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Les assassins au col blanc : l'agro-alimentaire ...
Ça trempe énormément
Qui n’a jamais fait l’expérience du dos de cabillaud qui rétrécit de moitié après avoir été jeté dans la poêle ? Injecter de l’eau dans le poisson, c’est l’astuce dont raffole l’agroalimentaire pour nous faire payer de la flotte au prix des protéines. Il faut dire que la pratique est dûment autorisée par Bruxelles, à condition, toutefois, que l’étiquette mentionne l’ajout de liquide. Une délicatesse à l’égard du consommateur qui passe souvent à l’as…
Lors de ses derniers contrôles chez les importateurs, grossistes, mareyeurs, commerces de détail et fabricants de plats cuisinés, la Répression des fraudes a ramené dans ses filets près de 15 % de poissons gonflés d’eau en douce par la magie d’une injection ou d’un trempage prolongé, additionné de sel. Avec, par ordre d’importance des prises, du filet de panga du Vietnam, du filet de loup de mer d’Islande ou du dos de cabillaud, les poissons transformés en France ne faisant guère mieux que leurs cousins d’importation.
http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article28253
Tags : poisson, filet, cabillaud, voleurs, alimentaire
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