Dans les entrailles obscures du monde criminel japonais, un nom apparaît, enveloppé de mystère et d’intrigues : le Kobe Yamaguchi-gumi.
Dans The Kobe, la formation du Yamaguchi-gumi a marqué un moment charnière dans le paysage criminel du Japon, conduisant à des conflits territoriaux et à des luttes de pouvoir qui ont captivé l’imagination du pays. (listverse)

La perception sociale ...

La relation entre les yakuza, dont le Kobe Yamaguchi-gumi, et la société japonaise est complexe et multiforme. Les yakuza ont une longue et riche histoire au Japon, qui remonte au shogunat Tokugawa. Ils sont issus de deux groupes appelés tekiya et bakuto, formant des gangs très unis engagés dans des activités criminelles. Au fil du temps, les yakuza se sont mêlés à divers aspects de la société japonaise, exerçant une influence malgré le déclin de leur nombre. Certains les considèrent comme un mal nécessaire en raison de leur double nature de criminels et d’humanitaires occasionnels, où ils participent aux efforts de secours en cas de catastrophe et répriment les petits criminels.
Cependant, l’implication des yakuza dans des activités illégales, telles que le trafic de drogue et les escroqueries immobilières, a conduit le gouvernement à mettre en œuvre une législation anti-gang plus stricte. Les autorités japonaises sont confrontées à une tâche complexe dans la gestion de la situation, car les racines profondes des yakuza dans la société rendent improbable leur éradication complète. Le Yubitsume, un rituel d'auto-amputation effectué en guise d'excuses, et les tatouages ​​sur tout le corps font partie des rituels et symboles distinctifs qui définissent la culture yakuza.
Malgré les efforts visant à réprimer les yakuza, leur influence demeure, et la relation entre la pègre et la société japonaise continue d'être un aspect intrigant et mystérieux de la culture et de l'histoire du Japon.