• Au gouvernement, madame Ségolène Royal s’occupe d’écologie, d’énergie et de divers autres trucs et machins. Elle propose de « remettre à plat » l’écotaxe. Les soi-disant « Bonnets rouges » (les seuls vrais, c’est nous, les anciens de la Calypso et de l’équipe Cousteau) n’ont qu’une idée en tête : brûler les portiques. Ces usurpateurs de couvre-chef se proclament « proches du peuple », ou même « le peuple », et n’affichent d’autre projet social que de tout détruire et tout massacrer pour montrer à quel point ils gèreraient sagement la Bretagne s’ils en prenaient le contrôle.
    http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article25935
    J’aimerais que nous appelions simplement les choses par leur nom. Que nous oubliions le politiquement correct et le vocabulaire ampoulé des grands corps de l’État. Voilà pourquoi je lance ici, avec tous les écologistes et tous ceux qui se soucient de l’avenir de notre espèce orgueilleuse et fragile : « Vive la taxe sur les polluants et les pollueurs ! Vive la pollutaxe ! »

    yves-paccalet.fr

    Pollueur ... payeur ...


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  • Des orages sont prévus ...
    L'été approche, il serait temps qu'on en parle !!!
    Je n'ai jamais traité avec quelque chose de plus compliqué que de ma propre âme,
    qui m'aide parfois et s'oppose à moi d'autres fois.
    Abu Hamid al-Ghazali

    Le ciel est gris souris ...


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  • ne laissait pas présager un si bel après-midi ...
    Le jardin est content, je suis contente ...
    Que demande de plus ?
    Le désir rend la vie si vivante.
    Il permet tout. Il permet de réaliser ce qu'on veut. Le désir est la vie.
    La faim pour voir le prochain  lever de soleil ou son coucher,
    de toucher celui ou celle que vous aimez, et d'essayer à nouveau.
    "L'enfer serait de se réveiller en ne désirant rien »,  et je suis d'accord.
    Karen Marie Moning

    Le début de journée ...


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  • Dans son livre Philippe Torreton livre un portrait ciselé de sa grand'mère.
    Comme j'aimerais en livrer un également et amoureusement ciselé de ma Mémé.
    Je lui dois mon amour des mots, des mots gardés du temps où elle me les offrait.
    Elle était née en 1890 donc elle a tout vu se créer ...
    Elle était d'une famille nombreuse, la plus fragile, elle les a tous enterrés.
    Elle vénérait sa mère, qui avait travaillé chez des bourgeois, là où elle avait sans doute appris un plus beau langage. Son père devait être plus fruste.
    Elle avait travaillé "aux chaussons" ... j'adorais l'expression.
    Elle avait été amoureuse d'un militaire de Saint Maixent, mais il avait dû trouver qu'elle n'était pas assez bourgeoise.
    J'ai toujours la photo de cet homme dans les photos de famille.
    Sur ces photos, je pense qu'elle a rencontré mon Pépé adoré lors d'un mariage, parce que je les y vois tous les deux avec d'autres cavalier(e)s.
    Mon grand-père était très bel homme, ma grand'mère était très belle aussi.
    Ce sont eux qui m'ont élevée en premier ...
    Comme j'aimerais me souvenir de tout ce qu'elle nous racontait qui ne semblait pas important à l'époque, mais qui le serait tant maintenant pour les jolis souvenirs.
    Quand j'étais ado et qu'elle m'accompagnait au cinéma, sa crainte c'était de tousser pendant la séance et elle avait toujours une boite de pastilles à la main, ça m'énervait au plus haut point !!!
    A l'époque "le rosier de mémé", qui sent toujours aussi bon, traversait la cour et elle prenait un sécateur et coupait les fleurs fanées, elle disait qu'elle coupillait ... mais c'était ma mère qui devait ramasser les fleurs ... et quand je coupille moi aussi, elles me tient la main.
    Elle aimait bien écouter de la musique sur son transistor, mais elle voulait que ce soit mon mari qui lui achète les piles, plutôt que mon père, la musique de mon mari était plus jolie.
    Elle avait eu beaucoup de souffrances avec le nerf facial qu'il avait fallu lui sectionner et elle caressait sa joue souvent en nous disant "Je sens qu'il repousse" ...
    Elle est partie, comme une petite flamme qui s'éteint, à 94 ans. Entourée des siens, dans sa maison, où je vis maintenant.
    Moi aussi j'ai eu une mémé merveilleuse ...

    Moi aussi j'avais une Mémé ...

