Je me consume de sentir le poids de votre chair et la plénitude de celui-ci sous mes paumes. Je suis étonné de voir comment votre corps s'adapte parfaitement aux courbes de mes mains. Si je pouvais joindre nos vaisseaux sanguins afin que nous puissions devenir l'autre je le ferais. Si je pouvais joindre nos vaisseaux sanguins afin de vous ancrer à la terre à ce moment, je le ferais. Si je pouvais ouvrir votre corps et votre peau, glisser à l'intérieur et regarder vos yeux et pour toujours avoir mes lèvres fusionnées avec les vôtres je le ferais. Celà me fait pleurer de sentir l'histoire de votre chair sous mes mains dans un moment de tant de pertes. Celà me fait pleurer de sentir le mouvement de votre chair sous mes paumes quand vous vous tordez et tournez sur le côté pour créer une série de gestes pour serrer vos bras autour de mon cou, pour me dessiner plus près. Tous ces souvenirs seront perdus dans le temps, comme des larmes dans la pluie. "
David Wojnarowicz

"Permettez-moi de vous toucher par mes mots
Car mes mains sont molles comme des gants vides
Que mes paroles courent dans vos cheveux
Faites-les glisser vers le bas de votre dos et chatouiller votre ventre
Mes mains, sont inertes
Elles ignorent mes vœux et refusent obstinément de réaliser mes désirs les plus silencieux.
Que mes paroles entrent dans votre esprit, comme des torches
Faites-les vôtres
Ainsi, elles pourront vous caresser doucement à l'intérieur. "
Mark O'Brien

Les ascenseurs ont une tâche simple : emmener des passagers d'un étage à l'autre en toute sécurité. Mais cela ne signifie pas qu'ils doivent être ennuyeux. Tours ascenseur pour le transport urbain et les ascenseurs modernes de conception attirent beaucoup d'attention des touristes, en raison de leur caractère unique, des regards et des expériences insolites. Jetons un coup d'œil aux ascenseurs les plus insolites du monde entier.
Mon préféré, bien sûr, celui de Lisbonne !

Le koala vit dans un seul endroit au monde, sur la côte est australienne, entre le Queensland et le Victoria. Il est différent selon qu'il vit dans une région ou une autre, et seulement dans les endroits où se trouvent les arbres qui lui conviennent pour la qualité de sa nourriture. L'eucalyptus est ainsi l'arbre où vit et dort le koala.
Le koala possède une fourrure très épaisse mais varie en fonction des régions. Dans le sud, elle est plus longue et plus touffue que dans le nord, ceci pour que le koala puisse rester bien au chaud pendant les hivers plus froids du sud.
Fut une époque le koala était une espèce en danger car on le tuait pour sa fourrure.
Hier soir, il en était question, à la télé, cet animal est toujours en danger et en voie d'extinction. Bientôt il n'y en aura plus que dans les zoos, tout cela à cause d'une urbanisation sauvage, surtout sur les côtes, des routes s'ouvrent partout, avec des voitures qui roulent vite renversent et blessent ou tuent les koalas, pas très vifs, c'est triste cette façon qu'on a de s'imposer partout ... triste ? que dis-je sinistre ... Une femme faisait la tournée du bord des routes pour récupérer les blessés pour tenter de les sauver dans la clinique de Brisbane qui leur est dédiée.

Partir ...
Suzanne a la quarantaine. Femme de médecin et mère de famille, elle habite dans le sud de la France, mais l'oisiveté bourgeoise de cette vie lui pèse. Elle décide de reprendre son travail de kinésithérapeute qu'elle avait abandonné pour élever ses enfants et convainc son mari de l'aider à installer un cabinet. A l'occasion des travaux, elle fait la rencontre d'Ivan, un ouvrier en charge du chantier qui a toujours vécu de petits boulots et qui a fait de la prison. Leur attraction mutuelle est immédiate et violente et Suzanne décide de tout quitter pour vivre cette passion dévorante.
La Femme c'est Kristin Scott Thomas, actrice que je trouve fabuleuse, l'Homme c'est Sergi Lopez, acteur très puissant, le mari Yvan Attal, j'avoue j'ai de la peine avec lui et je comprenais la Femme.
Un film douloureux et violent, un amour fou ne mène qu'à la douleur ... et à l'impossibilité d'être heureux.
Un très beau film avec une merveilleuse ambiance ... dans cette belle région catalane d'un côté ou de l'autre des Pyrénées. L'affiche est très belle.

Sitting Bull, chef sioux Hunkpapa. 1875
'Voyez, mes frères, le printemps est venu; la Terre a reçu l'étreinte de Soleil et nous verrons bientôt les fruits de cet amour.
Chaque graine s'éveille et de même chaque animal prend vie. C'est à ce mystérieux pouvoir que nous devons aussi notre existence; c'est pourquoi nous concédons à nos voisins, même à nos voisins animaux, le même droit qu'à nous d'habiter cette terre.Plus bas!
Pourtant, écoutez-moi, vous tous, nous avons maintenant affaire à une autre race -petite et faible quand nos pères l'ont rencontré pour la première fois, mais aujourd'hui grande et arrogante. Assez étrangement, ils ont dans l'idée de cultiver le sol et l'amour de posséder est chez eux une maladie.
Ces gens-là ont établi beaucoup de règles que les riches peuvent briser mais non les pauvres. Ils prélèvent des taxes sur les pauvres et les faibles pour entretenir les riches qui gouvernent. Ils revendiquent notre mère à tous, la Terre, pour leur propre usage et se barricadent contre leurs voisins; ils la défigurent avec leurs constructions et leurs ordures. Cette nation est pareille à un torrent de neige fondue qui sort de son lit et détruit tout sur son passage.'

Nakaji Yasui (安井 仲治, Yasui Nakaji?) (15 décembre 1903 - 15 mars 1942) est un des plus importants photographes de la première moitié du XXe siècle au Japon.
Né à Osaka, Yasui intègre le club photographique de Naniwa (浪華写真倶楽部 ({{{2}}}?), Naniwa Shashin Kurabu) dans les années 1920 puis le club photographique Tampei (丹平写真倶楽部 ({{{2}}}?), Tanpei Shashin Kurabu) en 1930.
Ses photographies couvrent un large éventail, du pictorialisme à la photographie directe (it), y compris les photomontages. Il apprécie tous les types et genres de photographies sans préjugé et essaye de n'en rejeter aucun, même en temps de guerre.

Mes pantoufles sont en or,
En velours, en soie des Indes.
Mes pantoufles sont des fées
Qui m’attendent sans bouger.
Quand je rentre de l’école,
Avec une cabriole,
Je les enfile à mes pieds.
Mes pantoufles sont en or,
En velours, en soie des Indes.
Mes pantoufles sont des fées
Qui chauffent mes petits pieds.
Anne Marie Chapouton