• Le monastère d'Allerheiligen (Allerheiligen signifie « Toussaint » en allemand) dans le district d'Oppenau en Forêt-Noire est une ruine encore existante des anciens Prémontrés. Située à 620 m d'altitude, dans la vallée de la Lierbach (Lierbachtal) au-dessus des Chutes d'Allerheiligen, un affluent de la vallée de la Rench (Renchtal), cette bâtisse existe depuis environ 1195 jusqu'à sa sécularisation en 1803 et avait jusqu'à ce moment une influence religieuse et culturelle notable dans ce secteur de Forêt-Noire, et en particulier les vallées de la Rench et l'Acher (Achertal).
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Monast%C3%A8re_Allerheiligen
    http://www.randoalsacevosges.com/article-le-sentier-des-moulins-et-le-monastere-maudit-124832465.html

    Une si belle ruine ...


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  • La jolie auberge The Feathers à Ludlow dans le Shropshire possède quelques spécimens dignes d’intérêt. L’un est une femme qui repousse ses rivales en leur tirant les cheveux (mesdames, attention à la chambre 211 !). Il y a aussi un gentleman de l’époque Victorienne avec un chien. Le troisième est un peu plus récent, il s’agirait d’une jolie femme qui réserve ses apparitions à la gente masculine. Vêtue d’une mini jupe et d’un chemisier transparent, elle s’amuse à traverser les voitures stationnées sur le parking. Un client sous le choc après cette rencontre, se précipite dans le bar pour prendre un brandy et découvre que 7 clients avant lui avaient été témoin de la même vision, selon le barman.

    Hôtels hantés ...


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  • Comme de nombreux dieux et divinités d'origine africaine, Adro est juste un aspect du même dieu suprême : le malin. L'autre, côté bienveillant est appelé Adroa, «Dieu dans le ciel", éloigné de l'humanité et onyiru, «bon». Adro d'autre part est le "dieu sur terre» et onzi, «mauvais». Chacun d'eux a une moitié de corps: un œil, une oreille, un bras, une jambe, un rein, etc.
    Adroa, vivant dans le ciel était hors de portée humaine et a été considérée comme la perfection même. Adro prenait soin des questions sur Terre et était le seul qui pouvait entrer en contact avec les humains. Même s'il est invisible pour les gens, il peut se transformer en un serpent et se montrer parfois une demi-homme presque translucide, grand et blanc, aux gens qui sont sur le point de mourir. Il peut également apparaître comme un tourbillon ou peut même être entendu pleurer dans un feu de brousse. Il possède les jeunes femmes, provoque la maladie et la mort et enlève les gens afin de les manger.
    Ses enfants qui sont appelés les Adroanzi sont des esprits gardiens des morts et ressemblent à des serpents. Ils vivent habituellement dans les arbres, les rivières, les ruisseaux et les roches et suivent parfois les gens la nuit. Si les personnes qui sont suivies regarder en arrière, elles sont tuées par le Adroanzi, sinon, elles sont protégées par eux sur leur voyage à travers l'obscurité.
    Pour gagner sa faveur, les gens faisaient des sacrifices de leurs enfants pour lui. Ceux qui ne l'ont pas fait, sont devenu "Adroanzi" après leur mort. Dans les années 1930 cependant, cette pratique a été abandonnée et un bélier était généralement sacrifié à la place.

    Dieux anciens ...


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  • Oeuvrant sous le pseudonyme de Aria Baró, Mária Švarbová est une jeune photographe slovaque née en 1988. Elle entreprend des études de conservation, de restauration d’oeuvres d’art et d’archéologie dans son pays natal avant de se consacrer essentiellement à la photographie en 2010. C’est cet intérêt majeur pour les beaux-arts qui lui vaut la liberté de juxtaposer plusieurs domaines esthétiques et de concevoir des clichés empreints d’onirisme et de surréalisme. La photographe a débuté avec la réalisation de portraits capturant les expressions de ses modèles empreints d’une éternelle nostalgie. Faisant la satire de notre monde moderne, son travail actuel se rapproche quant à lui de tableaux déshumanisés où les personnages se figent dans des postures inexpressives.
    http://www.mariasvarbova.com/

    Une certaine froideur ...


