• Bulbophyllum phalaenopsis
    Les orchidées sont reconnues dans le monde entier pour être une famille de plantes à fleurs qui produisent des fleurs spectaculaires, complexes. Mais le plus grand genre d'orchidées, Bulbophyllum, est également connu pour contenir de véritables navets. Le Bulbophyllum phalaenopsis,est une fleur poilue, fleur rose-rouge de Nouvelle-Guinée, qui se trouve également à sentir comme des souris mortes pourries. Comme avec la plupart des fleurs de charogne qui ont été mentionnés sur cette liste, le but de l'odeur est d'attirer les mouches.

    La belle fleur qui pue ...


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  • Ana Juan, née en 1961 à Valence (Espagne) est une artiste peintre, illustratrice, sculptrice, dessinatrice de bandes dessinées et écrivaine espagnole.
    Elle suit des études et est diplômée de la faculté des arts de l’Université polytechnique de Valence. Elle débute professionnellement dans le Madrid des années 1980, en pleine movida. Elle collabore aux revues La Luna de Madrid et Madriz. Elle y publie des romans graphiques. Elle travaille avec les magazines et journaux The New Yorker (pour qui elle réalise plus de 16 couvertures à partir de 1995), El País, Los Angeles Times. Elle pratique régulièrement la peinture, la sculpture, réalise des sérigraphies, des affiches. Elle illustre des livres pour enfants.
    http://www.pinterest.com/tana200/ana-juan/

    Le monde d'Ana ...


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  • Par Philippe Bilger

    Hier j’ai terminé le livre de Cécile Amar "Jusqu’ici tout va mal", consacré à l’exercice du pouvoir par le président Hollande et aux réflexions que lui inspire celui-ci. Dire qu’il y a des imbéciles qui continuent de le traiter de "Flanby" comme s’il était mou, velléitaire et indécis. Alors qu’on est surpris, au contraire, par la dureté du personnage, l’acerbe des propos et le caractère dénué d’indulgence de certains de ses jugements sur des collaborateurs proches. Sa lucidité est totale et il ne se fait aucune illusion sur les épreuves qui l’attendent. Il a une claire conscience des devoirs de sa charge, ce qui le conduit à ne pas surestimer les oppositions multiples qui ne cessent de se manifester au sein de son propre camp contre sa vision social-démocrate.
    http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article25481

     

    La politique est une drogue dure ...

     


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  • Par Gérard Charollois

    Rappelons les buts, la spécificité, l’originalité éthique de la CVN dans le vaste paysage des mouvements d’opinions qui font vivre une société pluraliste. Notre but : faire triompher la nature et la vie, autrement que dans les discours.

     Notre spécificité : Transcender les combats ponctuels que mènent brillamment, par ailleurs, des associations amies poursuivant un aspect de la grande problématique biocentriste. Notre originalité : Être, à la fois, une association et davantage, un mouvement d’opinions. Il y a nos amis qui luttent contre la corrida, ceux qui se battent contre la chasse et sa dictature, ceux qui défendent tel ou tel site naturel, ceux qui fustigent la vivisection, l’élevage concentrationnaire, contre les abattages rituels, ceux qui veulent que l’écologie prime sur la quête frénétique du profit. Et il y a la CVN qui englobe toutes ces préoccupations, tous ces combats, puisque par-delà les différences, les nuances, nous savons que la protection du vivant est essentielle partout et toujours.
    http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article25484

     

    Vie et nature, quoi de plus beau ?

     


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  • Par Anne Roumanoff

    Ils m’écoutent, partout, tout le temps. Bientôt, ils vont chercher à surveiller ce que je pense. Ils ne me font pas peur ! Partout dans le pays, des voix d’hommes et de femmes courageux s’élèvent pour dénoncer les tortures morales dont je suis la victime. La colère gronde. Dans la rue, les gens me disent "tenez bon ! courage ! Ils ne vous auront pas !". Je réponds "merci, merci" en serrant les dents mais la vérité est que je suis à bout de nerfs.

