• L'un des plus grands sites des Terres basses centrales de la civilisation maya a été localisé par un groupe d'archéologues.
    Chactun ou «Pierre rouge» en maya, voici le nom donné aux vestiges d'une importante cité maya découverte, il y a deux semaines, par un groupe international d'archéologues, dans l'est du Mexique. L'apogée de cette cité se situerait entre les ans 600 et 900 de notre ère. Cette ville s'étend sur 22 hectares dans l'Etat mexicain de Campeche. La jungle, très humide et très dense dans cette partie du globe, n'a pas facilité les recherches. Les arbres peuvent parfois atteindre entre 40 et 70 mètres de hauteur dans certaines zones. On comprend alors comment la cité a pu rester cachée pendant des siècles. Sa découverte a uniquement été rendue possible grâce à des photos aériennes et avec l'aide de la stéréoscopie (c'est l'ensemble des techniques mises en œuvre pour reproduire une perception du relief à partir de deux images planes).

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  •   Lailson, Humor World
     Le peuple brésilien a pris la rue

     

    Brian Adcock, The Scotland
     Obama veut armer les rebelles
    Brian Adcock, The Scotland
      Que le temps s'arrête ... 

     


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  • George Spencer Watson (8 Mars 1869, Londres - 11 Avril 1934 à Londres) était un artiste portraitiste Anglais de la fin de l'école romantique qui a travaillé parfois dans le style de la Renaissance italienne.
    Il a étudié à la Royal Academy Schools.
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  • Un autre père exemplaire, par exemple ce sont les punaises d'eau géantes. Ils sont présents partout dans le monde dans les ruisseaux et les étangs d'eau douce, et sont généralement plus de deux centimètres de longueur. Une femelle pond ses œufs sur les ailes d'un mâle, et le mâle porte les oeufs jusqu'à ce qu'ils soient prêts à éclore - un spectacle dérangeant, mais un exemple impressionnant de soins paternels. Jusqu'à ce qu'ils soeient éclos, le père se comporte parfois comme s'il essayait de se débarrasser de son fardeau, mais en réalité il veille à ce qu'ils restent propres et sans champignons pour assurer une livraison en bonne santé et avec succès.
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  • Après la publication, en janvier 2013, d’un article par les Dernières Nouvelles d’Alsace annonçant que la Préfecture du Bas-Rhin avait autorisé la construction et l’exploitation d’un élevage de 60 000 poulets à Zinswiller, en Alsace, Jean-Louis Schmitt, un lecteur de Rauwiller a adressé ce courrier au journal afin de dénoncer la passivité ou l’indifférence scandaleuse des services publics qui ne s’inquiètent que d’éventuelles nuisances subies par les voisins et pas une seule seconde des affres des animaux. Bien que la nouvelle ne soit pas récente, je pense qu’il est important de lire ces réflexions que nombre d’entre nous partagent, mais qui ne gênent en rien les consommateurs de ces immondices.

    « Un élevage de 60 000 poulets, quelle démesure ! Quelle démesure vraiment ! Des bâtiments dans lesquels on entasse (dans chacun d’eux) 30 000 volailles sans que cela n’interpelle réellement quiconque... Si ce n’est, dans le cas présent, la crainte d’éventuelles nuisances, olfactives ! Pour le reste, qui se soucie un tant soit peu du sort décidément bien peu enviable des oiseaux en question ?

    Le préfet ? Certainement pas puisque ses services viennent d’autoriser la construction de ce « poulailler » ! Il conviendrait d’ailleurs d’appeler un chat, un chat et, pour le coup, de parler plutôt d’une « usine » qui, en l’occurrence n’a strictement rien à voir avec les bâtiments jadis dévolus à la basse-cour de nos aïeux !

    Les élus alors ? Guère plus, car surtout préoccupés par leur bien-être et, c’est tout à leur honneur, celui de leurs administrés... Pour ce qui est de la condition animale, ce n’est de toute évidence pas à l’ordre du jour et, du reste, pourquoi s’en soucier puisqu’il n’est question « que » de volatiles, des bestioles tellement abêties qu’on peut, en quelques semaines seulement (cinquante-six jours pour être précis), en faire des poulets PAC ! Non, incontestablement, l’existence d’un poussin, d’un poulet, d’une poule ne vaut vraiment pas grand-chose et certainement pas que l’on s’y intéresse !

