• Le Trollpikken était une attraction emblématique en Norvège. Ce «pénis du troll» –pour traduire son nom de manière littérale– attirait de nombreux touristes, randonneurs et grimpeurs désireux d’escalader et de chevaucher cette verge géante.
    C’est un promeneur qui a découvert la scène du crime le samedi 24 juin, alors qu’il randonnait dans la région d'Eigersund, à 320 kilomètres au sud-ouest d’Oslo, explique Atlas Obscura. La partie dressée qui sortait avant du rocher était couchée sur le sol, quelques mètres en dessous de sa base, toujours accrochée à la pierre. Selon toute vraisemblance, le pénis rocheux ne s’est pas cassé en deux de lui-même mais aurait été abattu volontairement.
    http://www.slate.fr/story/147720/celebre-rocher-phallique-norvege-vandalise

    Un crime odieux ...


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  • Sur le sommet de Carlton Hill à Edimbourg, en Écosse, se dresse le monument national du pays. Mais loin d'être la source de la fierté nationale, le projet fallacieux a été un embarras national, une honte, une folie. Le monument était censé être un mémorial national aux soldats écossais et aux marins qui sont morts en train de se battre dans les guerres napoléoniennes. S'il avait été terminé, cela aurait ressemblé à l'emblématique Parthénon d'Athènes.
     La ville a rapidement perdu de l'intérêt et a refusé de verser des fonds pour l'achèvement du monument, et la structure est restée incomplète depuis deux cents ans.
    https://translate.google.fr/translate?hl=fr&sl=en&u=http://www.amusingplanet.com/2017/06/the-unfinished-national-monument-of.html&prev=search

    Nous avons peu d'imagination ...


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  • Les faux contrats d'apprentissage ...
    Une autre façon de garder les esclaves légaux était de les appeler vos apprentis. Les propriétaires de plantations attiraient leurs anciens esclaves en promettant de leur apprendre tout ce que les propriétaires de plantations savaient et de préparer les libérés à réussir par eux-mêmes. Cependant, les propriétaires de plantations ont simplement mis les affranchis dans leurs anciens emplois esclaves.
    Les anciens esclaves étaient maintenant sous contrat qui les obligeaient à travailler pour leurs anciens maîtres, et les esclaves libérés risquaient d'avoir des problèmes juridiques pour rompre ces contrats. S'ils obtenaient de véritables emplois, même les personnes qui les ont embauchées pouvaient être poursuivies en justice par les propriétaires d'esclaves pour avoir «attiré» leurs apprentis.
    Une femme nommée Elizabeth Turner a été utilisée de cette façon. Elle a été trompée pour revenir au même travail d'esclave qu'elle avait fait avant l'émancipation. Turner a réussi à sortir avec l'aide d'un avocat abolitionniste qui a traité son cas gratuitement. Mais la plupart n'étaient pas si chanceux. La plupart des anciens esclaves étaient analphabètes et sans instruction et ne connaissaient aucun moyen de sortir des contrats qui les ont retournés dans l'esclavage.

    Que savons-nous de la fin de l'esclavage en Amérique


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  • Au cours des neuf dernières années, le photographe Alexander Khimushin a parcouru le monde. Il y a trois ans, inspiré par l'idée de documenter des cultures éloignées qui disparaissent lentement en raison de la mondialisation, il a commencé son projet The World in Faces. Cherchant de petits groupes de minorités ethniques à travers le monde, Khimushin lance des portraits incroyables qui honorent et immortalisent leur culture.
    Au cours des 6 derniers mois, Khimushin s'est plongé dans le paysage sibérien, pour retracer et photographier les indigènes de cette terre gelée. En partant des rives du lac Baïkal jusqu'à la côte de la mer du Japon, il a visité une variété de tribus appartenant à des minorités ethniques, dont la population compte jusqu'à plusieurs dizaines de personnes.
    La Russie reconnaît 40 peuples indigènes différents vivant en Sibérie.
    https://flipboard.com/@flipboard/-photographer-spends-6-months-traveling-/f-19a37f4f26%2Fmymodernmet.com

    Visages de Sibérie ...


