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Sur chaque doigt de ma main,
vous avez dessiné un petit visage souriant
autant d'images ressemblant au vôtre.
Et puis, vous avez caressé mon visage,
mes mains et les vôtres se sont jointes
et j'ai murmuré :
«Écoutez-les parler de nous.
Elles pensent que vous allez m'aimer. "
Et après chacun d'entre nous
a été perdu,
nous étions emportés
par nos baisers.
Peregrine
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Je connaissais les mandalas ... une autre forme d'amour et de sérénité.
En sanskrit védique Dan: le donateur, Mala: guirlande de fleurs
le don de cercles de fleurs
Kathy Klein est une amoureuse fervente des plantes, des animaux, des personnes et de la présence divine au sein de tous. Elle crée les danmalas d'abord pour se centrer dans un espace méditatif. Ensuite, elle cueille les fleurs et les objets naturels tandis que son esprit est concentré, se reposant dans l'immatériel. Puis, par un acte de grâce et de donner à tous, elle permet aux matériaux de tomber à la volonté de ses créations. Son inspiration est donnée par le bruit d'or résidant dans un silence parfait. Ses danmalas sont le reflet de l'inexprimable, un geste qui pointe vers l'abondance de la vie, un verset tacite de l'Amour. Les danmalas nous rappelent à tous d'écouter la voix inouïe de la nature, la création et le mystère éternel.
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Vous serez mes racines et
Je serai votre ombre,
si le soleil brûle vos feuilles.
Vous ne pouvez étancher ma soif et
Je vais vous nourrir de fruits,
si le temps me prend la semence.
Et quand je suis perdu
et que jenne pourrai plus rien dire de cette terre
vous allez me redonner l'espoir.
Et ma voix que vous entendrez toujours.
Et ma main que vous aurez toujours.
Car je vous mettrai à l'abri.
Et je vous consolerai.
Et même quand nous ne serons plus rien,
par delà la mort,
Je vous récompenserai.
Danielewski
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Les calligraphes chinois antiques savaient
comment la brosse doit faire les lignes
dur comme du fil de fer, robuste comme des branches,
fin comme de la soie d'araignée.
Ils ont utilisé des poils de chèvre pour la souplesse,
de lapin et de belette pour la force.
Voyez comment la brosse répond
comme un amant à la main de l'artiste,
comment l'encre marie
le défilement des centaines d'années.
Pensez à la calligraphie incertaine
de nos propres vies,
les coups de pinceaux sauvages,
les traces d'encre que nous laissons derrière nous.
Joellen Moldoff
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Dans l'enfance, presque chacun de nous rêvait de construire une maison dans un arbre où l'on pouvait passer du temps avec nos amis. Il y a neuf ans, un couple de Dallas Steve et Jeri Wakefield a décidé de construire une telle maison dans un arbre pour leurs petits-enfants. Mais ce n'est pas une petite maison - c'est une vraie maison. Ils ont demandé à un ami de la famille, un architecte professionnel James Curvan. En conséquence, une maison d'arbre fabuleuse a été construite autour d'un arbre. Elle a été équipée de la climatisation, de la ventilation et de l'électricité. En fait, ce n'est pas seulement une maison mais un centre de divertissement pour les enfants de tous âges. Les petits-enfants ont grandi, et la maison de l'arbre est devenu inintéressante. Mais les enfants sont heureux de revenir leur rendre visite et de "jouer" à la maison sur un arbre.
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J'ai vu une émission hier qui m'a laissée pantoise ...Tout le monde connait les concierges d'immeubles, catégorie professionnelle qui se perd ... disons que dans un immeuble un tantinet cossu c'était celle, qui à l'extérieur de votre appartement vous servait : ménage parties communes, courrier, petits services ...
Figurez-vous que la profession a changé.
Il y a maintenant des personnes qu'on appelle des concierges mais pour stars fortunées. Ce sont des cabinets qui dans la minute vous trouvent un ordinateur en peau de croco à 25.000 euros, un jet et les billets qui vont avec pour aller voir jouer le PSG à Rome ... enfin, vous voyez le genre ... la "concierge" nous expliquait, par exemple, que les pauvres petit footeux riches, qui ont été pris en main et gâtés depuis leur adolescence, son incapables de faire un pas dehors sans qu'on le pré-mâche ... notre monde les perturbe ... dont, moyennant finances ... on leur sert de béquilles.
Il y a aussi les concierges de bonne mais moyenne gamme, genre PDG ou cadre supérieur, une autre cour, si j'ose dire, mais des caprices monnayables quand même.
La vie est quand même bien difficile pour ces pauvres gens très fortunés lol
Celle dont je vous parle lol
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Des sacs en bois ? Il en a fallu de l’ingéniosité aux designers Tesler et Mendelovitch pour arriver à rendre souple un matériau dur… comme du bois. Par un jeu de formes géométriques imbriquées et une doublure en cuir, le duo israélien a réussi a développer une série de pochettes souples et douces au toucher, qui sont déjà passées entre les mains de personnalités du showbiz. De beaux accessoires de mode minimalistes et handmade qui se frotteraient à des oeuvres d’art.
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RHADS est un talentueux artiste de 25 ans spécialisé dans le digital art. Ses œuvres et ses speed paintings colorés dégagent souvent un sentiment de liberté, d’immensité et de rêverie.
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Née en 1890, Mabel Keaton Staupers connaissait bien la discrimination raciale. Elle est entrée dans les programmes de formation d'infirmières et a constaté que les Afro-Américains étaient exclues des grandes organisations. Pour elle, c'était inexcusable, Staupers n'a pas voulu laisser ce préjudice perdurer. Au lieu de cela, elle est devenue une figure imposante dans la lutte pour l'égalité raciale et a joué un rôle essentiel dans l'acceptation de toutes les ethnies dans l'armée américaine et l'American Nurses Association.
Les infirmières des États américains, site dont Staupers était «un chef de file de la vision, de la détermination et du courage" qui "a contribué à briser les barrières de couleur en soins infirmiers à une époque où la ségrégation était ancrée dans ce pays." Et grâce à ses efforts, "les infirmières noires étaient acceptées dans les domaines éducatif, la structure institutionnelle et organisationnelle des soins infirmiers américain. "
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Le Bouddha a dit que la condition humaine est comme celle d'une personne qui recevrait une flèche.
C'est à la fois douloureux et urgent.
Mais au lieu de demander une aide immédiate, pour notre malheur, nous demandons des détails sur l'arc dont la flèche est partie.
Nous demandons qui a fait la flèche.
Nous voulons tout savoir sur la personne qui a tiré.
Nous nous interrogeons sur de nombreuses choses sans conséquence.
Nous nous interrogeons sur les origines et les fins, nous avons oublié l'urgence.
Nous devons d'abord apprendre à voyager dans le présent.
Steve Hagen
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