• L'année dernière à Marienbad ...


    son visage

    comme celui d'une statue
    pour se glisser dans la faille de l'intemporel,
    le regard qui ne porte plus sur la vie,
    le regard qui exprime le coeur d'une éternité,
    son étincelle
    comme une flèche dont l'instant présent est sa cible,
    sa victime ;
    alors l'histoire ne compte plus
    Pierre Cressant


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