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Le photographe, journaliste et réalisateur français Sébastien Lafont s’est rendu à Madagascar en vue de la réalisation d’un documentaire. Au travers de ses clichés il immortalise la culture et la nature riche et hors du commun de l’île. Il a souhaité également mettre en avant les menaces qui pèsent sur ce petit pays et sur sa biodiversité.
http://www.fubiz.net/2015/12/24/travel-photography-across-madagascar/
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Sir Arthur Ernest Streeton (8 avril 1867- 1er septembre 1943) était un peintre australien, né à Duneed, au Victoria. C'est une figure importante dans le développement de l'école australienne de peinture de paysages et de sujets qui a émergé au début du XIXe siècle.
http://www.artgallery.nsw.gov.au/collection/works/?artist_id=streeton-arthur
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Et une petite saloperie solférinienne, une !
Par Bernard Gensane
Pour faire plaisir à ses copains assureurs, un de ses frères au premier chef (dirigeant de Malakoff Médéric et viré depuis), mais aussi pour affaiblir encore plus le système de santé républicain, Sarkozy avait lancé le projet de mutuelles d’entreprises. Privées, donc. Les Solfériniens lui ont naturellement emboité le pas et ont parachevé l’esquisse.
Le 1er janvier 2016, une couverture complémentaire santé collective obligatoire (mutuelle d’entreprise) doit être proposée par l’employeur du secteur privé à tous les salariés, n’en disposant pas déjà, en complément des garanties de la Sécurité sociale. Cette couverture doit être négociée avec les « partenaires sociaux ». Si les négociations échouent, l’employeur installe, par décision unilatérale, une couverture santé, après mise en concurrence des assureurs.
http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article30166
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Oui, tout peut s’effondrer
Par Jean-Claude Guillebaud
Il faudra s’y faire. Les débats politiques conséquents, les paroles les plus vraies désertent peu à peu les cases médiatiques qui, en théorie, leur sont réservées. Ces moments de vérité, comme pour échapper au cérémonial convenu et à l’esbroufe des « grandes » émissions, émigrent aujourd’hui vers des refuges inattendus. Par exemple les rendez-vous scientifiques.
On pensait à cela, récemment, en écoutant sur France Culture une vibrante livraison de l’émission hebdomadaire « Continent sciences » de Stéphane Deligeorges. Vibrante est le mot qui convient. Ces cinquante-cinq minutes de témoignages le furent aussi bien par leur contenu que par la flamme inquiète et la liberté d’esprit des deux chercheurs invités. Ces derniers, Pablo Servigne et Raphaël Stevens, ne se paient pas de mots au sujet de ce que l’on nomme, d’une expression bien insuffisante, la « crise du climat ». Pour ce faire, ils s’appuyaient sur un livre explosif [1] dont la démarche participe du « catastrophisme éclairé », pour reprendre une expression popularisée par le polytechnicien Jean-Pierre Dupuy. Un ouvrage qu’on s’est empressé d’acheter et de lire. Dans ces pages, les deux auteurs racontent comment ils ont patiemment recoupé les données disponibles, croisé les courbes, sondé les modèles mathématiques, questionné les disciplines. Cette enquête fiévreuse les a conduits à une conviction finale claire et nette : toute notre civilisation industrielle peut, en effet, s’effondrer. À chaque page de leur livre, on trouve des informations, disons brûlantes, qui vont presque toutes dans le même sens.
http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article30171
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Pas une voiture,
Pas un bruit ..
Un ciel qui vire au maussade ...
Belle journée !
Ma mission dans la vie est non seulement de survivre, mais de prospérer ;
et de le faire avec une certaine passion, un peu de compassion, un peu d'humour, et un peu de style.
Maya Angelou
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Un Noël presque printanier ...
Je vous souhaite une jolie nuit,
tranquille ou festive,
que ce soit votre choix !
A demain !
Est-ce donc être fou que de fuir la société des hommes
et d'aimer vivre dans la solitude ?
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Des annonces lumineuses tiraillant la fatigue
De grossiers charabias
mettent à sac la quiétude de l’âme.
Des couleurs impétueuses
escaladent les façades étonnées.
Des places lézardées
débordent largement les distances.
Le couchant dévasté
qui se blottit derrière les faubourgs
est la risée des ombres précipitées.
Moi je traverse les rues brisé
par l’insolence des lumières fausses
et ton souvenir est une braise vive
que jamais je ne lâche
bien qu’elle me brûle les mains.
Jorge Luis Borges
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Mariana Kalacheva
Le soleil est bon,
la pluie est bonne,
tout bruit est musique.
Voir, entendre, flairer, goûter, toucher,
ce n'est qu'une suite de bonheurs.
Même les peines,
même les douleurs,
même la fatigue,
tout cela a une saveur de vie.
Alain
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Prenez un toit de vieilles tuiles
un peu avant midi.Placez tout à côté
un tilleul déjà grand
remué par le vent.Mettez au-dessus d'eux
un ciel de bleu, lavé
par des nuages blancs.Laissez-les faire.
Regardez-les.
Eugène Guillevic
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Le volcan Sinabung d'Indonésie a jailli à la vie au cours des dernières années, en éruption et en libérant des coulées pyroclastiques destructrices après 400 années de sommeil. De nombreux villages qui s'étaient établis sur ses pentes sont désormais complètement abandonnés, déclarés trop dangereux pour être habités par les autorités indonésiennes.
Les villages fantômes de Guru Kinayan, Simacem, Kuta Gugung et Sibintun montrent les maisons en ruine et les effets personnels laissés qui servent de rappels sinistres du moment où la vie a soudainement cessé quand le volcan a éclaté.
http://www.theatlantic.com/photo/2015/12/volcanic-ghost-villages-in-indonesia/418452/
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