Rejeter carrément l'économie imposant l'austérité, la Grèce le dimanche semblait prête à envoyer un signal d'avertissement pour le reste de l'Europe en donnant des sondages montrant l'aile gauche, anti-austérité Syriza partie avec une forte avance dans les élections nationales. Le franc-parler du leader charismatique, Alexis Tsipras, semblait certain de devenir le prochain premier ministre du pays.
Les scrutins de sortie, publiés à la télévision nationale après que les bureaux de vote aient fermé à 19 heures, ont montré que Syriza était en marche, loin de la Nouvelle Démocratie,  au pouvoir, du Premier ministre Antonio Samaras. On ignorait si Syriza serait en mesure de remporter une majorité parlementaire absolue, ou s'il devra former une coalition avec un ou plusieurs des parties vaincus.
La victoire de Syriza, si elle est totale, représenterait une étape dramatique à un moment où la crise économique continue en l'Europe ry suscitr une colère, des réactions populistes en France, en Espagne et en Italie. Syriza deviendrait le premier parti anti-austérité à prendre le pouvoir dans un pays de la zone euro. Syriza a également brisé l'establishment politique à deux partis qui a dominé la Grèce pendant quatre décennies.
New-York times.

Cette vision de l'Amérique ne m'étonne pas, ce pays et gangrené par le fric et à rendu le monde entier accro à cette façon de procéder. Pour nous c'est enfin quelqu'un qui se lève, un espoir, à condition qu'on suive et qu'on puisse faire quelques chose de cette nouvelle donne. J'ai bien peur que les 1 % qui nous gouvernent et nous polluent ne voient pas les choses comme moi, mais à l'américaine.