• Des kilomètres de neige et au milieu de l’étendue déserte et gelée un seul lampadaire subsiste, comme faisant parti du décors. Éclairant un trou dans la glace que l’on devine utile à l’activité humaine, surement à la pèche, il est la marque de la conquête de la nature par l’Homme. Avec sa caméra analogique Thomas Wrede ne questionne pas plus la place de l’Homme dans cette nature froide et hostile, que la place de l’artificiel, représentée par un lampadaire, en jouant avec les frontières du réel.
    https://www.bewaremag.com/thomas-wrede-paysages-plastique/

     

    Thomas Wrede, de vrais paysages en plastique ...


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