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    Voglio che le tue labbra sfiorino le mie.
    Voglio perdermi nei tuoi occhi.
    Voglio che mi stringa tra le braccia.
    Voglio tornare a casa e profumare di te.
    Voglio stare con te.
    Voglio te.

    Traduction google !!!

    Je veux le contact de vos lèvres sur les miennes.
    Je veux me perdre dans vos yeux.
    Je veux que vous me teniez dans vos bras.
    Je veux rentrer à la maison et sentir votre parfum. 
    Je veux être avec vous.
    Je ne veux que vous.


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    Il y a un vide
    qui vient après de longues journées chaudes
    passé à travailler sous le soleil,
    passé la transpiration, passé ce moment difficile,
    lorsque votre deuxième douche est prise
    et qu'une brise de nuit sèche vos cheveux ...

    C'est comme lorsque vous venez de me quitter,
    il y a cette même satisfaction
    d'être vide,
    d'avoir vu, d'avoir fait,
    comme si j'avais passé la journée
    à me couler en vous.
    Peregrine


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  • Le photographe Lukas Farlan nous propose des clichés d’une beauté incroyable. Particulièrement doué pour immortaliser des paysages, l’artiste vivant en Italie parvient avec des séries d’images prises dans les Alpes à capter notre attention et nous faire instantanément voyager. A découvrir dans la suite.

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  • Quoi de plus gênant que de laisser une odeur de caca derrière soi et de croiser en sortant des toilettes un collègue de travail (bien sûr masculin…) ? Horrible. Pour sentir la rose quoi qu’il arrive et garder son capital féminité au bureau (et ailleurs), on emporte avec soi le premier flacon de gouttes anti-odeurs de merde de la maison de beauté sans fioritures Aesop. Ce laboratoire de Melbourne fondé en 1987, a mis au point ce mélange d’huiles essentielles qui allie un fort pouvoir odorant à des propriétés désinfectantes et antiseptiques. Trois gouttes dans la cuvette des toilettes après avoir tiré la chasse, et la fragrance « hespéridé » fraîche et enrichie de notes fleuries neutralisera efficacement toutes les odeurs désagréables pour le plus grand plaisir des occupants suivants. Want!

    aesop-gouttes-wc-anti-odeurs-merde-3-528x528.png


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  • Jeune peintre figuratif parisien, Pascal Vilcollet  s'est toujours exprimé par l'image. Comme une espèce de suite logique, sa formation académique vient dire ce qui est: ce seront les gammes de couleurs, les lignes et la texture qui seront sa langue. Ses peintures, saisissantes, traduisent une maîtrise du contraste: techniques mixtes - acrylique, gouaches et crayons de couleurs - ,mélanges de clairs-obscurs, couleurs intenses. L' image, bien que travaillée, est avant tout l'expression d' un sentiment spontané.

     

     

     

     

     



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  • Noël Mamère quitte Europe-Écologie-les-Verts. Daniel Cohn-Bendit n’y est plus. D’autres s’en vont. Moi-même, je me demande ce que j’y fais – un pied dedans par amitié pour nombre de ses militants ; et un pied dehors pour le malaise que je ressens lorsque je vois fonctionner ce petit monstre bureaucratique. Il est temps que les écologistes se réinterrogent sur les raisons – ou les déraisons – de l’existence d’un parti écologiste.

    Longtemps, j’ai résisté. Je ne voulais pas que l’écologie devienne le socle idéologique d’un seul parti. Je l’ai dit et redit dans des livres, des articles, des interviews. J’ai raconté de quelle façon, en 1981, j’ai réagi à l’éventuelle candidature du Commandant Cousteau à la présidentielle. Pour ceux qui n’ont pas suivi l’épisode (ou qui n’étaient pas nés à l’époque !), j’en résume les tenants. J’étais le « bras droit » de Cousteau, dont les cent vingt films de l’Odyssée sous-marine passaient dans cent vingt pays du monde et qui, avec l’Abbé Pierre, incarnait la personnalité préférée des Français. La présidentielle (Giscard d’Estaing contre Mitterrand) approchait. Les sondages d’opinion donnaient 20 pour 100 d’intentions de vote à JYC (comme nous appelions Jacques-Yves Cousteau par ses initiales) ; bien au-delà des meilleurs scores virtuels d’un Nicolas Hulot… Les chefs de file de l’écologie politique d’alors (Brice Lalonde et d’autres) défilaient chez le pacha de la Calypso en le suppliant de se jeter dans la mêlée. Pour « faire avancer » la cause, les analyses et le programme des amis de la nature et de l’homme…
    Yves Pacalet
    Altermonde-sans-frontières


