Le quinoa peut fournir une protéine complète, des acides aminés dont vous avez besoin dans un grain compact, mais le riz et les haricots réunis peuvent réellement faire mieux. C'est  comme les baies de goji, les bleuets et les fraises qui sont emballés avec des composés phytochimiques. Le grand problème c'est que le marketing alimentaire tente de nous faire croire que tous ces produits exotiques sont indispensables à notre santé, alors que le fait qu'ils viennent de loin, qu'on ne sache pas comment ils sont cultivés n'est qu'une vaste fumisterie par rapport au petit producteur local qui cultive les produits anciens.
Tout cela fait partie de l'arnaque des "superaliments" ça c'est pour l'aspect "foutage de gueule qui nous concerne nous européens aisés et crédules.
Pire que l'origine des mythes de superaliments, cependant, est leur effet dévastateur sur les personnes vivant dans les régions d'origine. Quand ces produits deviennent célèbres chez nous, leur prix augmente dans la région d'origine e les habitants qui s'en nourrissaient depuis des siècles ne peuvent plus les acheter. Par exemple, dans les Andes, où le quinoa est cultivé depuis l'époque des Incas, les hausses de prix ont transformé une nourriture ponctuelle en luxe, et les monocultures de quinoa sont l'éviction des méthodes traditionnelles plus durables.
Ainsi, non seulement les marchés de «superaliments» mettent ces aliments hors de la portée des gens qui comptaient sur ​​eux comme un aliment de base, mais nous font croire qu'ils sont meilleurs pour nous qu'un produit régional et tout celà à un coût énorme pour l'environnement.
Mangez local et des produits de saison.