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Richard Bachellier est un photographe français dont le sujet de prédilection concerne les femmes et leur silhouette. Dans certains de ses clichés, il les photographie en couleurs parfois dévêtues, et leur offre un grain « pixélisé » en ajoutant des carrés flous sur les images. Ce travail rend les sujets presque fictifs et leur donne un aspect pop.
http://www.fubiz.net/2016/09/02/pixelated-like-pin-ups-portraits/
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Irene Sheri Vishnevskaya
Fille d'une mère bulgare et d'un père français, Irene Sheri Vishnevskaya est née en Ukraine en 1968. Sa carrière artistique a commencé quand son frère aîné, Vasily, lui a offert un ensemble de peintures pour son 9ème anniversaire. Depuis, la peinture est devenue une obsession.
http://www.tuttartpitturasculturapoesiamusica.com/2011/11/irene-sheri-1968-frenchbulgarian.html
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On ne dira jamais assez combien la laideur de l’époque actuelle nous accable et nous désole. Une vulgarité de ton doublée d’une absence de style. Une lourdeur bien-pensante qui, chaque jour, envahit les écrans et les librairies. Et cette morgue suicidaire de filmer, écrire, manger, s’habiller comme tous les autres peuples, résignés à accepter ce destin tragique. La mondialisation a été jusqu’à standardiser nos émotions. Les Français y ont perdu leur singularité et leur sensibilité. Affirmer que « c’était mieux avant ! » n’est pas une posture réactionnaire mais un constat lucide et, sans appel. Il suffit de revoir « Les choses de la vie », le film de Claude Sautet (Prix Louis-Delluc 1970) adapté du roman de Paul Guimard sorti en 1967 chez Denoël.
http://www.causeur.fr/choses-de-la-vie-schneider-sautet-39955.html
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Douce France et cruels Français
Par Gérard Charollois
Voici un pays où les écologistes politiques ont perdu leur chlorophylle pour sombrer dans le sociologisme formaté, où les Socialistes ont cessé de l’être depuis 1983, où les Républicains dissimulent des commis de la finance.
Voici un pays qui compte le plus grand nombre de chasseurs (900 000), la plus longue période d’ouverture de la guerre sans honneur que l’homme fait aux animaux, qui possède le plus grand nombre d’espèces animales soumises à la législation de la chasse, qui pâtit d’une classe politique ringarde, avec des réactionnaires plus rances et plus arrogants que ceux des pays voisins, qui empoisonne davantage ses sols et ses eaux, via les biocides de son agriculture, plus que partout ailleurs, qui ne bénéficie, à ce jour, d’aucun grand parti défendant l’écologie, c’est-à-dire le respect de la vie et l’amour de la nature.
http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article32259
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Le soleil est déjà installé,
Moi, ça ne saurait tarder ...
Bonne journée !
La vie n'est jamais comme on l'imagine.
Elle vous surprend, vous étonne, elle vous fait rire ou pleurer quand vous ne vous y attendez pas.
niki de saint phalle
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Je me sens mieux dans mes baskets ...
si j'ose dire, vu que je suis pieds nus lol
On s'habitue à tout !
Bonne soirée !
L’ombre grandit dans la pièce.
On n’éclaire pas, il y a assez de mots pour se voir.
Christian Bobin
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Viendra le temps
où les nations sur la marelle de l'univers
seront aussi étroitement dépendantes les unes des autres
que les organes d'un même corps,
solidaires en son économie.Le cerveau,
plein à craquer de machines,
pourra-t-il encore garantir
l'existence du mince ruisselet de rêve et d'évasion ?L'homme,
d'un pas de somnambule,
marche vers les mines meurtrières,
conduit par le chant des inventeurs…
René Char
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Serre bien ma tête contre ta poitrine
et berce-moi
Dans le cocon soyeux de tes mains
ma tête se fera toute petite
Le gros abcès des idées crèvera
et je redeviendrai l’enfant d’un autre siècle
effrayé par le tonnerre
et qui se donne du courage
en ânonnant un vieil alphabet
à la lueur d’une bougie
dans la maison interdite de Fès
près d'un brasero où brûlent encens et fenugrec
et éclate dans l’alun le mauvais œil
Berce cet enfant qui n’a point été bercé
afin qu’il revive et fasse revivre entre tes bras
un monde englouti, saccagé, volé
dont il ne reste
qu’un âcre parfum d’innocence.
Abdellatif Laâbi
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Je suppose que la maison où j'habite, très ancienne, a fait partie des dépendances du château de Monti. Quand j'étais enfant, le château existait encore, les horribles HLM ne l'avaient pas encore remplacé et, dans le parc, deux colombiers se dressaient. Ils étaient de forme ronde et je me souviens être entrée à l'intérieur, il y avait une fourche à foin accrochée au mur et un "grand" m'avait dit que c'était la fourche du diable et j'y avais cru. On aurait pu en garder un ... non non, tout a été rasé ...
J'ai découvert ce site sur des colombiers grecs.
http://www.tinos.gr/fr/accueil/architecture/colombiers/
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Blottie dans les bras du fleuve, près d’Angers, l’île dégage une quiétude qui séduit habitants et touristes. Découverte de l’une des plus petites communes de France.
Vue du ciel, elle ressemble à une feuille de saule. Depuis la rive opposée, elle paraît presque déserte. On ne distingue qu’une végétation touffue et lorsque le fleuve est bas, une plage. Pourtant, derrière ce haut mur de verdure, se cache un petit village de tuffeau et d’ardoises. L’allée bordée de roses trémières nous mène à sa chapelle, véritable cœur de l’île. Posée sur son rocher, elle domine le brin de terre et lui donne son identité.
C'est vrai, quand j'ai découvert cet endroit hors du temps quel bonheur ...
http://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/lile-de-behuard-tresor-cache-sur-la-loire-4431175
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