Nos livres d'histoire nous enseignent que l'Australie a été découverte en 1606 par un explorateur néerlandais nommé Willem Janszoon quand il a atteint la péninsule du cap York dans le Queensland avec son navire Duyfken. Maintenant, 5 pièces de cuivre pourraient conduire à une découverte qui pourrait réécrire l'histoire de l'Australie.
En 1944, un soldat australien Maurie Isenberg était stationné sur une île au large de la côte nord de l'Australie. Alors qu'il était assis dans le sable avec sa canne à pêche, il a découvert une poignée de pièces de monnaie dans le sable. En 1979, il a décidé d'envoyer les pièces à un musée pour les  identifier. Les pièces se sont avérées avoir 1.000 ans.
La découverte a été apparemment oubliée de nouveau jusqu'à ce que l'anthropologue McIntosh ait ouvert le bal il y a quelques mois. Les pièces soulèvent une question importante : Comment ces pièces vieilles de 1.000 ans se retrouvent sur une plage isolée sur une île au large de la côte nord de l'Australie ?

Rosa Rolanda Covarrubias (Rose Cowan) naît en 1897 (1898 ?) aux États-unis d’un père américain et d’une mère d’origine mexicaine. Artiste aux talents multiples, outre la peinture et la sculpture, elle est également une danseuse et une chorégraphe exceptionnelle. En 1916 elle est choisie parmi des centaines de candidats pour intégrer la troupe des danseurs de Marion Morgan à New York. C’est aux États-unis qu’elle fait la connaissance de son futur mari, le peintre mexicain Miguel Covarrubias avec qui elle fréquente bons nombres d’artistes au Mexique, les plus connus étant Frida Khalo et Diego Rivera. Tous l’encouragent à peindre. Elle décède en 1962 (1970 ?). Et même si cette artiste n'a pas eu la reconnaissance qu'elle aurait méritée, son oeuvre est pourtant d'une grande beauté et doit être mieux connue.

Autoportrait (1945), Rosa Rolanda Covarrubias

Autoportrait, Rosa Rolanda Covarrubias

Autorretrato  (1939), Rosa Rolanda Covarrubias

Autorretrato  (1939), Rosa Rolanda Covarrubias

Niña de la muñeca  (1943), Rosa Rolanda Covarrubias

Novia de Tehuantepec (1950), Rosa Rolanda Covarrubias

Portrait de Dolores Del Rio (1931), Rosa Rolanda Covarrubias

Ce n’est pas (à mon sens) à proprement parler un animal "compagnon". Il va de soi que l’on ne compare par un Bernard l’Hermite avec un chien ou un chat ! C’est plus un animal à classer dans les animaux domestiques dont on va étudier le comportement, comme les fourmis des fourmilières domestiques (quoi que selon moi, bien plus intéressantes à observer, mais plus contraignantes à entretenir et plus fragiles), les insectes, les poissons, …
Le Bernard l’Hermite serait même en passe de dépasser la cote de popularité du poisson rouge !

Hier soir, aux infos, un sujet sur le petit cheval sauvage sarde, un des derniers d'Europe. Ils vivent en liberté, un mot qui fait rêver, mais la liberté, pour eux, vire au cauchemar. La population vit pratiquement toute sur le même plateau, qui leur serait réservé ... mais, malgré l'interdiction, des bergers et agriculteurs peu scrupuleux viennent y faire paturer leurs moutons et autres vaches qui dévorent tout sur leur passage. Quand il ne reste plus rien, ils rentrent leur troupeaux, mais les chevaux sauvages restent et l'été dernier, énormément de morts dues au manque de fourage et à la sêcheresse. Les communes avoisinantes qui sont sensées les protéger se cachent derrière une crise pour les laisser livrés à eux même. Parce que ça ne rapporte pas ... qu'ils crèvent. Quelques particuliers éclairés les prennent dans leurs paturages mais est-ce là le sort de chevaux sauvages qu'il suffirait d'un peu d'intelligence et de compassion pour les aider dans leur vie libre ?

Ceux qui par idéologie et ceux qui par profession de lobbying s’opposent à la reconnaissance des droits des animaux et de la nature, dénigrent le biocentrisme en le présentant comme une régression, une négation des Droits de l’Homme. Pour eux, notre condamnation de l’anthropocentrisme impliquerait un retour à un passé antérieur à la révolution morale, politique, scientifique issue des œuvres des 17ème et 18ème siècles.

Texas est un groupe de rock fondé à Glasgow, en Écosse. Il a été créé par Johnny McElhone (anciennement des groupes Altered Images et Hipsway) en 1985 et a débuté sur scène en mars 1988, à l’université de Dundee en Écosse. En hommage au film de Wim Wenders « Paris, Texas », le groupe est baptisé Texas. Leur musique est passé d'un son blues rock sur leur premier album Southside via le black-eyed boy de White on Blonde au disco pop de Red Book.
J'ai toujours aimé ce groupe, je suis contente qu'il fasse de nouveau parler de lui !
Leur nouveau disque s'intitule : The conversation ... très beau !

L'acculturation commence par la négation des particularismes qui donnaient à chaque groupe humain une identité, une spécificité : langue, coutumes, traditions, habitat, costume, art culinaire... bretons, occitans, germaniques, scandinaves, slaves... Certains auteurs européens ont déploré cette perte d'identité au profit d'une culture hégémonique et totalitaire. Entre monoculture culturale et culturelle, la banalisation et le désenchantement affectent le monde.
Pierre Rabhi

et bonne journée ...
J'ai à peine eu le temps d'apercevoir un mini rayon de soleil ...
Le gris est la couleur dominante !

Une journée totalement flotte, dur, dur ...
Et ce n'est même pas la peine d'espérer pour demain ...
Arbre centenaire,
aux mémoires muettes.
Déjà caressé ?