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James Pratt peintre au couteau !
Je suis né à Wellington en Nouvelle-Zélande, et ai déménagé à Los Angeles au début des années 1980. Je vis dans le pays juste à l'extérieur de Charleston, Caroline du Sud, quand je ne passe pas du temps dans notre maison dans le sud de la France.
Pour moi, le couteau est un outil idéal et j'aime la sensation de l'application de peintures comme du beurre épais sur la toile. Avec la peinture au couteau, on peut parvenir à la suggestion du mouvement et de changement de lumière en ajoutant des textures qui peuvent être mince ou striée. Cette manière permet à la peinture de se démarquer et encourage un traitement vif et impressionniste, offrant un contraste intéressant d'échelle qui ajoute beaucoup à l'impact de la peinture en finition.
http://jamesprattfineart.com/collections/39433
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Qu’est-ce qu’un parti ? J’avoue ne pas bien savoir. Dans mon esprit, les partis expriment - en les immobilisant - des idées durement charroyées par le mouvement de la pensée. De ce point de vue-là, je ne peux que donner raison à ceux qui, comme le Premier ministre actuel, aimeraient que le Parti Socialiste au pouvoir change de nom. Car en effet, l’appellation date d’un temps où existait un mouvement ouvrier et un désir plus ou moins sincère d’émancipation sociale.
http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article25805
Où veux-je en venir ? Mon parti n’a pas de nom. Il n’a pas encore de nom. Mais il en trouvera un, car c’est une nécessité. Et nous en serons fiers.
Fabrice Nicolino
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J'ai mangé, j'ai adoré la viande sous toutes ses formes pendant très longtemps.
Chez mes grands-parents, on élevait poules, lapins et pigeons. Ils avaient une belle vie, le temps avait un sens,
mais un jour, repas de famille ou dimanche simplement, l'un passait à la casserole. Je me réfugiais alors dans la cuisine, dans le giron de ma grand'mère pour ne pas entendre les cris d'avant la mort.
Puis, élever des animaux est devenu non pas normal, mais industriel, on les engraisse avec des produits qui les gonflent, on les laisse enfermés dans des endroits qui ne sont plus la vie. Je n'ose même pas penser comment on les traite en les conduisant à l'abattoir.
Je vous avoue que je n'ai pas lu l'article, je sais ce que j'y trouverai, je fais l'autruche, faites comme moi si vous voulez.
Je n'ai toujours pas résolu mon problème de viande, j'en mange toujours, juste en diminuant les quantités.
Je mange aussi du poisson, qui ne crie pas, mais la mort est la mort !
http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article25814
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Quel plaisir d'ouvrir la porte sur le jardin ...
Portant le Bidule qui ne veut point sortir
Mon petit jardin est vraiment un fou doux nid !
Belle journée à vous !
Rappelez-vous que toutes les personnes que vous rencontrez ont peur de quelque chose,
aiment quelque chose et ont perdu quelque chose.
H. Jackson Brown Jr.
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Le temps, tranquille ... le Bidule, les fleurs ... tout !
Silence et solitude sont des plans parfaitement valides pour le week-end.
Pour moi c'est vraiment ça, je laisse ces deux jours
aux gens qui travaillent ... mes sorties s'arrêtent le vendredi.
Le week-end c'est mon île ...
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Un Californien a inventé et commercialise une machine qui permet à n'importe quel individu de faire son propre vin chez lui, et d'en élaborer seul les caractéristiques de vinification.
Un ordinateur qui permettrait de faire du (bon) vin à la maison ? Cette machine futuriste et quelque peu déroutante existe déjà. C'est un entrepreneur Californien, Greg Snell, qui l'a inventée, et qui l'a baptisée «WinePod.» Visuellement, il s'agit d'un cylindre en acier d'un peu plus d'un mètre, qui ressemble à s'y méprendre à un mixer. Son fonctionnement ? Simple comme bonjour. Après avoir ajouté les raisins à l'intérieur, l'appareil est relié à un ordinateur, où un logiciel vous guide à travers le processus de vinification. Ensuite, la machine presse automatiquement les raisins, et vous laisse patienter quelques mois... Avant que vous puissiez recueillir l'équivalent de 48 bouteilles de vin !
http://www.lefigaro.fr/conso/2013/11/22/05007-20131122ARTFIG00625-le-winepod-l-ordinateur-qui-fabrique-du-vin-maison.phpLa raison avancée c'est que c'est très désagréable que chaque bouteille qu'on ouvre puisse avoir un goût différent.
Là vous avez du vin, une fois que vous avez dit le goût que vous vouliez lui donner, qui sera toujours pareil ...
La perfection sans originalité ... ma mondialisation du palais quoi !
Le problème, le raisin est vinifiable à une période de l'année ? comment je fais pour faire du vin en mai ... parce que c'est ce qui me plait ?
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Il ne se cache pas dans les coins
ou les placards, pas même
sous le lit, ou le canapé ...
non, il est toujours là
- là avec nous -
sur le bout de vos doigts,
et je le sens quand vous les appuyez
sur ma peau douce et souple.
Vous êtes toujours à laisser votre marque,
pour m'impressionner avec votre obscurité.
sw
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Bon et maintenant
Si peu à peu vous vous arrêtiez de m'aimer
Je cesserai de vous aimer aussi,
Petit à petit.
Si soudain vous m'oubliez
Ne me cherchez pas
Parce que je vous aurai déjà oubliée.Si vous pensez cela et trouvez que long et fou est le vent des bannières qui traversent ma vie
Et que vous décidez de me laisser au bord du coeur où j'ai mes racines
Rappelez-vous
Que ce jour-là, à cette heure-là, je lève mes bras
Et mes racines s'élanceront pour chercher une autre terre.
Pablo Neruda
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Il est facile d'aimer l'autre à une table de bar, quand les échanges sont légers,le rire facile et la boisson fraîche. Il est facile d'aimer l'autre pendant les vacances, devant un barbecue,
dans les fêtes, ou quand on ne se voit que de temps en temps.
Plus difficile d'aimer quand l'autre chute,
quand il/elle ne croit plus en rien et qu'il/elle comprend tout de travers.
Quand il est paralysé, qu'il perd de son charme, son identité, sa cohérence.
C'est pendant ces heures qu'on voit l'amour vrai, celui qui veut du bon par-dessus tout.
C'est cet amour qui dure pour toujours, en réalité, il est le seul aspect que l'on peut appeler l'amour.
Pedro Bial
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Et blâmer, vous savez ?
Lorsque vous plantez une laitue, si elle ne pousse pas bien, vous ne blâmez pas la laitue. Vous regardez les raisons qui font qu'elle ne va pas bien. Elle peut avoir besoin d'engrais, d'eau ou plus ou moins de soleil. Vous ne blâmerez jamais la laitue.
Pourtant, si nous avons des problèmes avec nos amis ou notre famille, nous blâmons l'autre personne. Mais si nous tentions de les comprendre, ils pourraient grandir, comme la laitue.
Blâmer n'a aucun effet positif du tout. C'est mon expérience.
Pas de blâme, dans le raisonnement ni dans l'argumentation, juste comprendre.
Si vous comprenez, et vous montrez que vous comprenez, vous pouvez aimer, et la situation va changer.
Thich Nhat Hahn
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