• Pour trouver ce que vous voulez,
    il suffit de voir ce qui vient continuellement sans que vous le cherchiez.
    C'est cela que vous voulez véritablement. 

    lotus


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  • treilles.jpg

    De fil en aiguille
    un lacis de ruelles
    escaliers et traverses
    murs blancs et lauriers roses
    haute terrasse
    treilles et figuiers
    jouent à la courte-échelle
    à qui le plus haut
    grimpera


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  • Des millions et des millions d'années ne serait toujours pas me donner la moitié du temps suffisant pour décrire cet instant infime de toute éternité où tu mets tes bras autour de moi et j'ai mis mes bras autour de vous
      Jacques Prévert

    temps.jpg

     

     


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  • plumes-musicales.jpg

    Vos lèvres
    Sont comme des plumes
    Laissez-moi écrire des  paroles
    Sur la mélodie
    De mon jardin parfumé
    Bébé, se lever et voler
    Car je sais que
    longtemps après
    Les folies du sexe
    L'amour s'attardera
    Ici



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  • Voilà une question existentielle de résolue, désormais on sait comment laver son soutien-gorge en machine sans le déformer.
    Bon faut dire que je n'utilise pas ce genre de SG thermomoulé rigide, donc cette question ne m'a jamais effleurée.
    Je connaissais le sac à zip où l'on met les sous-vêtements fragiles pour les empêcher de se tortiller et de s'abimer, mais surtout pour protéger l'autre linge d'attaques intempestives de crochets ; mais je ne connaissais pas ce système protecteur, tel un preux chevalier dans son armure assez ingénieux mais plutôt volumineux.
    Seulement, le problème est réel lorsque l'on veut laver plusieurs jours de lingerie !
    a) On achète plusieurs "oeufs de lavage", mais pas très économique au niveau énergie
    b) On fait plusieurs lessives si on n'a qu'un seul exemplaire de cet objet indispensable
    Je me demande si, en fait, cette invention est si utile que ça ?
    Mais avouez qu'il serait dommage d'avoir un bonnet déformé, par les froids qui courent...


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  • afghan.jpg

    Obama, Cameron ... Hollande
    Tous veulent passer la torche Afghane ...


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  • L'Athlète Nord-américain Lolo Jones,  classée 7ème à la fin des barrières de 100 mètres dans les Jeux Olympiques de Pékin, en 2008,  a admis dans un entretien à la télévision qu'elle est toujours vierge à 29 ans et qu'elle cherche un petit ami dans les réseaux sociaux.
    "Pour rester vierge ça a été plus difficile qu'une  séance d'entraînement pour les Jeux Olympiques ou finir la course", a-t-elle dit. Relations sexuelles seulement après le mariage. "
    Elle va peut-être devoir s'habiller ? lol lol lol

    Lolo-Jones.jpg


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  • Mes travaux portent sur la perception visuelle et les façons dont le visage ou le corps ou parfois même une simple tasse répond à la couleur, ligne, texture ou un motif. La «chose» ou «Sujet» par lui-même, entouré de "rien d'extraordinaire", c'est mon excitation. J'essaie d'établir un dialogue très privé entre le spectateur et l'objet de ma peinture. Il s'agit d'une conversation simple et sincère, sans détails inutiles. "-Yury Darashkevich

    PinkImmersion.jpg


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  • Avec Fraser Smith, le bois devient couture ...
    Toutes les photos sur ces pages sont des objets sculptés dans du bois et colorées, que ce soit à l'aquarelle ou à base d'huile des pigments.
    Etonnant non ?

    nice_day_250.jpg


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  • puimisson.jpg

    À Puimisson, petit village de l'Hérault, les moines et moniales de Saint-Joseph renouent avec la tradition des moines bâtisseurs du Moyen-Âge. Avec la foi d'un pariun peu fou : construire un monastère. Le tout, grâce à la providence des nouvelles technologies. Et à Cloclo !

