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Il m'est arrivé bien souvent, nous en étions friands, de parcourir ces routes improbables en montagne ou dans des vallées qui semblaient infranchissables ... mais avant cette vidéo, sur laquelle je suis tombée par hasard, je n'imaginais pas ce que leur construction avait pu donner. Pour tous ces ouviers qui sont morts pour notre plaisir ... c'est àla fois monstrueux et splendide ...
"L’idée d’un chemin vicinal accessible aux voitures et longeant la vallée de la Vernaison (le chemin de l’Allier s’en extrait assez rapidement), commence à être envisagée, mais traîne en longueur à cause de deux obstacles jugés insurmontables : les Grands et les Petits Goulets. La décision de sa construction sera néanmoins prise par le Conseil Général de la Drôme en 1834. Les travaux débutent dix ans plus tard, et l’on s’aperçoit vite que les ingénieurs n’ont pas mesuré à leur juste valeur l’ampleur et la difficulté des travaux, notamment les problèmes techniques pour le percement de la voie : plus d’un kilomètre et demi à tailler dans la falaise, du fait d’une érosion principalement verticale et de l’étroitesse du lit de la Vernaison. Du reste, les partisans, rares au début, de ce tracé, furent traités d’utopistes et de songe-creux, sinon d’aliénés...."
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Dans une autre vie
Si je me souviens correctement
Nous étions de retour à Edo
Vous passiez des heures à lier mes pieds
Avec des rubans de soie rouge et blanche
Curieusement
Dans la vie suivante
Vous avez passé votre temps
A déballer et couvrir de baisers
Mes pieds à ma mort
Il semble
Que dans chaque vie
Vous êtes destiné à être attaché à moi
Comme la couture à l'intérieur d'un kimono
Serrée et cachée
La soie rouge
Reste le point d'ancrage
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Posez-moi
dans la chambre avec les lumières
tamisées, non pas de musique,
afin que vous puissiez entendre
mon souffle qui s'affole.
Restez avec vos vêtements
les plus vulnérables
Permettez-moi de vous explorer.
S'il vous plaît ?
Je veux savoir ce qui vous fait gémir ;
trembler ;
vous effondrer dans le plaisir.
J'ai besoin de connaître le vôtre
Parce que vous connaissez le mien.
Qu'est-ce qui vous branche?
Combien de temps pouvez-vous durer avant de succomber,
de vous écraser sur moi sans arrière-pensée ?
Ne pensez pas, ne baissez pas les yeux, regardez-moi.
Un sentiment comme celui-ci ne devrait pas être évité.
Le malaise n'a pas sa place entre nous.
Laissez-moi vous montrer ce que
nous sommes l'un pour l'autre
et ce n'est pas parce qu'il y a encore des obstacles,
que cela signifie que nous ne pouvons pas les briser avec autant de conviction que
les destructeurs du mur de Berlin.
Tenez ma main.
Je vais vous aimer.
Hannah M
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Coup de cœur pour l’illustrateur anglais Jonny Glover qui a imaginé avec sa dernière série « Tree with Haircuts » ce à quoi les arbres ressembleraient s’ils étaient entre les mains de coiffeurs. Une série d’illustrations amusante à découvrir en détails et uniquement en noir et blanc dans la suite de l’article.
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Toute la journée, les étoiles nous regardent depuis si longtemps
ma mère m'a dit qu'il était temps que je parte maintenant.
Lorsque vous serez seul,
Vous saurez
regarder la vieille maison sous la pluie de l'aube,
toutes les fleurs se courbant sous elle
le soleil qui se rappelle à vous à travers un nuage blanc
la propagation des couleurs, comme un patchwork sur la colline
les couleurs délavées au-delà
qui y vivaient bien avant votre naissance
voir comment tout se réveille sans question
même si le monde entier est en feu
W.S. Merwin,
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Feng Chang Jiang, né dans l'ancienne Xian en 1943, est originaire du comté de Hua, province du Henan. Il est maintenant membre de l'Association des artistes chinois et de la calligraphie chinoise et de l'Association de peinture. Il a également été le doyen de Shanxi Art Institute.
