L’absolutisme écologiste montre son vrai visage. La pression des fous du climat a franchi un degré de plus dans la déshumanisation. On commence par les chats, les chiens et on finira par l’humain pour sauver la planète.

Les membres du GIEC, ces Khmers verts, ces écolos extrémistes, fascistes, violents, déclarent simplement que vous ne devez plus avoir de voiture, pas de maison individuelle et surtout pas d’enfants.

Ne mangez plus de viande et, la dernière nouveauté après les vaches qui pètent, n’ayez pas de chiens, de chats et finalement, si vous pouviez vous suicider pour sauver la planète, ce serait bien pour le climat. (Source)

La haine de la vie, de soi, de sa culture, de sa blanchité ne sont que les prémices d’une gauche fascisante. Ce n’est pas nouveau d’ailleurs. La gauche d’hier comme celle d’aujourd’hui a besoin, pour s’alimenter, de la haine de quelque chose.

Ce furent les aristocrates, sacrifiés à la guillotine, aux noyades de Nantes, puis les bourgeois, voleurs de la richesse des travailleurs, puis vint le tour des Juifs.

Faute de prolétaires, ce sont les Blancs forcément privilégiés qui exploiteraient l’immigré, l’Africain, l’autre, le différent, etc.

La gauche, demain, s’en prendra à ceux qui restent, qui continuent de péter, de manger encore, et déjà cette gauche écologique s’en prend aux propriétaires de chiens, de chats, etc.
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