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  • Par Fabrice Nicolino

    Article paru dans Charlie Hebdo le 18 septembre 2013

    C’est le bordel. Les paysans ont foutu le camp, des millions d’hectares retournent à la friche, le loup revient, les chasseurs sont de moins en moins nombreux. Et comme ils ont, par des pratiques comme l’agrainage, multiplié sangliers et cochangliers – croisements avec les porcs domestiques – les voilà dépassés. Ils n’arrivent même plus à tenir leurs plans de chasse départementaux. Les pauvres.

    C’est dans ce contexte déprimé que l’été a passé. Mal, du moins pour les animaux. Les chasseurs les plus foldingues inventent chaque jour de nouveaux scénarios destinés à justifier leurs tueries contre le Loup, revenu d’Italie il y a vingt ans, ou l’ours, réintroduit dans les Pyrénées centrales à partir de 1996.

    Mais les délires les plus inventifs concernent le Vautour. Il y en a quelques centaines en France, et c’est déjà trop. Des Alpes aux Pyrénées, passant par le Massif central, la presse régionale, chauffée par les fédérations de chasse, rapporte des faits-divers fantastiques. Ici, une randonneuse achevée par des vautours dans un ravin des Pyrénées-Atlantiques. Là des génisses en pleine forme attaquées par des escadrilles de vautours en folie. Genre : « Une génisse en pension au lieu-dit Fondorsol a été attaquée par une cinquantaine de vautours. Ces derniers ont réussi à (…) se jeter sur l’animal âgé de deux ans. Des vététistes passant à proximité n’ont rien pu faire ».

    C’est le retour des chouettes clouées sur la porte des granges. En réalité, les vautours sont des nécrophages, et leur conformation physique les empêcherait de devenir des prédateurs, même s’ils en avaient envie. Variante à propos des blaireaux, accusés désormais de bouffer le maïs des gentils cultivateurs. Dans La République des Pyrénées du 29 août dernier, un « lieutenant en louveterie » s’est reconverti dans la chasse au blaireau : « Je viens d’en avoir trois, il a fallu creuser à plus de quatre mètres et ils m’ont esquinté deux chiens ».

    Même les cerfs s’y mettent. En Haute-Saône, un chasseur émérite a été éperonné le 8 septembre par un cerf psychopathe. Commentaire éclairé de L’Est Républicain : « Le chasseur présentait une plaie de quelque 10 cm à la gorge, “à quelques millimètres de la carotide”, commente encore sous le choc, Serge Garnier ». Salaud de bestiau.

    fabrice-nicolino.com
    Altermonde-sans-frontières


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  • Bizarre, étrange ... on attend le souffle du vent ?
    soufflant de l'est, du sud-ouest au nord ...
    l'automne est toujours en tempête
    Issa

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  • Une bien belle journée, mais comme un goût de fin ...
    Il y a certaines personnes qui viennent dans votre vie, et laissent une marque ...
    Leur place dans votre cœur est tendre ; une ecchymose de nostalgie, une impulsion d'inachevée.
    Juste entendre leurs noms te pousse et tire de cent façons, et quand vous essayez de définir les cent façons de les décrire, même pour vous, les mots sont inutiles.

    Sara Zarr

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  • La plus grande partie de l'année, l'Ocotillo ressemble à une enchevêtrement de tiges mortes, bien qu'une observation rapprochée montre que les tiges sont assez verdoyantes. Lorsque la pluie arrive, la plante devient rapidement luxuriante, exhibant de petites feuilles (deux à quatre centimètres). Celles-là persistent entre plusieurs semaines et plusieurs mois.

    Ocotillo-largest-Cathy-and-Bill-Bernal-cabernal-cox.net-com.jpg


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