    Au nom du père, du fils et de Claude François. Tel pourrait être le chapitre premier de la genèse du projet des moines et moniales de la congrégation de Saint-Joseph. Mais quel rapport entre le chanteur tombeur de ces dames et les piliers de la foi chrétienne ? La réponse se visionne en un clic. Un clip de trois minutes posté en 2010 sur le site Dailymotion. Là, sur l'air de Si j'avais un marteau, une quinzaine de religieux posent du ciment, charrient des brouettes de pierres, manoeuvrent des tractopelles...
    Pendant que les uns bossent, une soeur jongle avec un ballon de foot, un frère s'adonne à un petit roupillon, un autre se fait tout bonnement... écraser par un bloc de pierre. Humour et dérision sans contrition. « Qu'est-ce qu'on a ri en faisant ça !, se souvient le père Joseph-Marie Verlinde, prieur et fondateur de la congrégation. En deux jours, on a bouclé le clip. Vous comprenez, nous n'avons pas que ça à faire ! »
    48 heures à jouer aux acteurs, c'est déjà énorme dans une vie monastique fondée sur la règle de saint Benoît où prière et silence sont de rigueur sept heures par jour. Ils y ajoutent sept heures de travail manuel. « Mais cette vidéo, puis le site Internet, ont été d'excellents moyens pour faire parler de notre projet, raconte le père « Barbu », comme il aime à se présenter. Il fallait qu'on explique de manière moderne notre pari fou de construire un monastère. Bon, j'avoue que Facebook et Twitter, j'ai arrêté, c'était trop de temps ! »
    Depuis, le clip a été vu 100 000 fois, avec l'espoir d'un miracle sonnant et trébuchant. Car là est la pierre fondatrice de l'aventure : une com' diablement bien pensée pour appeler aux dons afin de construire l'église abbatiale déjà inaugurée, le cloître, la salle du chapitre et le scriptorium. Soit 1050 m2 « dans le style roman cistercien avec la belle pierre locale de Beaulieu. » Le coût est estimé à 5 millions d'euros. « Je sais, ce n'est pas rien, reconnaît le prieur. Ce projet a été un cas de conscience en cette époque de crise économique. Mais ce n'est pas un caprice. Juste une nécessité. »
    L'actuel bâtiment est devenu trop exigu pour les quatorze membres de la communauté et les milliers de pèlerins. Soeur Bernadette, douce et joyeuse, en charge de l'accueil, détaille dans un sourire : « La vie laïque du site est très active. Nous organisons des séminaires, des retraites, conférences, débats, concerts... Chaque année, plus de 20 000 personnes passent ici. Nos locaux ne nous permettent plus de vivre notre rythme monastique où le silence, la prière, la contemplation sont le fondement de notre foi. » Le père Verlinde renchérit avec malice : « Notre saint patron avait sa maison, il fallait bien que ses serviteurs en aient une ! »
    Tous croient que la foi peut soulever des montagnes. Soeur Bernadette n'en doute plus : « Regardez notre abbatiale. C'est un beau début, non ? » Le prieur s'enthousiasme : « Ce serait chouette d'avoir tout fini en 2016. Mais on n'entame les travaux que si les fonds sont là. » Pour boucler, il faudra ajouter 2 millions d'euros aux 3 113 dons déjà recueillis. « On n'a pas d'argent mais des mains. C'est aussi cette mobilisation de bénévoles qui nous motive. »
    Ce projet, les moines et moniales le regardent comme la consécration d'un engagement communautaire : « Si le gros oeuvre est réalisé par des entreprises, nous essayons de faire le maximum par nous-mêmes et l'aide des personnes qui nous accompagnent. » Croyants ou non.
    Une ouverture d'esprit qui a incité le ministère de la Justice à proposer le site à des personnes condamnées à des travaux d'intérêt général (TIG). Frère Philippe, la trentaine, en charge du suivi du chantier, sait que « certains arrivent avec l'idée que ça ne va pas être très agréable de travailler dans un lieu religieux. Mais je vous assure qu'ils en repartent enchantés. Vous savez, on aime rire dans notre congrégation. Cette bonne ambiance porte le projet. »
    Une allégresse qui n'est visiblement pas mauvaise prêtresse. Tout le diocèse défile à Puimisson depuis des années. « Benoît XVI nous a envoyé un mot de consécration pour l'abbatiale », rappelle le père Verlinde. L'apôtre laïc de la com' du projet, Étienne Piquet-Gauthier, résume : « Beaucoup ont compris toute la modernité de cette congrégation. Elle prie au milieu du monde, au coeur de la société. »
    Sur ces bonnes paroles, Soeur Bernadette, Frère Philippe et le prieur se retirent. « Pas que ça à faire », comme dit le père Verlinde.

    Le site : www.batisseurdemonastere.org


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