    Et pourtant... Pourtant, il s’agit bien là d’êtres vivants, de créatures que l’on malmène de bout en bout, d’oiseaux tellement exploités et sélectionnés afin que leur croissance soit rapide pour que le « rendement » soit optimal ! Ces poulets dits « de chair » devront en effet produire en un temps record un maximum de muscle afin de pouvoir être commercialisés au plus vite ! Il n’y a absolument plus rien de naturel dans ce « produit » dont l’existence est (vu les conditions, on ne peut du reste que s’en réjouir) fort courte ! Il est plus que probable d’ailleurs que si ces malheureux vivaient plus longtemps, ni leur petit cœur ni leurs pattes ne résisteraient bien longtemps au traitement infligé...

    Cinquante-six jours à vivre dans des bâtiments surchauffés, dans un vacarme assourdissant avec des densités de population réellement démentielles, gavés de produits en tous genres afin « qu’ils tiennent le coup » et, pour finir, ultimes et terrifiantes étapes, le transport puis l’abattage. Tel est le sort des quelque 830 millions de poulets élevés en France pour pallier le monstrueux appétit d’une population pas très regardante sur la qualité de la viande achetée pourvu que celle-ci soit bon marché ! Cette demande sans cesse croissante exige toujours davantage de ces sacrifices innommables mais, encore une fois, qui s’en soucie vraiment ? Qui, au-delà du produit emballé, prend conscience qu’avant de finir en barquette, il y avait un cœur qui battait en cet animal ainsi réduit en simple produit de consommation (très) courant, une bête qui ne demandait rien, pas même à venir au monde et surtout pas de vivre un tel cauchemar. »

    Constat de Sylvie Simon : Ce résumé devrait retenir l’attention des fonctionnaires qui permettent ces trafics scandaleux, des ministères dont les cantines n’offrent pas ce genre de poison, des consommateurs qui prétendent aimer les animaux mais les avalent sans aucun état d’âme, n’établissant jamais le rapport entre l’animal et ce qui remplit leurs assiettes et leurs estomacs.
    Sylvie Simon pour Altermonde sans frontières


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  • Par Ariane Walter

    Le monde s’écroule, les villes sont des poudrières, le climat est trafiqué, on sombre dans un absurde à coté de quoi 1984 est un roman de la comtesse de Ségur, mais non, il ne faut pas dire aux nobles socialistes qu’ils végètent sous la bannière ennemie de l’ultra-libéralisme ! Les pauvres...

    Il paraît que nous, le FDG, on dit pis que pendre à leur sujet et qu’alors ils boudent. Ils ne veulent pas nous rejoindre. On est méchant avec eux. On les traite de fauxcialistes, bouh !!! Leur petite sensibilité ne le supporte pas. Ils appartiennent quand même au parti de Jaurès qui est au pouvoir ! Leur faire des remarques déplacées parce qu’ils votent pour le TSCG et l’ANI, ça ne leur plaît pas ! Ils nous menacent ! « Si vous continuez comme ça, on ne vous rejoindra pas ! On restera avec Hollande et Barroso !!! Parce que Hollande et Barroso, ils ne sont pas méchants avec nous. » Parce qu’en leur disant ça, on leur dit quand même qu’ils sont mirauds et stupides, dangereux même, et alors là, ces enfants chéris et gâtés qui ont enfin retrouvé le pouvoir et ne veulent pas le perdre, ils ne le supportent pas !

    Ce débat pointe son nez suite aux élections de Villeneuve-sur Lot, où ce merveilleux PS s’est pris une branlée historique, laissant le champ libre au clan Sarko et à la Le Pen. De son coté, le FDG, en des terres qui ne lui sont pas favorables, a, lui aussi, perdu des voix. Iĺ faut trouver des responsables, et ces responsables sont tout trouvés, disent certains de nos potes du FDG, c’est le FDG ! Qui dit trop au PS, électeurs, députés, sénateurs et ministres, bref toute la smala aristocratique de la gauche, qu’ils sont traîtres, pétainistes, bref des collabos. Alors là, alors là ! Que de gros mots ! Donc, le danger est terrible : Le Pen ! Le FN ! Front républicain ! C’est de notre faute. Il nous faut leur tendre la main ! Il faut dire quand même que c’est une sacrée clique ce PS ! Leur chef qui confond la Chine et le Japon mais aussi, plus grave, le socialisme et l’ultralibéralisme. Autour de lui les sbires de DSK, Moscovici, Cambadelis, Valls qui nous conduisent,comme la Grèce, vers la déroute. Nous avons le FMI à domicile. Leur grand argument, c’est qu’à la fin de l’année ils vont inverser le chômage. À la suite de quelle magouille, on leur fait confiance, ce sont des spécialistes !

