Obligée de tout débrancher, ça éclairait et ça cognait sec !
Il a plu aussi, pas mal et ça c'est parfait ...
Là c'est gris ...
Bonne journée !
Les Chamans dans les Amériques vivent dans un monde où le Créateur n'est pas séparé de la Création,
le ciel n'est pas séparé de la Terre,
et l'esprit et la matière ne vont pas l'un sans  l'autre.
Le Chaman ne croit pas à une division entre le corps et l'esprit,
ou entre le monde visible de la forme et le monde invisible de l'énergie.
Alberto Villoldo

Je respire ...
Il parait qu'il pleut à minuit .....
Ne battons plus de record de canicule, trop dur !
Bonne soirée et à demain !
Trop de gens passent trop de temps à essayer de perfectionner quelque chose avant de le vivre. 
Au lieu d'attendre la perfection,
fonctionnez bien  avec ce que vous avez et avancez sur votre chemin.
Paul Arden

L'ancien tunnel Titus Vespasien en Turquie.
Le Tunnel Titus Vespasien est vieux de 2000 ans, c'est une merveille d'ingénierie - un tunnel creusé à travers une montagne, construit pour détourner les eaux de crue qui menaçaient le port près de l'ancienne ville de Séleucie Pieria dans ce qui est maintenant la Turquie. Selon l'UNESCO, il est l'un des plus beaux vestiges de l'époque romaine en raison de sa taille, l'authenticité préservée, et les caractéristiques architecturales et d'ingénierie.
Le Tunnel Titus n'a été ni construit, ni complété par l'empereur Titus. La construction de ce tunnel, a commencé sous le règne de Vespasien, le père de Titus, au cours de la seconde moitié du 1 er siècle après JC Bien que le travail a continué pendant le règne de Titus (79-81 AD), il ne fut achevé que pendant le règne d'Antonin le Pieux au 2 ème siècle après JC Ces dates sont connues en raison de plusieurs inscriptions rupestres sculptées trouvées dans le tunnel. Lors de la première section de tunnel, les noms et Titus Vespasianus ont pu être trouvés. Cette inscription se lit 'Divus Vespasien et Titus Divus FC »(« Divine Vespasien et Titus Divine causé qu'il soit fait »). Ainsi, il peut être possible que le tunnel a été construit conjointement par les deux empereurs. Une autre inscription dans le canal aval porte le nom d'Antonin le Pieux, indiquant que la construction a été achevée pendant le règne de cet empereur.
http://translate.google.fr/translate?hl=fr&sl=en&u=http://www.ancient-origins.net/ancient-places-asia/ancient-vespasianus-titus-tunnel-turkey-001799&prev=search

Fondé il y a trois ans par un ancien cadre financier, le site Graines de troc compte aujourd'hui 5 000 membres. Basée sur une monnaie virtuelle, il constitue une alternative à la privatisation et à la standardisation des semences.
Du commerce de produits financiers au troc de graines. C'est le virage professionnel qu'a pris Sébastien Wittevert il y a trois ans. Cadre dans la finance, il plaque alors son job pour créer Graines de Troc, une plateforme participative dont le principe est simple : inviter les particuliers à échanger des graines de chia, de petits pois carrés, de roses trémières... Et ainsi participer à défendre biodiversité.
"Ce fut un long cheminement, mais le jour où j’ai mis les pieds dans une AMAP (Association pour le maintien d’une agriculture paysanne), j’ai su qu’il fallait que je fasse quelque chose pour participer moi aussi à la transition écologique indispensable que nous sommes en train de construire."
La plateforme de Sébastien Wittevert rassemble aujourd'hui plus de 5 000 troqueurs, qui s'échangent 3 000 variétés de graines.
http://www.wedemain.fr/En-troquant-des-graines-sur-le-net-ils-defient-l-industrie-des-semences_a988.html

Il semblerait qu'on en trouve parfois dans les bibliothèques, au rayon des livres de jardinages et des bourses se font, comme pour les échanges de plantes. Vive la liberté ...

Quand on rencontre quelqu'un,
c'est signe qu'on devait croiser son chemin,
c'est signe que l'on va recevoir de lui quelque chose qui nous manquait.
Il ne faut pas ignorer ces rencontres.
Dans chacune d'elles est contenue la promesse d'une découverte.
Aharon Appelfeld

Les chandelles scintillent,
Les lucioles clignotent dans la nuit
L'air de ce soir d'été est torride
Juste un peu d'air sur le rideau
Qui semble se balancer avec délice.