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  • Lin Onus (4 décembre 1948 - 24 octobre 1996) était un artiste australien. Lin Onus a été éduqué dans les années 1950 et 1960 à Deepdene Primary School et Balwyn High School à Melbourne, Victoria.
    C'était un artiste autodidacte.

    Le monde de Lin ...

    Le monde de Lin ...

    Le monde de Lin ...

    Le monde de Lin ...

    Le monde de Lin ...

    Le monde de Lin ...


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  • de Ian Curtis

    Je pensais que Dieu existait, qu'à la fin tout s'arrangerait, que brillerait le soleil éternel. Aujourd'hui, le soleil brille, tout le monde dit que c'est délicieux et que nous aurons le plus bel été depuis des années, mais je me sens mal, nous allons tous très mal - malade est un terme plus juste pour décrire notre état d'esprit et de corps pour
     

    tolérer l'ordure qui nous entoure

    Changer tout ...




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  • Feu sur les réac !
    Les mots sont savamment détournés ...

    Selon le discours entendu, tout ce qui alimente une critique de la mondialisation, de l’Union européenne et, par là, l’ouverture, doit être considéré comme une attaque contre le progrès et la modernité. Ainsi, la convenance enfourne Natacha Polony, Michel Onfray, Alain Finkielkraut, les Insoumis de Jean-Luc Mélenchon, le Front national, et les gaullistes dans un même sac : au mieux dans celui des conservateurs, au pire, dans celui des extrémistes et des “fachos”.

    Cette entreprise de formatage a réussi à imposer l’idée que seule la force centriste actuelle serait légitime pour incarner le camp progressiste et moderne. Et si le progressisme déclamé était bel et bien un moyen d’amadouer le peuple pour le préparer aux prochaines régressions ? Les “déclinistes” ne seraient-ils pas, en réalité, ceux qui soutiennent l’ouverture débridée des marchés, vantent la mondialisation heureuse, souhaitent la fin progressive du droit du travail ? Ces mêmes personnes qui osent mettre un voile sur les causes de la hausse des inégalités.
    http://www.causeur.fr/macron-code-travail-progressisme-45177.html

    Là aussi, la pente est fatale ...


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  • Roxane Decorte. Née à La Chapelle, j’y habite depuis plus de quarante-cinq ans. Si ce quartier populaire est devenu une forme de ghetto qui concentre les difficultés, ce n’est pas un événement brutal mais le résultat d’un processus à l’œuvre depuis des années. En 2001, Philippe Séguin m’a choisie comme colistière gaulliste dans le XVIIIe pour incarner les quartiers populaires qui sont l’âme de Paris, parce que j’avais un profil atypique en politique. J’étais une jeune femme de terrain issue d’un milieu très modeste, boursière de l’Éducation nationale, dans un territoire fracturé, déjà perdu pour la République. Nous avions le sentiment qu’on accepte d’un côté du boulevard Barbès ce qu’on refuse de l’autre côté. À force de concentrer des populations en difficulté, avec le record parisien du nombre de chômeurs et d’allocataires du RSA, on a rendu le bel idéal de mixité sociale impossible à atteindre. Puis, au cours des années, j’ai vu les commerces « s’ethniciser » et le quartier basculer sous la pression « islamisante »…
    http://www.causeur.fr/la-chapelle-islamisme-femmes-harcelement-44794.html#

    Une pente fatale ...


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  • et à la fraîcheur ...
    Brumisation de nuit ...
    Il faudrait un peu plus quand même !
    Belle journée !
    Point n’est besoin de mots, un sourire suffit :
    la rose d’un sourire sur l’herbe du silence.
    Christian Bobin

    J'en suis toujours au pipi de chat ...


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  • Ce n'est pas avec ça que nous allons remplir nos nappes phréatiques ...
    Juste une brumisation pour les feuilles.
    Bonne soirée !
    Quand vient la nuit
    éteignez vos soucis et allumez vos rêves.
    Michaël R. Roskam

    La pluie n'était que pipi de chat ...


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