    Ils font la course avec l’UMP pour savoir qui magouille le mieux. Du Nord au Sud ils sont bien placés, avec Guerini et Kucheida, et à Paris, les élections internes non trafiquées, ils n’ont pas l’air de connaître. La dernière en date, n’est pas piquée des vers !!! Ultime fantaisie, ayant décidé que le patrimoine des élus pourrait être connu de tous, au moment de voter cette loi, ils se débrouillent tellement bien, Bartolone en tête, l’homme à la villa à deux millions d’euros, ça rapporte la politique, qu’il faut aller en préfecture pour consulter, n’en parler à personne, et laisser son nom pour la Stasi ! Autre anecdote charmante, lors des journées de Montreuil, Coquerel ayant envoyé un texto « Nous sommes contre le GMT », Lienneman répliqua aussitôt : « Non, nous soutenons le gouvernement ! » Elle avait confondu GMT et Gouvernement ! Elle sait ce que c’est le GMT ? Elle carbure à quoi, Lienneman ? Sans parler d’EELV, leurs nobles alliés à la table de l’ennemi ! Duflot, aussi, trouve qu’on est trop méchant avec eux !

    On a l’impression de se retrouver du temps des petits marquis à qui il ne faut surtout pas dire que le peuple crève de faim, parce que ça leur gâche le brunch ! Je voudrais conclure en disant : On ne demande pas au PS de rejoindre le FDG, on attend qu’ils se décident, comme des grands, à entrer en lutte contre l’ultra-libéralisme mafieux qui va nous faire crever. On attend qu’ils prennent conscience que leurs chefs sont des taupes et les déshonorent. Ce nom socialiste, à cause d’eux, sera perdu pour plusieurs générations. En ce qui me concerne, enfant, j’étais cruelle. Je m’amusais à battre mon chien. Un jour, dans la rue, alors que je le promenais et m’amusais à le frapper s’il n’arrivait pas assez vite, un inconnu m’a interpelée et m’a dit : « Tu n’as pas honte de frapper cet animal ? » J’ai violemment rougi. « Honte ! » Ce mot, ce seul mot, dit par un inconnu, m’a fait prendre conscience de ce que je faisais.

    Je voudrais dire aux socialistes, militants, députés, sénateurs, ministres :
    - Vous n’avez pas honte de voir vos chefs détruire chaque jour notre pays et vous, de rester sous leur bannière ? Sont-ils moins conscients du bien et du mal qu’une enfant de six ans ?

    Ariane Walter

    legrandsoir.info

     

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  • Je construis le monde et moi-même en mettant de nouveaux chapeaux à chaque personne, une par une ... Avant de sortir, je veux voir les gens en tutus, les flics portant des sombreros, les courtiers avec des chapeaux viking, et les prêtres avec la culotte sur la tête. Dans le monde, que je vais construire, tout le monde crie bonjour à tout le monde à partir de la fenêtre de sa voiture. Les gens ont des haut-parleurs connectés à la poitrine qui déversent de ​​la musique afin que vous puissiez dire, de loin, de quelle humeur ils sont. Et aussi, ils ne seront pas trop peureux pour se deshabiller s'il pleut.
    Rachel Corrie
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  • Je viens de sortir Bidule, sinistre le temps.
    Ce que j'ai vu à la télé, c'est vrai que ça pousse à relativiser ...
    mais c'est difficile quand même !

    "J'aime appuyer ma main sur le tronc d'un arbre devant lequel je passe, non pour m'assurer de l'existence de l'arbre - dont je ne doute pas - mais de la mienne."
    Christian Bobin
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  • Les Tessaratomidae forment une famille de punaises phytophages classée dans l'infra-ordre des Pentatomomorpha. Elle comprend environ 240 espèces divisées en trois sous-familles et cinquante-six genres. Cette famille est remarquable par ses coloris qui éloignent les prédateurs. Certaines espèces émettent des substances chimiques dangereuses pour l'homme; quelques rares espèces sont consommées par les populations locales.
    La plupart des espèces de cette famille sont des insectes ravageurs pour l'agriculture.

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  • pois-poissons.jpg

    - Et si nous parlions « pois » !?…
    - Chiche !
    - Qué Bab ???? Ne préfères-tu pas les pois cassés ?
    - Drôle d’idée !!! J’aime mieux les petits pois…
    - Oui, les poids lourds sont assez grossiers…
    - quand ils sont légers, ils sautent de trop !
    - que dirais-tu des pois plumes !?
    - ils passent trop de temps sur le journal !
    - tu as raison, il faut opter pour le pois moyen…
    - ou le Poitou !!
    - Charente alors !
    - Il y a aussi les pois « sons »…
    - oui, mais ils sont muets !!
    C. Dutailly (extrait)


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