à passer entre toutes les gouttes !!!
la rose rouge
défiant le ciel d'octobre
palpite d'extase

Mon plaisir est perdu
à la poursuite du vôtre,
Je ne peux  arrêter de penser
à chaque caresse, chaque baiser
à partir de votre point de vue,
dans le cadre de votre feu.
Et je sais comment m'arrimer.
Comment cacher mes yeux et me lier.
Aimez-moi avec votre bouche
écoutez mon désir.
Trouvez ce dont vous avez besoin en moi
et prenez-le pour vous.
Peregrine

Les Chachapoyas, le peuple des nuages" : Caché dans les hauteurs des Andes péruviennes, ce peuple de guerriers, contemporain des Incas, est longtemps resté oublié de l'histoire. Ses incroyables nécropoles sont peu à peu mises au jour.
Août 1997. Les archéologues Sonia Guillen et Adriana von Hagen se lancent dans une épuisante ascension de 45 kilomètres sur les pentes orientales des Andes Nord péruviennes, dans la région de Leymebamba. Elles ont été averties par les autorités locales que des huaqueros (pilleurs de tombes) viennent de dévaster un site ancien. Après plusieurs jours de marche, elles atteignent la corniche d’une falaise calcaire située au-dessus de la lagune des Condors, à environ 800 kilomètres au nord de Lima.

J'ai rêvé que vous étiez un drapeau de prière glorieux et coloré
et que vous vous enveloppiez  tout autour de moi,
sauf que vous ne couvriez pas ma bouche.
Quand je vous ai demandé pourquoi vous avez laissé ma bouche libre, vous avez répondu :
"sinon comment voulez-vous m'embrasser ?"
Je me suis réveillée et mes lèvres étaient pâles
comme si tout le sang les avait quittées pour aller à mon cœur.
Si je devais inventer une nouvelle couleur,
je la nommerai en pensant à vous  le "Drapeau de prière Rouge".

Quand je suis tombée sur la première photo, j'ai cru que c'était du bois noble, quand j'ai regardé les autres j'ai vu que ce n'était que des "ruines" de béton, mais ce photographe, Jonathan Andrew,  a su y mettre tant de poésie ... je vous les offre ...

Le championnat annuel de barbe et de moustaches qui a eu lieu le 7 Septembre, à la Nouvelle-Orléans, en Louisiane à la célèbre House of Blues est une compétition qui a impliqué 150 participants des États-Unis, de l'Europe et du Canada participant dans 17 catégories différentes. Et les juges ont déterminé quel était le meilleur candidat de  poils du visage qui  améliore son apparence globale, le style et la personnalité. A Las Vegas, le photographe Greg Anderson était là pour immortaliser ce moment et capturer une série de portraits loufoques. Jetez un oeil à certains portraits très intéressants !

Je peux dire
Quel mois il est
Par la couleur des poires
Dans le jardin de ma mère
Celui-ci, hurle Octobre
Anxieux et impatient ...
comme moi
Je peux dire
Combien Je t'aime
Par les couleurs que j'utilise
Quand je peins,
Et par les fleurs
Que je plante dans le jardin
Les cris du jardin
Anxieux et impatient
comme moi
Ne m'oublie pas et aime moi dans la brume

Quand j'accompagne Bidule au jardin, le temps qu'il fasse tous les recoins cachés sous les arbustes, je regarde mon jardin entrer dans l'automne. Mon hibiscus géant me fait ses 2 dernières fleurs, il a été magnifique cet été. La glycine, encore quelques grappes, les couleurs du lilas des Indes s'estompent ... oui, l'été est passé.
Pablo s. Herrero peint des arbres morts ... côté sombre d'une année ... mais il faut bien accepter que ce sombre passe afin que le printemps puisse rejaillir ?

Le site des "Tulou" (土楼 tǔ = terre ; lóu = maison à étages) s’étend sur 120 km au sud-ouest de la province du Fujian. Dressées au milieu des rizières et des champs de thé ou de tabac, les 46 maisons en terre ont été construites entre le XVème et XXème siècle. Leurs murs sont en terre et le toit en tuile, elles possèdent également un avant-toit en surplomb. Les habitations "Tulou" étaient construites dans un but défensif. En effet, de forme circulaire ou carrée, elle sont tournées vers l’intérieur avec une cour centrale en tant que lieu de vie et s’élèvent sur plusieurs étages. On accède au cœur de la maison par une entrée unique, et seules quelques fenêtres sont ouvertes vers l’extérieur à partir du 1er étage.
Les "Tulou" fonctionnaient comme des entités villageoises et étaient aussi appelées « petits royaumes familiaux » ou « petites villes prospères : une seule maison servait à abriter tout le clan, allant jusqu’à 800 personnes. Chaque famille jouissait de deux ou trois pièces par étage, selon une division verticale. Bien que l’extérieur soit sobre, l’intérieur des maisons était richement décoré et très confortable.
Les maisons "Tulou" ont été classées au patrimoine mondial de l’Unesco en tant que modèle de « bâtiments exceptionnels de part leur taille, leur tradition de construction et leur fonction, ils constituent un exemple unique de peuplement humain, fondé sur une vie en communauté et des besoins défensifs, tout en maintenant une relation harmonieuse avec leur environnement. »

Par Le Yéti

Faut-il encore faire un dessin pour que chacun constate le niveau d’ignominie et de ridicule dans lequel notre pays a sombré ? Faut-il douloureusement rappeler qu’il y a un peu plus d’un an, une majorité de citoyens croyait avoir utilement voté pour échapper à la honte sarkozyste ? On sentait bien que notre hexagone filait un sacré mauvais coton. Mais ces derniers temps ont été une sorte d’apothéose en matière de déliquescence politique et morale.

- Un président grotesque jouant les matamores de série B à la tribune de l’Onu après s’être humilié tout seul, lui et hélas tout son pays, dans la lamentable affaire de la “punition” syrienne.
- Un ministre de l’intérieur prononçant un discours odieux sur une malheureuse minorité tête de turc, et dont aucun point Godwin ne suffira à masquer les sinistres analogies historiques.
- Et jusqu’à cette “miraculeuse” inversion de la courbe du chômage en août dont un ministre du travail au nom prédestiné ne parvient même plus à dissimuler qu’elle est due à 277 000 radiations (« inexplicables », dit-il) de Pôle Emploi ; +40 % en un mois… ce qui veut dire qu’il y avait déjà 200 000 malheureux à être privés de leurs ultimes Droits le mois précédent, et presque autant chaque mois d’avant !
Altermonde-sans-Frontières