Les lueurs se reflètent
Sur la coupe de cristal taillé
Lorsque vous sirotez votre vin
Je peux voir pétiller aussi
Ces lueurs dans vos yeux.

Vous commencez à sourire
Comme vous regardez par la fenêtre
Vers le sentier
Les lumières volant dans l'air
Les insectes recherchant leurs compagnons.

Vous prenez un bougeoir
Et je sais que je dois suivre
Je prends les verres
Je suis la flamme
Qui va me conduire vers ma compagne.
JBZ

Il y a au moins deux des 200 ponts de Saint-Pétersbourg qui ont leurs propres coutumes particulières. Sur Ioannovsky Bridge, d'abord, jeter une pièce de monnaie au pied d'une sculpture métallique d'un petit lièvre qui se dresse sur un pilier de bois dans l'eau est censée être porter chance. (La statue commémore une légende locale d'un lièvre qui se serait sauvé d'une inondation en sautant dans la botte de Pierre le Grand.) Sur le pont Bankovsky, il y a une seconde possibilité de cultiver la bonne fortune : mettre la main sur les pieds d'un lion en faisant un vœu est censé assurer que votre souhait se réalise quand vous traversez le pont.

L'île est connue comme étant le lieu abritant la population de serpents la plus dense de la planète. De ce fait, c'est l'un des endroits les plus dangereux au monde pour l'homme ; aussi, personne, à part les scientifiques, n'a le droit d'y accoster. Ces serpents appartiennent tous à la même espèce, une variété de fers de lance appelés trigonocéphales insulaires ou jararaca-ilhoas (bothrops insularis)1dont le venin est cinq fois plus puissant que celui de leurs cousins bothrops continentaux2. Les serpents sont présents sur le sol, dans les arbres, au sommet de l'île et sur la plage. Ils ont même élu domicile dans l'ancien phare, déserté depuis longtemps. Cette espèce de serpents est l'une des plus venimeuses au monde, à un point que personne, ayant été mordu, a vécu assez longtemps pour être transporté dans un hôpital. Elle est cependant menacée d'extinction puisque c'est le seul endroit au monde où elle vit. Elle peut donc disparaître d'un jour à l'autre à cause d'un incendie. Un documentaire de Discovery Channel a prétendu qu'à certains endroit de l'île, il y a un serpent par mètre carré, alors qu'une légende locale prétend qu'il y a cinq serpents à tous les mètres carrés.
https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%8Ele_de_Queimada_Grande

Le Leonberg est une race de chiens géants, dont le nom est issu de la ville de Leonberg, dans le Bade-Wurtemberg. Selon la légende, le Leonberg a été élevé comme un « chien symbolique », le pendant du lion qui orne le cimier des armoiries de la ville.
Heinrich Essig (1808-1889) était un des conseillers municipaux à Leonberg, la bourgade où il s'était fixé, à une quinzaine de kilomètres de Stuttgart, dans ce qui était alors le royaume de Wurtemberg. Il se présentait en tant que baron de Leonberg quand il se trouvait à l'étranger. Alors qu'à la base il désirait un chien entièrement blanc, il aurait créé la race Léonberg à partir du Landseer et du Saint-Bernard, croisement qu'il aurait ensuite enrichi de Montagne des Pyrénées.
Une autre hypothèse, tout à fait vraisemblable et plus généralement admise est que le Léonberg soit issu de l'ancien Chien des Alpes, une race mentionnée par plusieurs auteurs, tels que Delabarre-Blaine (1803), Gayot (1867), Pertus (1893) et qui était répandue des Alpes rhétiques (les Grisons) à l'Autriche. Cette race aurait peu à peu été délaissée dans ces régions du fait de la disparition des grands prédateurs, ours, loups, lynx. Mais, pendant de nombreux siècles, son principal centre de diffusion pour l'Allemagne aurait été la ville de Leonberg, dont le marché aux chiens est connu depuis le XIIIe siècle.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Leonberg_%28chien%29

Carolina Landea, peintre chilien, résidant dans le petit village côtier de Cachagua, au Chili, les peintures de Carolina sont des histoires de la vie ; capturer des moments, des paysages et les gens qui tissent une certaine magie à travers les espaces.
Née à Santiago du Chili, en 1960, Caroline a passé une partie de son enfance et adolescence en Espagne, où elle a commencé sa formation dans le monde de l'art  à l'Académie de San Fernando de Madrid. À son retour au Chili, elle poursuit ses études avec Reinaldo Villasenor et Edwardo Vilches.
http://www.tuttartpitturasculturapoesiamusica.com/2012/09/Carolina-Landea.html