• Larves de noix de coco -
    les larves qui vivent dans les palmiers morts - sont principalement consommées dans la jungle amazonienne. Pour aider à garder leur saveur, les estomacs sont prélevés afin de ne pas sentir le goût du bois dont ils se sont nourris. De là, elles sont marinées dans l'orange sauvage et grillées. Elles sont effectivement délicieuces et croquantes, aussi longtemps que vous pouvez oublier que vous mangez un gros insecte juste éclos de la forêt tropicale. Si vous voulez vivre une expérience unique Amazon, et comme le goût d'agrumes et d'arachides, essayez-les. Désolée, je n'ai pas trouvé d'image de la recette !!! 


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  • Imaginez, des amis arrivent à l'improviste. Vous avez les ingrédients : saucisses, merguez, tomates et autres menues choses ... mais vous avez oublié les broches dans votre maison de campagne ... ciel ... une idée germe dans votre tête, sans poux, vous avez des peignes en métal ... et hop c'est parti pour une peigne-party lol

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  • La-legende-de-la-Poste.jpgCEDEX étant l'acronyme de Courrier d'Entreprise à Distribution EXceptionnelle, il s'écrit toujours en majuscules.
    Ce service postal né en 1972, payant et prioritaire, est proposé aux  administrations ou entreprises abonnées, qui ont un volume de courrier important afin qu'il soit traité plus rapidement, avec des conditions de distributions spéciales, dans des bureaux distributeurs dédiés.
    Il arrive qu'il y ait plusieurs bureaux distributeurs dans une même ville, voilà pourquoi CEDEX peut être suivi d'un chiffre tout en étant toujours précédé du code postal ad hoc.
    Ce sigle permet aussi à certaines sociétés, basées à la périphérie de certaines grandes villes, de bénéficier d'une adresse plus prestigieuse.
    Selon le même principe il y a, le CIDEX Courriers Individuels à Distribution EXceptionnelle pour des boites à lettres rurales regroupées et le VEPEX, acronyme à tiroir de VPC (Vente Par Correspondance) et de CEDEX.

     


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  • lessiveuse2-copie-1.jpg

    Traditionnellement, autrefois, c'était lessive ...
    Ca se passait dans la buanderie, il y avait un genre de petite cheminée d'angle, sur mesure. Sur le feu, on mettait une grande bassine galvanisée, dans laquelle on plantait une sorte d'ustensile qui ressemblait à un champignon, par lequel l'eau sortait et retombait dans la bassine ... le linge étaient installé en rond ... on le brassait avec un baton de bois ... c'était étouffant et ça sentait bizarre ... impressionnant les glous-glous aussi ...
    Puis il y avait l'essorage et les draps c'était quelque chose ... puis l'étendage !
    J'ai croisé des jolies photos de linge ... et d'épingles à linge ...

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  • Seung Kye Lee
    "Je suis né en 1974 à Séoul, Corée du Sud, et je vis est actuellement dans les environs d'Oslo, en Norvège. Mon travail consiste à photographier des paysages norvégiens grandioses, des montagnes sauvages, les littoraux, forêts, cascades et des petits détails qui sont souvent négligés dans notre vie quotidienne débordée.
    Depuis de nombreuses années, je suis randonneur actif et pour ceux qui connaissent mon travai, ils savent  que je passe beaucoup de temps dans Rondane National Park.
    Bien que j'aime à créer des œuvres de paysages grandioses, que ce soit dans les montagnes, dans les forêts ou par la côte, je trouve les plus profondes joies en tant que photographe lorsque je travaille avec des détails simples ou des paysages intimes. La direction de ma photographie est influencée par ma façon personnelle de voir la vie et donc la méditation est aussi une partie de ma pratique et la philosophie de la photographie.
    "

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  • L'ourse brun Martha, 26 ans, est la nouvelle pensionnaire du refuge de l'Arche à Château-Gontier (Mayenne). Elle est arrivée jeudi de Saint-Pierre, près de Poitiers "Le zoo n'en voulait plus. La fondation Brigitte Bardot nous a demandé de la recueillir. Ce n'était pas un sauvetage, mais un déménagement". Elle bénéficiera de son propre espace protégé de 1.500 m².
    Depuis 1974, au refuge de l'Arche, Christian Huchedé, le fondateur et ses enfants sauvent les animaux délaissés par les cirques, laboratoires ou particuliers ... Ils ont recueilli 1.500 animaux de 150 espèces différentes, répartis sur un parc de 15 hectares et parrainés par des notoriétés.
    Martha est parrainée par Mylène Demongeot et Pierre Richard. "Elle n'est habituée qu'au béton, elle découvre le contact de l'herbe ...

