• Proverbe provençal :
    On a beau dire, on a beau faire, "le cul du berger sentira toujours le thym."



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  • Pour tout vous expliquer !
    Je n'aime plus le tricot, mais je n'aime pas avoir froid aux mains ...
    Je vais donc acheter  10 singes minuscules ... comme ça je suis tranquille pour l'hiver.
    Vous me direz, il est temps, il se termine ...
    Vous avez le choix :
    10 fois le même singe pour un gant classique
    10 singes différents pour un gant transformiste !!!

     

    Singe-du-doigt-1.jpg


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  • peau-copie-1.jpg

    J'ai tout le temps pour connaître
    Le mystère de votre peau
    Ce que votre ciel a de goût
    Le son de votre âme qui soupire
     
    Ce fantasme brûle en moi
      Il force avec mon désir
      D'un petit morceau de vous
     
    Mots chuchotés de l'amour
    Faire une bouchée de vous 
    Le toucher dans notre douce obscurité


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  • F.PNG

    comme Fiancée

    Message d'un footballeur en tournée à sa fiancée :
    Ton milieu de terrain est à mille lieues de tes seins, mais rêve du milieu de tes reins...
    Mots en Mêlée (2011)
    Citations de Marc Hillman

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  • Je suis écroulée ... Poupy, au pied !

    Chien : Animal capable de parler en cas de besoin, comme en témoigne ce berger allemand qui, excédé par son maître qui lui demandait pour la quarantième fois de suite de «rapporter la baballe dans la boubouche», lui a répondu d'aller se faire foufoutre!
    Mots et Grumots (2003)
    Citations de Marc Escayrol

     

    poupi 2


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  • Mine de rien
    On pourrait se nourrir de rien !!!

    dessert-moleculaire-ballon-helium-sucre-alinea-528x283.jpg


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  • Le "chaise vivante ? croissante ?" par l'artiste suisse Michel Bussien est un  mobilier innovant intégrant la nature dans notre espace de vie. «chaise vivante" est une tentative de rendre les arbres et les plantes grandissant dans des chaises qui peuvent être" récoltés" et mis directement du " terrain " dans le salon», explique l'artiste Michel Bussien. «Les arbres à croissance Willow sont plantés avec un cépage de Russie dans une chaise à effet de serre miniature.

    growingchair1.jpg


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  • Joshua Miels

    est un  portraitiste contemporain qui cherche à capturer la vulnérabilité des personnes et les émotions que les gens essaient de taire. Passant d'innombrables heures à ajouter couche sur couche de peinture Joshua produit des œuvres qui ne sont pas seulement remarquables, mais profondes et puissantes. Il peint à l'huile principalement. Chaque oeuvre d'art a son propre cheminement. Chaque oeuvre est interprétée de façon  diffèrente d'une personne à l'autre, il n'y a pas de bonne ou de mauvaise façon d'interprèter ses oeuvres.

     

     

     

     


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  • Lucien Guédon est né le 1er mars 1912. Le centenaire tente de faire bouger sa maison de retraite. « Après la maladie de ma femme, je me suis découvert un désir de communication. Tous les visiteurs qui viennent chez nous, je leur parle. Surtout ceux que je ne connais pas. »
    Cet appétit de communiquer le conduit à s'intéresser à internet. À ouvrir un blog. À « La résidence du Havre » à Oudon, il fait partie du conseil d'administration. Il a demandé au directeur d'installer internet pour tout le monde, à ses frais.
    Depuis trois ans, Lucien tient son blog grâce à Stéphanie Moisant, une aide aux personnes en difficulté qui lui rend visite quatre fois par semaine. Celle qu'il aime appeler « sa collaboratrice » tape à l'ordinateur tout ce que Lucien écrit dans un cahier. Puis elle transmet les textes au fils de Lucien, Philippe, qui se charge d'alimenter le blog. Ses textes ? L'histoire de sa vie, ses poèmes, ses indignations.
    Lucien a retrouvé l'envie d'étudier et le goût de la lecture à 90 ans et aujourd'hui, il s'attelle tous les jours à la tâche. « Pour intéresser quelqu'un, il faut l'amuser et dire des vérités sans en avoir l'air. » Il rédige des poèmes qu'il écrit sur les panneaux d'affichage de la maison de retraite, où il vit depuis huit ans. Il lit beaucoup aussi et s'informe par le biais des chaînes d'information en continu.
    Lucien, qui se qualifie « d'autodidacte insatiable », est très volubile. Il est surtout motivé par le fait que d'autres personnes peuvent le lire. Sur son blog, le message est clair : « Écrivez-moi, j'ai besoin de contacts. » Il demande l'avis des internautes : « Je veux avoir leur opinion, savoir ce qu'ils pensent de moi, de mon action et de mes hésitations. »
    Dans sa maison de retraite, il parle volontiers de « prison dorée » de laquelle il ne peut s'enfuir. Par l'intermédiaire de ses textes et de son blog, il reprend sa liberté.
    « Je n'ai pas la science de l'écriture, mais internet me permet de rompre la solitude. » Il a d'ailleurs appelé sa série de textes « Tour du monde », qu'il n'a jamais fait, excepté peut-être dans sa tête.
    Le 4 mars, il organise son anniversaire auquel il a convié tout le monde, jusqu'aux rares personnes qu'il croise et qu'il ne connaît pas. Avant de conclure : « J'ai, avant tout, besoin de chaleur humaine. »

    Pauline LANDAIS-BARRAU.  
    Ouest-France  


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  • SIDE_3828691_2_apx_470_.jpg

    Ca se passe en Allemagne au pied du château du vainqueur de Waterloo, Blücher,en ex-R.D.A.
    Dans quelques mois, la plus grande « maternité » porcine européenne devrait entrer en service. Et les habitants se déchirent. « Les 10 500 truies mettront bas 250 000 porcelets par an et produiront 60 000 tonnes de lisier. On n'est plus dans l'agriculture mais dans l'industrie. On ne peut pas élever des animaux comme on produit des voitures », se désole Jörg Kröger. En comparaison, les plus gros élevages bretons de truies comptent un peu plus d'un millier d'animaux.
    Retiré des affaires, le châtelain a d'abord accusé le coup. Venu de Lübeck avec sa femme, il pensait avoir trouvé la paix, au milieu des bois et des étangs. « J'ai tout de suite eu un coup de coeur pour ce château qui avait appartenu à la famille de Blücher. Je l'ai acheté et restauré pour développer du tourisme rural. Avec ce projet, Adriaan Strathof va faire fuir les visiteurs. C'est une catastrophe pour toute la région », ajoute-t-il.

    Le maire, lui, se désole. Propriétaire d'un restaurant, le Storchenbar, Franck Karstädt a porté auprès de ses administrés ce projet. Heureux d'installer une entreprise et de contribuer à la création d'emplois.
    Sur place, les cochons sèment la discorde et Jörg Kröger ne désarme pas. Chaque lundi, en fin d'après-midi, sous le soleil, la pluie ou la neige, il rassemble un petit noyau d'opposants sur le site en construction. Face à des vigiles renforcés par des chiens.

    Adriaan Strathof, l'homme d'affaires hollandais, ne dit rien Selon le magazine allemand Spiegel, Adriaan Strathof a déjà subi les foudres des défenseurs de l'environnement dans son pays. Et a dû migrer. Il pensait avoir trouvé une terre d'asile dans le nord-est de l'Allemagne. C'est raté. 

    Patrice MOYON.(extraits)
    truie-copie-1.jpg

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