• Un monde à reconstruire ...

    Tout progrès social passe par le contrôle des marchés

    Outre son coût, un faux problème pour Piketty, une des critiques les plus étonnantes faite au principe du revenu d’existence (ou universel, appelez-le comme vous voulez), est que celui-ci serait forcément “digéré” par les marchés. Comme si les marchés, par nature asociaux, ne s’attaquaient pas systématiquement à TOUTES les mesures sociales ! Tout progrès social n’est possible que si vous contrôlez, que dis-je, muselez les marchés. Le principe d’un service public qui se respecte est de garantir l’accès des citoyens aux biens et services indispensables à leur existence de tous les jours contre les attaques des marchés privés. L’alimentation, le logement, le transport, la connectivité me paraissent procéder de ces produits vitaux. Entendre des gens de gauche dénoncer une mesure sociale comme le revenu d’existence au prétexte qu’il serait rapidement la proie des marchés, me paraît le comble de la soumission à ces marchés.
    http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article33593

    J'avoue mon monde rêvé n'est pas celui où j'aurais reçu un salaire sans travailler.
    Mon monde rêvé est un monde où le profit ne dicte pas sa loi, où on pourrait choisir son job du fond du coeur, même si c'est un job ordinaire, où on ne serait pas exploité par un patron inique, où un dieu pub ne nous dirait pas ce que nous devons acheter pour être heureux ...
    Mais je rêve, je rêve ...
    J'ai aimé mon temps d'école, j'ai aimé mon temps de travail et j'apprécie pleinement mon temps de retraite.

    Un monde à reconstruire ...


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