• Et c'est  fabriqué à Nantes ...
    Depuis 1911, les établissements Guillouard façonnent des objets utilitaires en acier, au coeur de la ville de Nantes. Bouilloires, presse-légumes, arrosoirs, brocs, lessiveuses ... sont des valeurs sûres, une qualité ancestrale adaptée à la vie d'aujourd'hui. Mais la pièce emblématique est une lampe tempête datant de 1927. Il s'en écoule toujours 70.000 exemplaires par an. Entorse à la modernité, depuis qu'elle est centenaire, l'usine nantaise édite des versions colorées.
    Une lampe tempête en acier étamé à chaud (plongée dans un bain d'étain), inusable et qui porte bien son nom. Le vent peut bien souffler, sa flamme ne vacille pas. En Afrique noire francophone, on préfère le modèle surnommé "la luciole". C'est un rituel, le marié congolais doit en offrir deux à sa belle famille.
    http://www.guillouard.com/

    La luciole ...


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  • Une belle histoire de Noël ...
    Les hommes sont souvent des animaux très bêtes. Ils boivent et pour narguer la mort, ils montent sur des wagons et hop arc électrique ... et mort !
    Figurez-vous que les macaques sont parfois aussi bêtes ...
    En Inde, ils adorent jouer dans une immense gare ... sautent partout et hop ... électrocution !
    Et là, donc, un macaque tombe entre les rails, électrocuté, un congénère arrive et entreprend de faire du secourisme, et que je te morde, et que je te jette à terre ... le singe a vraiment l'air mort. Pour finir, le sauveteur le jette dans une rigole et là, l'électrocuté revit ... le sauveteur continue un peu à lui masser le dos et s'en va comme si de rien n'était ...
    Une chance qu'aucun train ne soit passé ...
    http://www.francetvinfo.fr/monde/asie/video-un-singe-electrocute-sauve-par-un-autre-singe-dans-une-gare_778451.html

    La gare de Kurun

    Une belle histoire de Noël ...


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  • Le loup, père du savoir indien
    Chez de nombreux Indiens, notamment parmi les populations de la côte pacifique nord-ouest du Canada, le rituel du loup est l’initiation qu’empruntent les enfants pour devenir hommes. Le « klukwana », la danse du loup, est un rituel qui ouvre la saison sacrée de l’hiver où les hommes entrent en communication avec les esprits. C’est durant cette période que les enfants et les novices recevaient le savoir des ancêtres sous forme d’"histoires sacrées" - le mot « mythe » a une connotation péjorative dans nos cultures de la rationalité. Ils apprendront tout ce que le loup a transmis aux fondateurs de leur tribu à travers la force et le courage, ou les pas et les chants que les danseurs, masqués à l’image de l’animal, exécutent en son honneur.
    Mais, plus généralement, toutes les tribus indiennes ont un grand respect du loup avec qui elles partagent un mode de vie respectueux des équilibres naturels et un rôle primordial dans cet équilibre. Le loup inspire l'homme par son mode de vie et ses techniques de chasse. La solidarité d'un clan n'est pas différente de la fraternité d'une tribu. Le rôle de grand prédateur nécessite un grand savoir. Les Indiens ont su écouter, observer et prendre exemple.
    Le loup et l'indien: frères de douleur
    Un élément majeur rapproche encore l’Indien et le loup : la colonisation. Leurs destinées ont forcément été liées par les colons dans leur conquête de territoire. Les Indiens doivent être expulsés car ils n’ont pas su exploiter la terre, comme la Bible le commande. Le loup, on le sait, a déjà été déclaré nuisible dans cette perspective. Ici, bien plus qu'une espèce, c'est un mode de vie commun au loup et à l'Indien que l'on entendait détruire. Au nom de quoi ? D'un dieu, dit-on, mais aussi d'une prétendue incompatibilité entre deux modes de vie.
    De plus, malheureusement pour lui, le loup est assimilé à l’ennemi, l'Indien, avec qui il entretient de bons rapports. En contrepartie, en tant que symbole du mal, il n’a pas joué, non plus, en faveur de l’Indien. C’est donc un double génocide qui peut commencer au nom de l’église, par un peuple élu et, de surcroît, sur la Terre Promise. Dans le prolongement de cette mission divine, bientôt, il aura le Monde entre les mains.

    L'Indien et le Loup ...


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  • J'ai retiré ...

    "J’ ai retiré ta couverture pour mieux me rapprocher de toi
    Te déshabillant du regard
    Point d’ interrogation
    J’ ai enlevé ta ponctuation pour épouser l’ ondulation de tes formes
    Puis j’ ai déboutonné mot à mot l’ imagination de ton corps sage
    Tout doucement j’ ai dégrafé ta rime
    point de suspension
    j’ ai vécu le vertige à chaque hésitation
    J’ ai préservé le curseur de l’ amplitude de tes mots
    En isolant les verbes de tes soupirs
    Point d’ exclamation
    Ainsi tu as saisi la majuscule de mon désir
    En ouvrant délicatement les parenthèses de tes envies
    Alors j’ ai déchiré ta poésie en pénétrant ta métaphore.”
    Frantz Massouf


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  • Un jour ...

