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Immigration = catastrophe DANS TOUS LES DOMAINES !!!
L’immigration, une véritable catastrophe écologique
La dernière des dernières, il y a un crétin qui est allé nous expliquer qu’il y avait trop de chiens et de chats et que ça nuisait au climat et à la survie de l’humanité.
Alors, justement, en parlant de trace carbone, de CO2, de réchauffement climatique et de surnombre, considérons un sujet jamais abordé, celui du bilan carbone de l’immigration.
Première affirmation : mis à part le surnombre qui est une catastrophe, pris individuellement dans son biotope d’origine, l’habitant du tiers-monde est un modèle d’économie carbone. Prenons par exemple un migrant subsaharien, mais venant du Bangladesh, des îles du Pacifique ou d’où vous voulez dans le tiers-monde, le bilan serait le même. Le type vit sur un mode de consommation extrêmement bas, peu producteur de carbone et peu générateur de réchauffement climatique. Il se déplace à 25 ou 30 dans un taxi-brousse ou en carriole hippomobile. Ses déplacements sont limités. Il vit dans un pays chaud où il n’y a pas besoin de chauffage. Il réside dans des bâtiments à consommation nulle, simples à produire, sans isolation, ni normes coûteuses à mettre en œuvre du point de vue de bilan carbone. Pas de routes goudronnées épouvantablement ruineuses pour la planète, pas d’infrastructures ni de services publics énergivores. Ses besoins vestimentaires sont limités, un simple pagne ou un boubou suffisent à le couvrir. Son régime alimentaire est simple et frugal. Pas de nourriture industrielle, pas de chaîne du froid, pas de plateformes logistiques, pas de yaourts aux fruits fabriqués en France dont le lait vient de Hollande, l’emballage de Pologne, l’étiquette de Croatie, les fraises du sud de l’Espagne, redistribués quotidiennement dans chaque hyper ou supérette au coin de la rue. Pas de gaspillage alimentaire, pas de surproduction de déchets, pas de fumées industrielles… Pas d’autoroutes encombrées de camions ultra-polluants, sillonnant l’Europe de long en large et du Sud au Nord. En plus, le type n’a pas besoin d’un esclave venu de l’autre bout du monde pour lui livrer sa pizza à l’étage.
Un modèle de vertu écologique, un niveau de consommation très bas, finalement, le standard que voudraient nous faire atteindre les psychopathes de DAVOS.
Donc, en moyenne, vous prenez n’importe quel Africain, vous le faites entrer en Europe, vous multipliez immédiatement son bilan carbone par 6.
Si vous faites entrer un Syrien en Allemagne vous multipliez par 7, un Afghan, par 27. Si vous faites rentrer un Malien en France, vous multipliez son bilan carbone par 25.
Là où ça se gâte, c’est quand ils viennent en Europe. Parce que tôt ou tard et généralement le plus tôt possible, directement ou indirectement, ils vont se mettre à consommer au standard européen. Et donc toujours selon les ratios des réchauffistes, devenir une catastrophe écologique pour la planète.
Le problème c’est que ni les instruits du GIEC, ni les immigrationnistes, ni les écolos n’en parlent jamais. Pour eux, tout se passe comme si le transfert massif de populations des pays pauvres vers les pays riches était sans conséquences du point de vue écologique.
On va donc les mettre devant la réalité.
En France, le migrant mineur est deux fois plus polluant que n’importe quel adulte moyen. Déjà, un migrant mineur, s’il ne casse rien, s’il ne tue personne, s’il ne met pas le feu au CADA ou aux bâtiments publics de son quartier coûte plus de 50 000 € par an. Donc, là il est au double du revenu moyen en France (26 856 € cf INSEE). Par conséquent, qu’on le prenne comme on voudra, toutes consommations confondues, un migrant mineur, c’est tout de suite deux fois plus de consommation de tout et donc deux fois plus de rejets carbone que n’importe quel adulte moyen.
https://ripostelaique.com/limmigration-une-veritable-catastrophe-ecologique.html
Tags : carbone, bilan, consommation, catastrophe, migrant
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