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  • Casey Childs
    «Mon travail dans son ensemble englobe une exploration de l'expérience humaine. Mon intérêt pour les gens autour de moi vient de l'idée que nous regardons les gens tous les jours, mais on ne s'arrête jamais vraiment pour les voir. Dans chaque tableau, je m'efforce de capturer la beauté, les variations et les complexités de la forme humaine. L'objectif de mon travail de portrait est de capturer l'âme de l'individu et  pas seulement leur ressemblance."

    Le monde de Casey ...

    Le monde de Casey ...

    Le monde de Casey ...

    Le monde de Casey ...

    Le monde de Casey ...


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  • À propos du travail

    Par Gérard Charollois

     

    « Contre le chômage, on a tout essayé », énonçait, à la fin de sa vie, le président François Mitterrand. L’actuel titulaire de la fonction présidentielle conditionnait, au début de son quinquennat, sa candidature en 2017, à « l’inversion de la courbe du chômage ».

     

     Des commentateurs naïfs comparent les taux de chômage des pays, stigmatisant, avec une gourmandise masochiste, la France et « ses droits sociaux acquis » et la libre jungle anglo-saxonne, paradis de la finance, de l’entreprise privée. Ces commentateurs dogmatiques ignorent les taux comparés de « travailleurs pauvres ». Vaut-il mieux un chômeur indemnisé ou un travailleur titulaire d’un contrat à zéro heure ? Pour les conservateurs, tout se passe comme si le travail était par lui-même une valeur, une nécessité, un passage obligé pour la dignité humaine. Or, où est l’édification de l’homme, son épanouissement, lorsqu’il s’abime dans certaines activités professionnelles consistant, par exemple, à maltraiter l’animal, à détruire la nature, à polluer la terre.
    http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article29675

    "Moi président" j'inverserai la courbe du chômage ...

     


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  • Hollande et la haine (bonhomme) du vivant

    Par Fabrice Nicolino

     

    Mais quel président ! Dieu du ciel, quel petit personnage ! Je vous invite à lire l’entretien que François Hollande a donné au Chasseur français de novembre. Merci à Raymond Faure de m’en avoir adressé la copie.

     

     Le fond de l’affaire est tragicomique. Notre président est là en campagne électorale, et adresse tous les mamours du monde au million de chasseurs français, dont la plupart enverront bouler, quoi qu’il arrive, les candidats de notre maître provisoire. Or donc, on apprend de la bouche élyséenne que les chasseurs aiment et protègent la nature et que les zadistes ont fait de la France un « terrain d’exercice de groupes venus de loin et qui contestent l’idée même de progrès ». Tout est rose, dans le propos présidentiel, aussi rose que la peau des cochons industriels farcis d’antibiotiques. Le système agro-alimentaire est parfait, c’est la saison des cèpes, notre vin est somptueux, etc. Ses conseillers lui ont inspiré les réponses les plus imbéciles qui soient, mais à la vérité, ce sont visiblement celles qui viennent spontanément aux lèvres de Hollande. Pouah !
    http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article29670

    Sacré "Moi président" il nous a bien eus ...


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  • mais variable ...
    Il a plu cette nuit ...
    Belle journée !
    Être plus positive est une bonne pratique.
    Vous pouvez recycler votre esprit pour voir les meilleures possibilités dans tout.
    Bryant McGill

    Ce sera un mardi doux ...


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  • Il va falloir s'y habituer ...
    Je ne sais pas si c'est parce qu'il fait si beau ...
    Bonne soirée !
    On nous a bourré le crâne sur le fait qu'il fallait toujours être occupés,
    autrement la vérité sur nos vies allait nous rattraper.
    Brene Brown
    Justement il faut être rattrapés et mettre les choses d'aplomb.

    Cette nuit qui tombe si vite ...

     


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  • Un matin ...

    C’est le matin plein de tempête
    au coeur de l’été.

    Mouchoirs blancs de l’adieu, les nuages voltigent,
    et le vent les secoue de ses mains voyageuses.

    Innombrable, le coeur du vent
    bat sur notre amoureux silence.

    Orchestral et divin, bourdonnant dans les arbres,
    comme une langue emplie de guerres et de chants.

    Vent, rapide voleur qui enlève les feuilles,
    et déviant la flèche battante des oiseaux,

    les renverse dans une vague sans écume,
    substance devenue sans poids, feux qui s’inclinent.

    Volume de baisers englouti et brisé
    que le vent de l’été vient combattre à la porte.
    Pablo Neruda


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