• Ils foutent le SOUK dans NOS écoles !!!

    L’IFOP a sondé l’Éducation nationale :
    grande peur et grand renoncement

    Arnaud Florac

    On ne peut même plus dire que c'était mieux avant. Le souvenir vague et romancé des hussards noirs de la République, des classes studieuses et disciplinées qui apprenaient les bases de l'écriture et du calcul, les leçons de morale du matin ou la prière en commun dans les établissements privés : tout cela subsiste dans certaines de nos mémoires mais, en vérité, cette école-là a disparu. Par suite de renoncements continuels, de pressions idéologiques, de conformisme et de pédagogie soixante-huitarde, l'école est devenue une garderie pour petits imbéciles dans laquelle les enfants apprennent la même chose chaque année (conjugaison des temps simples, règles de grammaire élémentaires, quatre opérations), et ce, du primaire à la fin du collège. L'histoire, charcutée, coupable, est en soins palliatifs. La géographie, guère mieux. L'éducation morale et civique, nom pudique du bourrage de crâne républicain, peine à faire entendre sa voix.

     

    Comme si cela ne suffisait pas, on observe depuis une trentaine d'années (en gros, depuis l'affaire du foulard de Creil), tout le monde le voit et le sait, une radicalisation des élèves, sous les coups de remplacement de population et de la pression des camarades de classe musulmans. Menus sans porc, goûters piétinés pendant le ramadan, négation de la Shoah, interdiction de parler de l'islam, croyance en la Terre plate, créationnisme, absence des filles aux cours de piscine, traque des mécréants... Tout cela devient monnaie courante et le réseau Parents vigilants, mis en place par Reconquête, ne fait que chroniquer, inlassablement, ce naufrage. Pour régler ces problèmes, Pap Ndiaye a décidé d'intensifier les cours d'éducation sexuelle et Macron de rembourser les préservatifs et les vaccins contre les MST.

     

    L'IFOP vient de se pencher sur la question, du côté des profs cette fois, et d'en tirer des statistiques froides -glaçantes, même. 39 % des enseignants de REP (réseaux d'éducation prioritaire) ont déjà été menacés, dont un quart physiquement. Les plus menacés sont les profs d'histoire-géo (normal : ils apprennent une histoire laïque) et d'EPS (normal aussi : ils ne séparent pas garçons et filles), mais aussi les professeurs de confession musulmane. Normal, encore : ce sont probablement, pour leurs élèves, des mécréants qui ont décidé de bosser pour la République. Les tenues religieuses (on imagine lesquelles) sont 23 % plus nombreuses qu'en 2020 : 63 % des enseignants du public y ont déjà été confrontés. Ces incidents sont peu ou mal rapportés, notamment parce que la hiérarchie ne soutient pas ces enseignants. On sait, par exemple, que Samuel Paty avait été marginalisé par ses collègues et ses chefs avant sa décapitation. Pas seulement de la trouille, mais probablement de l'idéologie pure, de la haine recuite envers le courage d'un prof, qui n'était pas Jean Moulin mais qui, contrairement aux autres, faisait simplement son boulot.
    https://www.bvoltaire.fr/lifop-a-sonde-leducation-nationale-grande-peur-et-grand-renoncement/

    Vive Zemmour et ses "parents vigilants" !!!

     

    Ils foutent le SOUK dans NOS écoles !!!

     

     

     


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