• charnue.jpg

    Chute des reins, chute du rêve enfantin d’être sage,
    fesses, trône adoré de l’impudeur,
    Fesses dont la blancheur divinise encor la rondeur,
    Triomphe de la chair mieux que celui par le visage !
    Verlaine


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  • tigresse--Small-.jpg

    Roux est le bel automne ; la plainte de la nuit,
    Exhalant un soupir pour soulager mon âme,
    Met le feu au silence ; je traverse les flammes,
    M'en allant jusqu'à toi, dont le coeur fait du bruit.

    Je te jure que le mien a toujours été pur,
    Et mes doigts sur ta chair inventent mille caresses;
    Quand bientôt tu gémis, mon amour, je t'assure
    Que dans tes yeux si grands j'ai pu lire ton ivresse.

    Je respire par ta bouche où tant de rimes fleurent,
    Et je me sens vaincu ; par tes baisers je meurs;
    Une étoile s'est posée sur ton cou qui frissonne...

    Je m'enivre de ta peau qui sent bon la lavande,
    Et tu deviens tigresse lorsque je te demande
    De m'aimer follement, puis fougueuse tu te donnes.

    Bernard Lanza


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  • croque-mort.jpgIl fut un temps où l'employé chargé de mettre les défunts en bière et les transporter au cimetière, pour s'assurer de leur mort et éviter de les enterrer vivants, leur croquait le gros orteil ; car avoir des morts-vivants hurlant dans la nécropole du patelin était du plus mauvais effet !
    Mais croquer signifie également disparaître, donc le croque-mort fait aussi disparaître le mort.
    Quant au croque-mitaine, personnage maléfique de notre enfance, il croquait les personnes (à travers les gants ?) pour les attirer dans la mort.  Et il y a quelques années, les adultes pour se faire respecter de leurs chères têtes blondes leur disaient attention que le grand cric te croquera aux plus turbulents, avouez que c'était le bon temps bien moins mièvre que celui de tous les contes de fées comportant des sorcières de pacotille !
    Et en ce qui concerne le terme pompes funèbres, je n'ose vous raconter l'histoire de la fille du croque-mort qui le remplaçait ponctuellement et qui se retrouva devant un cul-de-jatte...

     


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  • Kurtu

     

     

     

     

     

     


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      Rainer Hachfeld
      Les jeux de la Merkel...la víctime sera Samaras.
     Awantha
     Ne plus conduire... ne plus boire.
    Marian Kamensky
    Julian Assange si petit pourtant ...

     


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  • Isaac Payne a grandi à Tacoma, WA. Il a étudié la peinture à CUNY Queens College (AMF 05 ') et au Cleveland Institute of Art (BFA 03'). Ses œuvres explorent les vues piétonnes  de la terre moderne / paysage urbain à travers le dessin, une subtile palette de peinture / dessin médias, et les surfaces combinées de papier. Isaac est un vainqueur de New American Paintings 2010 Concours du Sud.

    The-Mint-Home-Page.jpg


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  • Irina Kotova est une artiste peintre biélorusse née le 17 novembre 1976 à Minsk
    Evguény Shunejka, professeur à l’Académie d’État des beaux-arts de Biélorussie, a écrit à propos d'Irina Kotova dans la présentation de l'exposition dans cette académie en 2011 : « (…) Ses œuvres sont perçues comme un prolongement vivant des remarquables mouvements de l'art français du 19e siècle à la première moitié du 20e siècle associés à des œuvres inoubliables des impressionnistes, des post-impressionnistes, des symbolistes, des expressionnistes (…) vives et expressives, exécutées d’un seul souffle, (elles) ont suscité un grand intérêt chez les connaisseurs et les collectionneurs d'art en France et en Biélorussie. »

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  • Chaque pierre de Guémené-sur-Scorff, au nord-ouest du Morbihan, cache des secrets. Celui des Bains de la reine Jeanne de Navarre est à lui seul une épopée. Un des exemples de ces morceaux de l'Histoire qu'on continue à déterrer.

    À la fin du XIVe siècle, fabrique-t-on déjà de l'andouille à Guémené-sur-Scorff ? Sûrement. Le Roi de France a réglementé « le salaire des tueurs et saleurs de pourceaux ».

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  • "Soyons reconnaissants aux personnes qui nous rendent heureux, ils sont les charmants jardiniers par qui nos âmes sont fleuries."
    -Marcel Proust
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  • ocean.jpg

    Les particules d’eau se collent à la peau
    regorgent d’abstraction
    L’imaginaire se berce dans la pensée
    se concentre sur la caresse du geste répété
    se laisse flotter comme un objet éloigné de tout
    C’est ainsi que je survis
    sur une île de bonheur submergée par les ondes
    Je regarde le monde à travers ce voile
    le seul que je peux supporter
    je constate sa beauté et mon indifférence
    ses couleurs se font de plus en plus intenses
    mes yeux sont aveuglés par la tendre tempête
    J’ai enfin appris à nager

    Sybille Rembard


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