survit de faune dans nos pays par trop "aménagés", perd ses adeptes qui sont désormais moins d’un million.

    Une classe politique indigente perdure à radoter des slogans menteurs sur une activité nocive, cruelle, antiécologique et dangereuse. Abolissons la chasse pour célébrer l’art de laisser la vie.

    Gérard Charollois

    ecologie-radicale.org
    Altermonde-sans-frontières

    La chasse un art de tuer ...


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  • Deux gouttes d'huile essentielle de menthe poivrée
    et le repas devient léger ... léger ...
    Pour moi ce sera dimanche tranquille et nettoyeur ...
    Belle journée !
    Tout ce qui est écrit continue de vivre dans l'absence.
    Louis Aragon
    Et relire ces mots c'est souvent comme une caresse ...

    Douce nuit ...


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