• Déjà en 1934 pour le livre London Night, et un an après Brassaï à Paris dans un style différent, le photographe Harold Burdekin aidé de son assistant John Morrison avait utilisé des poses longues dans la solitude et l’obscurité de la nuit pour capturer les rues et les parcs de Londres complètement vidés de leurs habitants, leur présence ne se faisant sentir que par quelques fenêtres éclairées.
    https://www.laboiteverte.fr/londres-vide-de-ses-habitant-la-nuit-en-1930/?l=ho1

     

    Et si nous disparaissions brusquement ...


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