• Unis, l'an prochain ?

    Fête du travail : le 1er mai pose la question de notre rapport au travail

     

    Pour Nouvelle Donne, l’évolution de la société doit être reflétée dans la répartition du travail : les gains de productivité (robotisation, informatisation, etc.) permettent aujourd’hui de produire plus avec des moyens humains largement réduits ; les compétences et qualifications nécessaires se répartissent également différemment, les tâches manuelles étant plus facilement remplacées par des robots que les activités intellectuelles.

     

     Dans un tel contexte, nous ne pouvons maintenir la durée moyenne de travail actuelle : nous devons toutes et tous travailler moins, pour toutes et tous pouvoir travailler. Nous devons mettre un terme à l’absurdité d’aujourd’hui qui conduit les uns au surmenage à cause de semaines de 50 ou 70 heures, tandis que d’autres ne parviennent pas à trouver un emploi et se voient refuser les formations qui leur permettraient, peut-être, de réintégrer le circuit. Nous pourrions par exemple passer à la semaine de 32 heures, voire de 30 heures comme le suggèrent des économistes allemands ou le parti belge PTB. Il faut également mieux prendre en compte les évolutions ou les changements de carrière, devenus inévitables. Cela passe notamment par une flexibilité encadrée, qui doit se traduire par des périodes de formation concrètement et systématiquement intégrées au sein des entreprises.
    http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article28462
    Sortons de la double possibilité évoquée par Molière, « manger pour vivre ou vivre pour manger ? », pour simplement vivre et travailler, dans le respect des autres et de soi-même.

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