    Un jour, nous prendrons la route pour un long voyage.
    La valise sur le siège arrière, à côté du chien qui ne se soucie pas où nous allons
    aussi longtemps que sommes avec lui.
    Nous nous arrêterons aussi souvent que nos cœurs nous diront de le faire.
    La capote relevée, la chaleur du moteur, le vent sur nos visages nus.
    Ce voyage est fait pour moi.
    Dois-je vous avertir à ce sujet ? j'ai l'intention de vous obliger à de nombreux arrêts.
    Un jour, ces voyages ne seront plus qu'esquissés et photographiés.
    Des poèmes rempliront des cahiers avec nos cœurs  tout renversés sur les pages.
    Un jour.


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  • La frontière entre l'Iran et l'Irak est l'une des zones les plus inhospitalière au monde. Montagneuse, peu peuplée, elle a été le théâtre de multiples massacres des populations kurdes au Nord, y compris à l'arme chimique, sous le régime de Saddam Hussein. Lors de la guerre Iran-Irak, dans les années 1980, les deux pays ont déployé dans la zone frontalière entre 20 et 30 millions de mines, dont seule une petite partie a été détruite.
    Les montagnes, c'est aussi l'habitat naturel du guépard persan, un animal protégé et en voie d'extinction, mais dont la population se développe à nouveau. Plus légers que les hommes, les guépards peuvent traverser les champs de mines où les braconniers n'osent pas s'aventurer, rapporte le National Geographic. Les mines déployées par l'Iran et l'Irak, qui sont en majorité des mines antichar, sont conçues pour exploser sous une pression d'environ 80 kg.
    http://bigbrowser.blog.lemonde.fr/2014/12/21/les-guepards-persans-sabritent-dans-les-champs-de-mine/

    Leur légèreté les sauve ...


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  • Ils ont vécu des millénaires. Dispersés dans les bosquets sous-alpins dans l'ouest des États-Unis, certains de ces vieux arbres sont âgés de plus de 5.000 années. Ils contiennent dans leurs rangs les plus anciens individus connus de toutes les espèces sur Terre.
    Leurs branches tordues, formées au cours d'innombrables années s'étirent vers le ciel, si sublimement anthropomorphiquement expressives. Que pourraient-ils dire des temps passés  ?
    http://www.kuriositas.com/2014/12/the-bristlecone-pine-twisted.html

    Ah ! s'ils pouvaient raconter ...


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  • Malgré qu'ils soient ancrés dans le mythe et la magie de Noël, les rennes existent vraiment.  Bien que liés à la livraison des cadeaux de Noël,  les rennes jouent un rôle essentiel dans de nombreuses cultures arctiques en Europe et en Asie depuis des millénaires. Mais qui sont-ils vraiment ?

    8. Ils peuvent voir des choses que nous ne voyons pas
    Des chercheurs de l'University College de Londres ont découvert que les rennes sont les seuls mammifères qui peuvent voir la lumière ultraviolette. Bien que notre ancienne vision humaine  nous permet de voir les longueurs d'onde d'environ 400 nanomètres, les rennes peuvent voir jusqu'à 320 nanomètres, qui comprennent le spectre que nous ne pouvons voir qu'avec une lumière noire. Elle les aide à repérer les choses plus clairement à la lumière éblouissante de l'Arctique.
    9. Ils sont vite opérationnels
    Il faut 90 minutes, à la naissance, pour  qu'un bébé renne soit en état de marcher. En quelques heures, il est en mesure d'exécuter plusieurs miles.
    10. Les bébés rennes sont adorables.

    Chez moi ... soyez rennes ...


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  • Hu Yongkai est né à Pékin en 1945. Il est maintenant membre de l'organe chinois de l'Association des Artistes et du conseil de l'Association des artistes chinois des États-Unis d'Amérique. Il a été professeur au Collège des Beaux-Arts de l'Université de Shanghai.
    Hu a formé son propre style en mélangeant de façon personnelle les arts orientaux avec les arts occidentaux pour exprimer la culture traditionnelle chinoise et ses peintures sont caractérisées par sa passion pour le lieu et l'histoire autochtone. L'émotion et le rythme de ses œuvres sont pleines d'attrait artistique.
    http://www.fineartgalleryhk.com/gallery/chinese/artists1.phtml?strForceLang=en&ArtistsID=10

    Le monde de Hu ...

     


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  • Je me console, il ne pleut pas, les chemins sont propres ...
    C'est la semaine fatidique ... du grand tralala
    Bonne journée ...
    La chose la plus difficile dans ce monde est de simplifier votre vie.
    C'est tellement plus facile de la rendre complexe.
    Ce qui est important est de la vivre en conscience.
    Yvon Chouinard

    Encore un matin gris ...


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