     


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  • Mains ...

    Vous aimez mes mains.
    Vous les regardez fixement.
    Quand elles ne sont pas sur vous, vous souhaitez qu'elles le soient.
    Vous aimez qu'elles soient fortes.
    Elles peuvent vous caresser doucement ou vous tenir fermement.
    Elles vous écrivent.
    Elles vous dépouillent.
    Elles jouent d'un instrument que vous aimez.
    Oliver Tremble


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  • À la fin des années 1990, l’artiste Janet Echelman voyage en Inde avec l’intention de proposer des expositions de peinture à travers le pays. Elle expédie ses fournitures de peinture à l’avance et atterrit dans le village de pêcheurs de Mahabalipuram pour débuter ses expositions mais son matériel de peinture n’est jamais arrivé.
    En se promenant dans le village, elle a été frappée par la qualité et la variété des filets utilisés par les pêcheurs locaux et s’est demandé à quoi pourrait ressembler ces filets, s’ils étaient suspendus et éclairés dans les airs. Serait-ce une nouvelle approche de la sculpture ? Un nouveau chapitre dans sa carrière d’artiste est né et l’artiste a depuis consacré son temps et son énergie à la création de ces sculptures colorées et monumentales et à leur exposition à travers le monde. Janet entreprend actuellement sa plus grande pièce jamais réalisée, une sculpture de 213m de long qui sera suspendue au-dessus de Vancouver le mois prochain, à l’occasion du 30e anniversaire de la TED Conférence. Ce projet est réalisé en collaboration avec la Fondation Burrard Arts, elle est actuellement à la recherche de financement via Kickstarter. Voici un aperçu de ses installations.
    http://www.journal-du-design.fr/urban-life/les-installations-suspendues-de-janet-echelman-41539/

    Créations aériennes ...


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  • Je suis ravi ...

    je suis ravi
    par la pensée
    que vous êtes
    en réflexion,
    une pensée
    comme celle à laquelle
    je pense
    et je pense
    à
    vos mains,
    et
    comment les miennes
    glissent sur vos hanches
    en un mouvant
    domaine


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  • La bengaline :
    Tissu lourd originaire du Bengale (Inde) et qu'on reconnait à ses côtes horizontales
    généralement produites par l'utilisation d'un gros fil de trame. Son tissage est serré.
    La bengaline est employée pour la fabrication de la lingerie féminine, les vêtements et les tissus d'ameublement.

    Doux noms des doux tissus ...


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  • L'histoire de la découverte de cette astrapie est originale. Frederick Shaw Mayer, naturaliste, aviculteur et explorateur infatigable, passa près de trente années de sa vie à observer et collecter des spécimens d'oiseaux de Nouvelle-Guinée. Un jour, dans la région de Tomba dans le sud du mont Hagen, il remarqua, dans l'ornement d'une coiffure de chef indigène, de très longues et fines plumes blanches d'une espèce inconnue. Les indigènes l'informèrent que l'oiseau n'était pas rare dans la jungle et qu'ils lui avaient même donné un nom « kugo » au mâle et « togi » à la femelle. Mayer se mit alors à la recherche de cet oiseau et finit par le découvrir non loin de là. Il relata brièvement sa découverte dans une lettre datée du 16 décembre 1938 et adressée à Sims : « Alors que j'étais grimpé dans un arbre à contempler les sommets parsemés de rochers et de tapis de bruyères, mon attention fut attirée par des oiseaux voletant dans des branches couvertes de mousse. Les mâles offraient un spectacle remarquable car en papillonnant parmi les frondaisons avec leur longue queue traînant dans les airs, ils produisaient un froissement de plumes caractéristique. » (Ottaviani 2012).
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Paradisier_%C3%A0_rubans

    Encore un drôle d'oiseau ...


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  • Tsugouharu Foujita ou Tsuguharu Fujita (藤田 嗣治, Fujita Tsuguharu?), aussi connu après son baptême1 en 1959 sous le nom de Léonard Foujita, est un artiste complet (peintre, dessinateur, graveur, illustrateur, céramiste, photographe, cinéaste, créateur de mode…) français d’origine japonaise. Il est né le 27 novembre 1886 à Tokyo et mort le 29 janvier 1968 à Zurich en Suisse. Il repose à Reims dans la chapelle Notre-Dame-de-la-Paix qu'il a imaginée et peinte à la fin de sa vie.
    http://fr.pinterest.com/mucksnipe/tsuguharu-foujita/

    Le monde de Fujita ...


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