• 8 - Le Basque ...
    La langue basque est parlée par le peuple basque du nord de l'Espagne et des régions du sud-ouest de la France. Bien que les chercheurs aient essayé de relier le basque à d'autres langues, les études ont conclu qu'il n'a aucune relation connue avec aucune autre langue dans le monde.
    Le basque est la seule langue pré-romaine connue à avoir survécu alors que d'autres langues ibériques ont disparu. De nombreuses tentatives ont été faites pour montrer une relation entre les langues basque, ibérique et afro-asiatique, mais aucune n'a été largement acceptée. Le basque a la position unique d'être une langue vivante, nous donnant une fenêtre dans la compréhension de la diversité linguistique des personnes anciennes vivant autrefois dans la péninsule ibérique.
    https://www.clio.fr/bibliotheque/La_langue_basque_ou_euskara_incertitudes_et_faits_averes.asp

    Des langues gardent leur mystère ...


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  • Le photojournaliste Steve McCurry a un talent inégalé pour capturer des moments intimes et privés, révélant souvent la vulnérabilité de ses sujets même lorsqu'ils sont pris dans l'agitation de la vie quotidienne. Là, la lecture les isole totalement de ce qui les entoure.
    http://mymodernmet.com/steve-mccurry-on-reading-photography-across-the-world/?context=featured

    Entrez dans le monde de la lecture ...


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  • Brian Blood
    Impressionniste de Californie
    Brian Blood, réside à Pebble Beach, en Californie.
    Il a commencé sa vie professionnelle en tant qu'artiste graphique et directeur artistique à Boston, Massachusetts. Mais il était frustré car il voulait être peintre. Un saut à travers le continent vers la Californie l'a emmené à l'Académie d'Art Université à San Francisco pour les études de premier et de deuxième cycle. Blood est principalement un peintre de plein-air.
    https://brianblood.com/collections/73147

    Le monde de Brian ...


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  • Hollande en déroute : notre terrible responsabilité collective

    Par Pierrick Tillet

     

    Donc, François Hollande ne sera même pas candidat à sa succession. Et déjà les noms d’oiseaux pleuvent sur l’insignifiant personnage et son parti en miettes. Rappelons cependant que François Hollande n’est pas devenu président par hasard, mais par la volonté d’une majorité d’électeurs.

     

     Aujourd’hui, à travers le président déchu et son PS social-traître, c’est le pays tout entier qui est devenu la risée du monde, une puissance sans importance que l’on regarde avec condescendance, un ancien modèle social en voie de délabrement. Et les électeurs, y compris ceux qui s’abandonnent aujourd’hui en imprécations contre leur ex-moins pire candidat de 2012, portent une énorme part de responsabilité dans la situation désastreuse où se trouve leur pays. Car ils ne furent pas seulement une majorité (51,64 %) à voter pour un aussi piètre postulant, l’autre partie non négligeable des électeurs (48,36 %) resta fidèle au voyou avéré du quinquennat précédent.
    http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article33100

    Hollande et Sarkozy sont dans un bateau ...

     


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  • L’anthropocène et la révolution

    Par Gérard Charollois

     

    L’espèce humaine occupe la planète, l’exploite, maîtrise les ressources, détruit la biodiversité, pollue l’atmosphère, les sols et les eaux. Par sa prolifération et la transformation physico-chimique de l’environnement terrestre, cette espèce devient le facteur premier des modifications de la biosphère et du climat.

     

     Par ailleurs, les prodigieux progrès des sciences et techniques qui accroissent chaque jour la capacité de maîtrise ne peuvent qu’accentuer le rôle de l’humain dans le devenir du vivant. Des scientifiques ont proposé le terme d’anthropocène pour qualifier notre ère dont le début remonte au développement du phénomène industriel. La biologie et les « ciseaux » des gènes constitueront les instruments déterminants de la mutation de notre espèce, pour le meilleur, c’est-à-dire la guérison des maladies et le recul de la mort ou le pire, l’augmentation des performances. Ces faits appelaient d’abord une prise de conscience, puis une politique de responsabilité, une nouvelle frontière éthique corrélée à cette maîtrise d’une ampleur autre que celle que pratiquèrent les hommes du passé.
    Plus besoin d’œuvrer à « devenir seigneur et maître de la nature ».
    http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article33106

    Nous avons l'ère de quoi ?


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  • Il hésite entre bleu ou gris clair ...
    Mais le soleil est levé ...
    Aura-t-il la force d'éclairer ma journée ?
    Qu'elle soit bonne pour tous.
    Je n’accepte plus les choses que je ne peux pas changer,
    je change les choses que je ne peux pas accepter.

    Un ciel pas trop désagréable ...


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  • Pourtant le ciel était tout rose ce soir !
    Bonne soirée !
    Printemps gris, été vert, automne rouge et hiver blanc.
    Parfois la nature se joue des hommes en leur offrant un décor différent,
    comme pour leur prouver qu’ils ne la possèderont jamais.
    Maxence Fermine

    Le soleil fut carrément absent ...


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  • J'écris ...


    J’écris pour ces passants, pour ces anonymes,
    pour ces solitaires et ces abîmes humains.

    J’écris pour diffuser la lumière qui vient
    de toi, du vide et du plein.

    Sur la peau des mots,
    j’épelle mon âme.
    Sandra Dulier


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  • Emportez-moi ...


    Emportez-moi dans une caravelle,
    Dans une vieille et douce caravelle,
    Dans l'étrave, ou si l'on veut, dans l'écume,
    Et perdez-moi, au loin, au loin.

    Dans l'attelage d'un autre âge.
    Dans le velours trompeur de la neige.
    Dans l'haleine de quelques chiens réunis.
    Dans la troupe exténuée des feuilles mortes.

    Emportez-moi sans me briser, dans les baisers,
    Dans les poitrines qui se soulèvent et respirent,
    Sur les tapis des paumes et leur sourire,
    Dans les corridors des os longs et des articulations.

    Emportez-moi, ou plutôt enfouissez-moi.
    Henri Michaux


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  • Se souvenir des choses ...


    Vous voyez que la vie va devenir une chose faite de trous.
    D’absences.

    De pertes.
    Des choses qui ont été là, mais qui ne le sont plus.
    Et vous réalisez également
    que vous devez vous développer autour de ces manques,
    entre ces creux,
    même si vous pouvez tendre la main
    à l’endroit où ces choses ont existé
    et sentir le terne éclat et la tension
    des lieux où les souvenirs se logent.
    Helen Macdonald


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