• Dire qu'on se soumet à ces gangsters ...

    Juncker dit « non » à la Grèce et menace la France

    Par Michel Soudais

     

    « Il ne peut y avoir de choix démocratique contre les traités européens », affirme notamment le président de la Commission européenne. Dans un entretien au Figaro du 29 janvier, le président de la Commission européenne adresse une fin de non-recevoir au gouvernement grec conduit par Alexis Tsipras. Sur l’annulation de la dette, Jean-Claude Juncker oppose à la Grèce un « non » catégorique.

     

     « Athènes a accepté deux plans d’ajustement (de redressement, Ndlr), elle doit s’y sentir tenue. Il n’est pas question de supprimer la dette grecque. Les autres pays européens ne l’accepteront pas. » On a connu le président de la Commission plus conciliant quand, Premier ministre du Luxembourg, il autorisait des dizaines de multinationales à s’affranchir des législations fiscales des pays membres de l’UE. Les élections ne changent rien, affirme en substance le président de la Commission européenne. Sans prendre beaucoup de gants : « Dire qu’un monde nouveau a vu le jour après le scrutin de dimanche n’est pas vrai. Nous respectons le suffrage universel en Grèce, mais la Grèce doit aussi respecter les autres, les opinions publiques et les parlementaires du reste de l’Europe. Des arrangements sont possibles, mais ils n’altèreront pas fondamentalement ce qui est en place. »
    http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article27792

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