Il a développé un intérêt pour la peinture dans sa jeunesse. En 1974, Feng a suivi les cours du célèbre peintre et historien d'art, M. Pan Jiezi, pour étudier la peinture minutieuse au pinceau et les couleurs traditionnelles ainsi que la reproduction des fresques antiques.
Feng se spécialise dans les portraits, mais aussi dans les paysage. Il est particulièrement habile dans la peinture de scènes énormes. Ses portraits de femmes sont gracieux, élégants et plein de charme oriental, révélant ses talents de peintre et uneexpression artistique exceptionnelle.
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Par Napakatbra
Cavalier législatif perdu au beau milieu d’un imposant pavé budgétaire, la disposition qui immunisait les firmes productrices d’OGM contre les recours judiciaires a été purement et simplement supprimée.
Aux États-Unis, en avril dernier, une loi scélérate était votée, et promulguée. Cette disposition, bien camouflée au beau milieu d’une loi de programmation budgétaire, contraignait le ministère de l’Agriculture à "ignorer toute décision judiciaire bloquant la plantation de cultures génétiquement modifiées qu’un tribunal aura jugées illégales", comme le résumait alors le sénateur Jon Tester, de l’État du Montana. Cette loi autorisait donc les semenciers à cultiver et vendre n’importe quel OGM, y compris ceux pour lesquels il existerait des preuves de toxicité !
La révélation de l’existence de cette loi a fait des vagues, et des grosses ! À tel point que la sénatrice Barbara Mikulski du Maryland, rapporteur du projet de loi, avait du s’excuser publiquement pour avoir laissé passer une telle énormité. Et plusieurs députés et sénateurs avaient critiqué la mesure législative, que d’aucuns soupçonnaient d’avoir été rédigée par les firmes semencières elles-mêmes, Monsanto en tête.
Stupeur... le 18 septembre dernier, la disposition réapparaissait subrepticement dans la nouvelle loi de programmation budgétaire. Mais, cette fois, les associations veillaient au grain. De manifs en pétitions, et après des dizaines de milliers de coup de fil aux parlementaires de tous bords, la mesure a enfin été retirée. Jusqu’à ce qu’elle réapparaisse...
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Un jour avec ... donc un jour sans lumière ... Rha zut !
Le changement est inévitable,
mais les progrès dépend de ce que nous faisons avec ce changement.
Charles Wheelan
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Chaleur, humidité ... la pelouse est tondue ...
Demain, flotte, avant un autre été lol
Les mots n'ont pas si grande importance, qu'avons-nous à nous dire dans la vie, sinon bonjour, bonsoir, je t'aime et je suis là encore, pour un peu de temps vivante sur la même terre que toi.
Christian Bobin
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Je me souviens de certains moments de ma vie où les choses étaient bleues et semblaient soudain faire sens. Quand allait enfin poindre pour moi, le comment et le pourquoi des choses. Je devais avoir environ six ans, lorsque j'ai compris que les cannes des bonbons avaient des crochets pour les accrocher à l'arbre. Ensuite, il semblait que j'étais constamment en quête de tout comprendre, et bien sûr, cela ne fonctionne pas de cette façon. Cependant, quelques-unes des choses que je sais pour sûres sont :
(a) les oiseaux ont des ailes avec des plumes pour voler, et
(b) leurs pattes sont faites en sorte qu'ils puissent se poser sur les branches des arbres pour se reposer un certain temps,
(c) Les arbres perdent leurs feuilles alors que le sol froid de l'hiver a besoin d'une couverture, et
(d) les fleurs printanières sont comme des confettis sur un monde qui a besoin d'aller de l'avant, et
(e) Mon bien-aimé, vous n'avez-pas les bras pour me maintenir mais pour me soutenir quand je tombe.
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