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  • Ce lundi, avec la marée, Rose noire II va quitter le ponton des chantiers sur l'île de Nantes pour gagner la mer et participer aux grands rendez-vous nautiques de l'été : les Tonnerres de Brest, la Semaine du yacht-club classique de La Rochelle, la coupe classique de Noirmoutier, les Voiles de légende de La Baule... Mais il y a de fortes chances qu'on retrouve dans les mois à venir ce magnifique voilier à Nantes, où il est né.
    D'abord baptisé Vindilis, en latin dans le texte « Va le chercher » pour signifier son esprit compétitif aux bateaux anglais avec qui il régatait, Rose Noire II est en effet un enfant du pays nantais.
    Né en 1964 au chantier Vandernotte, alors situé sur l'île Versailles, sur un plan d'Eugène Cornu, ce yacht est un des derniers voiliers construits en bois massif en France. C'est une petite merveille d'une longueur hors tout de 15 m en acajou, en acacia ployé, avec un pont en teck, une coque rivetée cuivre. Un Yawl bermudien équipé d'un grand mat en pin d'Oregon, d'un mât d'artimon sur lequel on grée une petite voile baptisée tape-cul, et doté d'impressionnants winchs Goyot d'origine... Bref, une bête de course qui déploie 190 m2 de toile au vent portant.
    Le voilier de l'adjoint
    Commandé par Henri Rey qui était à l'époque adjoint au maire de Nantes André Morice, avant d'être ministre d'État chargé du tourisme dans le gouvernement Georges Pompidou en 1968, ce voilier à longtemps régaté en Manche pour « courir l'Anglais ». Puis, il a navigué en famille en Bretagne sud, a pris à son bord des toxicomanes pour aider à la réinsertion.
    Classé monument historique en 2000 et remarqué alors en ces termes par Daniel Charles, expert du patrimoine maritime, « un chef-d'oeuvre rare, un summum de l'art de construire des bateaux en bois », le voilier sauvé par une association vendéenne regroupant des mécènes privés et des passionnés a passé de longues heures au chantier du Guip à Brest pour retrouver une nouvelle jeunesse.
    Ambassadeur de Nantes
    À l'heure où Nantes revient vers son fleuve, construit un nouveau ponton visiteurs près du pont Anne-de-Bretagne pour accueillir les plaisanciers et renouer avec sa tradition maritime, Rose Noire II est, avec le Belem magnifique navire amiral, les coursiers d'acier Vétille et Vezon, la réplique du Saint-Michel II de Jules Verne, mais aussi les Muscadet construits à Rezé chez Aubin, un magnifique témoin du savoir-faire nantais. C'est une des raisons pour lesquelles l'association Rose noire s'est rapprochée de la Ville, pour signer, peut-être dans les mois à venir, une convention.
    En attendant, Rose Noire II va porter fièrement le pavillon nantais en descendant la Loire ce lundi, mais aussi à Brest du 13 au 19 juillet pour le plus grand rassemblement de vieux gréements de l'été.

    Yves AUMONT.

    rose-noire.jpg


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  • Cyclea : Olivier Breton a conçu ce vélo en acier cintré selon ses rêves. La machine pourra être équipée selon les désirs les plus variés, du rétro pur comme ici au futuriste. Au milieu, un coffre rigide ou une sacoche en cuir... Pour parader dès l'an prochain !

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  • Par Nicolas Domenach

    Ils sortent de partout comme des escargots après la pluie, toutes cornes dehors, ces cocus de l’histoire sarkozyste, centristes, chiraquiens, libéraux, radicaux, qui protestent aujourd’hui parce qu’ils ont eu mal hier tant leurs convictions modérées ont été piétinées par l’ex-président. Pourtant ces protestataires de l’après n’ont rien dit, ou pas grand-chose, sur le coup quand le « barbare de l’Élysée » leur marchait dessus avec volupté.