    Bientôt peut-être, je prendrai le maquis avec mes compagnons d’armes les plus courageux : Nadine la Touloise, Brice le rouquin et Henri le colérique. Eux, se feraient tuer pour moi. Je n’écris que leur prénom au cas où on lise aussi ce que j’écris. Qui sait ? Il y a peut-être des caméras ou des micros cachés chez moi. Le traître Buisson, quand j’y pense, si ça se trouve, il m’espionnait pour le compte de qui vous savez. Imaginez ce que je vis : je suis l’objet de six procédures judiciaires. Six ! Dans les journaux, ils sont obligés de faire des schémas pour que les gens s’y retrouvent. Ceux qui ont déjà divorcé savent le stress des rendez-vous avec l’avocat, des conclusions qu’il faut corriger, des attendus de délibérés auxquels on ne comprend rien, des lettres recommandées qui vous font trembler, de l’attente du jugement qui est reporté. Imaginez cela multiplié par six. J’ai subi quatre perquisitions en deux ans. On tambourine à votre porte à l’aube, on fouille vos placards, votre ordinateur, on saisit votre courrier, on viole votre intimité.
    http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article25486


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  • Je n'ai pas d'arbres fruitiers, mais ils ont dû avoir chaud !
    Ce matin ciel bleu porcelaine et fraîcheur !
    Certaines chansons, comme certaines personnes,
    arrivent dans votre vie au moment où vous en avez besoin.

    Nous avons frisé la gelée ...


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  • Avec ses soirées électorales
    où ils ont tous gagné, à part nous !
    La façon dont je vois les choses : si vous voulez un arc en ciel,
    vous devez accepter qu'il pleuve avant !
    Dolly Parton

    Pauvre France


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  • Jazz ...

    "Tout commençait avec la corde
    entre les doigts.
    Le son
    pénétrait même le bas de l'âme,
    et restait là-bas.
    Après la caisse arrivait,
    Merveilleux, rythmique, sensuel.
    Le son vibrait entre mes mains, et
    entrait dans le centre du coeur;
    Et restait dedans.

    Dans moi,
    coexiste la corde et la caisse.
    Elles ont leur place dans mon âme,
    et elles me permettent, pendant
    les nuits chaudes,
    à parler avec la lune
    et les étoiles."
    Orovio

     

     


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  • Olargues ...

     

    Je tombe sur cette photo ... Olargues et je me souviens ...  des jolies vacances de Pâques que nous avions passées là-bas.
    Une année précédente, nous avions passé de bons moments dans la région de Lacaune, c'était en fin d'été et la région nous avait vraiment intéressée. Si bien, qu'un printemps, nous repartons, en camping, pour le même coin, nous quittions notre région où les arbres commençaient à avoir des feuilles et nous arrivons dans cette région : l'hiver, pas un chat, rien d'ouvert, pas une fleur, pas une feuille aux arbres, que faire ? passer la Montagne noire ? aller vers le sud ? et nous arrivons à Olargues, exposé plein sud, le printemps était là. Le camping est au bord de la rivière, pas un chat ... nous et nos deux chiens ... le pied.
    Pour aller au village, deux solutions, la route et nous arrivions au village neuf ou traverser la colline a pied et là, un vrai plaisir, des fouiiles étaient en cours, cette ville a dû plaire à nos très grands ancêtres : soleil, eau, protection d'une hauteur. Puis après on descend  sur le vieux village, des vieilles maisons de pierres, des petits jardinets en terrasse avec une vue époustouflante ... Nous avions adoré ce séjour ... ça fait partie de nos jolis souvenirs de vacances tranquilles, tous les deux, encore et les deux chiens Poupy et Olga ...
    Nous avons franchi ce merveilleux pont à pied aussi ... j'adore !
    A l'intérieur du village aussi, une étrange église sans clocher, comme mélangée au coeur du village.
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Olargues

     


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  • A l'eau ?

    ça pourrait être moi ...

    J'ai toujours  connu l'eau courante dans la maison où j'habite et où je suis née, un petit évier blanc dans un coin de la cuisine. Il servait aux toilettes de chat de l'époque, la grande toilette c'était dans la buanderie ... il servait aussi pour la cuisine. Il y avait le puits pour les arrosages du jardin et pour tout ce qui concernait la cave, il y avait la pompe du village qui se trouvait en bas de notre chemin, il fallait traverser la route, mais à cette époque les voitures étaient si rares et les chevaux on les entendait de loin ...
    Il y avait aussi, dans un coin de la cour, un grand récupérateur d'eau de pluie ...
    Je récupère aussi la pluie, je mets deux arrosoirs en plastique sous le toit de la buanderie ... mais il y a deux ans, l'eau qui était dedans s'est transformée en glace et me les a pétés ... il faut que je m'en achète un autre ...

    L'arrosoir pleut
    l'arrosoir pleure
    il a du chagrin pour les fleurs
    l'arrosoir pleut
    l'arrosoir pleure
    il donne tout le fond de son coeur

    A l'eau ?

     


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