10. Donner aux autres rend plus heureux ...
Contrairement à l’argent, plus nous donnons de l’attention, de l’amour, de l’énergie aux autres, et plus nous nous enrichissons. Je ne résiste pas au plaisir de partager avec vous cette citation inspirante de SS le Dalaï-Lama :
“Ce qu’on entreprend par intérêt personnel ne rend pas heureux, même si on réussit. Ce qu’on entreprend pour les autres rend heureux même si on échoue“.
Toutes ces idées viennent de cet article :
https://habitudes-zen.net/2015/10-choses-etonnantes-quon-ne-sait-pas-sur-le-bonheur/

En Haïti, pas ou peu de vraies officines, les médicaments sont vendus dans les rues par des porteurs ...
C'est la survie des porteurs et des malades pauvres !
Un autre monde ...
http://www.nationalgeographic.com/magazine/2017/06/side-effect-haiti-street-medicine-sellers/

Eizin Suzuki est connu mondialement comme illustrateur et créateur japonais. Beaucoup de ses œuvres sont inspirées par la vie des vacances.
http://www.graphicine.com/eizin-suzuki-light-falls-of-board-walk/

Il y a une pétition signée par 1500 personnes. Elle dit, cette pétition, que le quartier de La Chapelle est devenu une « no go zone » pour les femmes, qu’elles y sont régulièrement agressées sexuellement, verbalement et physiquement. Que les agresseurs sont des migrants. Que les femmes ont peur, qu’elles font un détour pour éviter le quartier. 1500 personnes… 1500 racistes, fascistes et colonialistes, c’est sûr !

L’information a été donnée dans un article par Le Parisien. Un autre journal – Libération – s’en est ému à son tour. Et comprenant qu’il s’agissait d’un terrain miné, Libé a envoyé sur place un démineur. Un démineur, ça démine.
Un métier délicat, difficile et dangereux. Il s’en est tiré avec les honneurs. Le titre de l'article dit qu’il s’agit d’un « quartier populaire et métissé ». Ça c’est bien. Quant au ras-le-bol des habitants, et surtout des habitantes, il est qualifié d’ « un peu caricatural ». Et ça, c’est très bien.
http://www.causeur.fr/la-chapelle-liberation-femmes-harcelement-44485.html

Par Anne Roumanoff

Marianne avait connu deux grosses déceptions sentimentales ces dernières années : Nicolas et François. Les deux hommes étaient très différents mais ils l’avaient tous les deux trahie, chacun à leur manière. Nicolas travestissait la vérité, François mentait par omission.

 Nicolas l’avait entraînée dans un tourbillon d’excitation qui l’avait laissée étourdie et fatiguée. François lui avait promis une vie calme et normale, mais elle s’était beaucoup ennuyée avec lui et avait été choquée qu’il raconte à tout un chacun les détails de leur vie de couple. Marianne était sortie de ces deux relations un peu désabusée, amère, presque cynique. Elle ne croyait plus trop à l’amour et aux belles promesses. Plus envie d’unir sa destinée et d’espérer un lendemain meilleur. Elle était comme un petit animal blessé qui avait besoin de se réfugier dans son terrier pour panser ses blessures.
http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article34675

et pourtant quand on ouvre l'ordi ...
Un fou de dieu s'est fait sauter dans une foule innocente ...
Grâce à nos gouvernements mafieux  et mous ...
Que votre journée soit sereine.
Ô ma vie, je n'ai que toi. Je vais te faire belle.
Jean-René Huguenin

dans les deux sens, c'est épuisant ...
J'avais un rendez-vous en ville en plus ...
Vive ma petite banlieue ...
Bonne soirée !
Quand tu ressens de la nostalgie, ce n'est pas un manque,
c'est une présence, c'est une visite, des gens,
des pays arrivent de loin et te tiennent un peu compagnie.
Erri de Luca

Je te donne un corps fait de baisers
sculpté de caresses
hâlé de soleil
qui désire
qui embrasse
et jouit

je te donne deux bras
je te donne des mains
des doigts
je te donne deux jambes
je te donne un nid
je te donne un dos

je te donne
je te donne

une âme
          Maram al-Masri           

    Je suis la terre et le voyage
    Le sel et la douceur
    l'horizon où se perdre
    la roche où s'adosser

    Je suis l'univers où je vis
    la route qui y mène…..
    à l'horizon de mon regard
    Dans le fouillis de mes cheveux
    traîne le désordre des âmes mêlées
    Mes mains l'habillent
    et dans le cercle de mes bras
    bruisse la soie du coeur
    Leila Zhour

Ton odeur ton nom ton âge tes commissures
Par tes capillaires, je bats, les tiges, faisceau de pouls, verge
Ton élégance tes récits tes bas tes couleurs
J'alanguis la rose de quelqu'une le roman
Tes bijoux tes bleus tes cils ta montre
La proximité est notre dimension
Tes lobes ta voix tes lèvres tes lettres

Ne me laisse pas ignorer où tu es
Le rouleau gris ensable notre baie
Michel Deguy