    On se souvient que Nicolas Sarkozy s’était toujours décrit comme « un mâle dominant » qui prenait soin de ne s’entourer d’aucun autre. Au point, précisait-il, qu’il avait fait piquer son chien et nommé François Fillon à Matignon. L’ancien Premier ministre ne l’aura pas déçu. Mais, maintenant que la défaite est passée, ils crient tout haut ce qu’ils nous reprochaient d’écrire : la stratégie d’ « ultradroitisation » était politiquement un suicide et une dégradation morale ! Pour le moins… Le sénateur libéral Jean-Pierre Raffarin date très précisément le virage fatidique du discours de Grenoble, en Juillet 2010, que Marianne avait dénoncé comme « calcul cynique de voyoucratie politique ». Un mauvais calcul qui devait conduire à l’échec, annoncions-nous, car l’électorat modéré ne pouvait adhérer à la stigmatisation d’une partie de la France – « les assistés » - et de l’étranger pour porter les péchés de la crise. Le premier vice-président de l’UMP affirme qu’il avait fait savoir à l’époque son désaccord devant cette « dérive droitière ». Disons qu’il l’a davantage murmurée qu’il ne l’a proclamée avec cette vigueur qu’on lui découvre aujourd’hui et qu’on peut tenir pour salvatrice !
    Car ce n’est pas parce que les uns et les autres ont tant manqué de courage qu’il ne faut pas se réjouir de ce retour à la lucidité. Ils ont certes tous voté – à l’unanimité ! - l’adoption de la stratégie du « ni-ni » (ni Front National ni Parti Socialiste) – un péché contre l’esprit et contre la politique au long terme. Car mettre sur le même plan ces deux formations revenait à banaliser l’extrême droite et à favoriser la contamination de l’électorat UMP par les thèses du FN. C’est ce que reconnait aujourd’hui François Baroin qui regrette qu’ « à trop courir derrière le FN on l’a banalisé ». Même constat navré d’autres gaullistes d’inspiration, tels les députés Bruno Le Maire et Hervé Gaymard, lesquels considèrent qu’ « on n’est jamais gagnant quand on abandonne ses valeurs ». Mais alors pourquoi se sont-ils tus ?
    La réponse à cette question embarrassante se trouve dans le livre très vivant et incisif de Roselyne Bachelot, « À feu et à sang » (Flammarion). L’ancienne ministre de la Santé y révèle que « l’inclinaison droitière des analyses politiques de Nicolas Sarkozy » la « hérissait ». Elle n’était pas la seule. Alain Juppé n’adhérait pas davantage, souligne-t-elle, « à ces tentatives d’incursion de notre candidat dans le champ ultraconservateur » ; Mais Juppé, qu’on présente volontiers comme le « sage de la droite », a mis un mouchoir tricolore sur ses convictions, en le brodant de ces mots définitifs : « Il a complètement tort, mais nous ne pouvons pas le dire » ! Solidarité oblige, à défaut de noblesse.
    Pour Roselyne Bachelot, la défaite était au bout de « la dérive », qui provient, précise-t-elle, de « l’influence du trio Patrick Buisson-Claude Guéant-Emmanuelle Mignon ». ces « âmes noires » seraient les coupables de cette stratégie qui fut « une faute sur le font et une erreur sur la forme ». D’où son analyse : « Au premier tour, nous grappillerons peut-être quelques points, mais en faisant monter le Front National puisque nous mettrons ses thèmes à l’agenda du débat ». La suite est ainsi écrite : « Au second tour, nous serons contraints de nous livrer à une contorsion impossible pour conquérir cet électorat modéré ». Une analyse qui n’épargne pas le président « autocentré » qui s’est retiré en vase clos avec « la bête à trois têtes », avec qui il mène « une campagne hystérique (…), désespérée et désespérante ». Bachelot exerce son droit d’inventaire, ce qui lui vaudra, comme ceux qui se décident enfin à élever la voix, de se faire flinguer par les sarkozystes, qui ne sont pas complètement morts.
    Jean-François Copé, secrétaire général nommé de l’UMP, ne veut se tourner que « vers l’avenir », donc vers la redéfinition du « socle des valeurs ». Mais ce sera difficile, pour ne pas dire impossible, de rebâtir sans faire le constat qu’ont été bradés les principes fondateurs : solidarité, ouverture, rassemblement, justice… D’autant plus dur qu’une majorité des sympathisants de l’UMP sont en résonance avec les frontistes et n’écoutent qu’à peine ces modérés si inexistants. Alors que les droitiers, eux, et pas seulement les survivants de la droite dite « populaire », mais Copé lui-même et nombre de ses proches, participent toujours de l’école Buisson et considèrent que Sarkozy a même failli gagner grâce à la ligne « autoritaire et populaire » adoptée, que ce ne sont pas les mots forts qui l’ont fait perdre mais le manque d’actes à la hauteur…

    On retrouvera ce débat clivant à travers l’affrontement entre Jean-François Copé et François Fillon. Nous verrons, alors, ce qu’il en sera des mollusques et autres invertébrés…

    Marianne N° 792 du 23 juin 2012
    Altermonde-sans-frontières


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  • Si vous nagez dans le bonheur, soyez prudent, restez là où vous avez pied.
    Marc Escayrol

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